Mon imagier des animaux a toucher

A l'occasion de ses 65 ans, plusieurs de ses amis, collègues et étudiants ont voulu jeter un regard à la fois rétrospectif et prospectif sur l'oeuvre et la carrière de Joël Biard. Du CNRS (Centre d'histoire des sciences et des philosophies arabes et médiévales) à l'Université de Tours-François Rabelais (Centre d'études supérieures de la Renaissance), il n'a cessé de travailler à faire mieux connaître une période négligée de l'histoire de la philosophie, le Moyen Âge. Auteur d'une oeuvre ample et exigeante, qui fait désormais autorité dans plusieurs domaines, il a permis de réévaluer l'importance du Moyen Âge tardif dans les bouleversements intellectuels qui agitent l'Europe entre le XIVe et le XVIe siècles. Il a ainsi profondément renouvelé notre connaissance de l'histoire des sciences et de la philosophie de cette période. A partir de ces acquis, les études ici réunies entendent montrer le dynamisme des champs d'enquête (logique et philosophie naturelle, études buridaniennes, Renaissance) qu'il a marqués de son empreinte, et mettre au travail une oeuvre dont la fécondité n'est plus à démontrer.

Miroir de l'amitié ; mélanges offerts à Joël Biard

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La nouvelle Asie industrielle : enjeux, stratégies et perspectives

Les Paysages Francais / Periscope

Memoires d'un extremiste

Le Haut Moyen Âge, c'est quand? Où habitaient les gens? Quelle langue parlaient-ils? etc.
Cet ouvrage accessible à tous, écrit dans un langage clair, sans terminologie compliquée ni jargon scientifique, nous permet de plonger dans cette période fascinante. Il est divisé en sept chapitres qui comprennent chacun un texte principal, éventuellement complété par des encadrés sur des thèmes particuliers. Des textes plus courts, appelés «Sous la loupe», présentant des sites ou des découvertes particulières, auxquels il est possible de faire référence tout au long de l'ouvrage, terminent chacun des chapitres. Tous les textes sont rédigés par des spécialistes: archéologues, historiens, historiens de l'art, géologues, numismates etc. Comme dans l'ouvrage Des Alpes au Léman, des images mettant en scène les objets et les personnages évoqués dans les textes viennent compléter l'ouvrage.

Sous la direction de Justin Favrod et Lucie Steiner.

Aux sources du moyen âge ; entre Alpes et Jura de 350 à l'an 1000

Monarque guerrier et voyageur, Pierre le Grand a parcouru le monde pendant près de quatre décennies, de la mer Blanche à la mer Caspienne, de la Hollande à la Moldavie, de l'Angleterre à la Perse. Il a effectué deux longs voyages en Europe occidentale, le premier en 1697-1698, le second, vingt ans plus tard, en 1716-1717. Au cours de ce second voyage, Pierre séjourne en France durant deux mois, d'avril à juin 1717. Deux ans après la mort de Louis XIV, il découvre le royaume le plus peuplé d'Occident, rencontre le jeune Louis XV, négocie avec le régent Philippe d'Orléans, fréquente les hommes d'Etat, les savants, les techniciens et les artistes. Animé d'une curiosité universelle, Pierre visite les palais et les manufactures, les fortifications et les bibliothèques, les églises et les académies. A pied ou en fiacre, il se promène dans les rues de Paris et fait le tour des maisons royales d'Ile-de-France : Versailles, Trianon, Marly, Saint-Germain, Fontainebleau. Pierre Ier et sa suite acquièrent des livres, des objets d'art, des instruments scientifiques, qu'ils rapportent en Russie en même temps que les présents diplomatiques du gouvernement français. Visites et discussions avec les Français alimenteront la réflexion du tsar réformateur et influenceront les travaux qu'il entreprend depuis 1703 à Saint-Pétersbourg et dans ses environs. Ce catalogue, et l'exposition qu'il accompagne, commémorent le tricentenaire de ce voyage de 1717, rencontre d'un vieux royaume et d'un empire naissant, véritable acte fondateur des échanges culturels entre la Russie et la France.

Pierre le Grand : Un tsar en France, 1717

Catalogue officiel de l'exposition Chefs-d'oeuvre du Bridgestone Museum au musee de l'Orangerie du 4 avril au 21 aout 2017.Les chefs-d'oeuvre de la collection du musee Bridgestone sont issus du gout pour l'art de trois generations de la dynastie industrielle des Ishibashi. Le fondateur de l'entreprise Bridgestone, Shojiro Ishibashi (1889-1976), se singularise tres tot par sa passion pour les arts et notamment pour les arts occidentaux qu'il commence a collectionner des la fin des annees 1930. Il fait edifier un musee pour sa collection au coeur de Tokyo en 1952. Celui-ci propose au public des oeuvres de la periode impressionniste ainsi que des oeuvres d'art moderne occidentales et japonaises. La collection a ensuite continue d'etre enrichie par les nouvelles generations. La fondation Ishibashi conserve aujourd'hui plus de 2 500 oeuvres.A l'occasion des travaux de l'actuel musee et en attendant la livraison de nouveaux batiments, les chefs-d'oeuvre de la collection seront montres lors d'une unique etape occidentale au musee de l'Orangerie au printemps et a l'ete 2017. Le parcours mettra notamment a l'honneur des oeuvres de l'impressionnisme jusqu'a l'abstraction occidentale et orientale d'apres-guerre, de Monet, Renoir et Caillebotte a Cezanne, Matisse, Picasso, Pollock et Shiraga. L'un des pivots de l'exposition sera aussi le lien permanent etabli entre les oeuvres, leurs acquereurs et l'histoire du Japon moderne afin de donner aux visiteurs de nombreux elements de contexte. Enfin, cette exposition trouve egalement sa place au musee de l'Orangerie a travers un jeu de miroir ou la passion privee pour l'art a su se transformer en collection ouverte a tous les publics.Coedition musees de l'Orangerie et Orsay/Hazan.Edition bilingue anglais/francais

Tokyo-Paris. Chefs-d'oeuvre du Bridgestone Museum of Art de Tokyo

Paul Klee fut de ces artistes difficilement classables au sein des grands mouvements de l'histoire de l'art. Proche de Wassily Kandinsky et Franz Marc, il s'associa au groupe expressionniste Der Blaue Reiter. Plus tard, il prit part à l'épopée Bauhaus en y dispensant des cours de peinture. Pourtant, celui selon lequel l'art n'était pas fait pour reproduire, mais pour rendre visible, ne devait pas se limiter aux carcans d'un mouvement aussi innovant soit-il.
Dans ses toiles à la lumière orientale, Klee mêla subtilement les tendances de ce début de XXe siècle. À l'expressionisme allemand, il injecta cubisme et orphisme, saupoudrant ses toiles d'une poésie mélancolique surréaliste. 
Au fil de ces pages, l'auteur nous fait pénétrer dans le monde merveilleux de Klee où, à chaque touche, résonnent l'écho lyrique et la puissance des couleurs.

Mon imagier des animaux a toucher

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