L'idéal éducatif et l'amour de la musique ont réuni Leopold et Wolfgang Mozart. Leopold a été plus qu'un père pour Wolfgang, il a été son Maître et a révélé son génie. Formé aux humanités, musicien talentueux, compositeur et théoricien d'une Méthode de Violon, ce pédagogue-né a promu la carrière de son fils, au détriment de la sienne.
On découvre qu'il y a plusieurs visages de Leopold comme il y a plusieurs visages de Wolfgang. Le lecteur voit se dégager, au fil de leur correspondance foisonnante, des portraits hauts en couleur libérés des poncifs récurrents et de certaines légendes tenaces. Cet ouvrage fait découvrir deux personnalités exceptionnelles et éclaire la relation fusionnelle et complexe qui les unit tout en faisant entreprendre un voyage à la fois historique et musical dans cette Europe qui n'a rien à voir avec notre Europe actuelle.
Qui est le vrai Mozart ? Comment ce génie sur lequel on croyait tout savoir peut-il encore dévoiler des facettes méconnues ? Qu'est-ce qui rend Mozart si incomparable et si unique ? Cet ouvrage va à la rencontre de cette personnalité fascinante, intimement mêlée à une oeuvre musicale sans égale.

Mozart, père et fils : Leur destin en musique

Vienne, capitale d'empire

Un matin d'hiver, un chat perdu dans la neige, est retrouvé sur la terrasse d'une maison. Une famille le recueille et l'adopte. Une affection le lie à la petite fille. Dans le jardin lui offrant mille cachettes, il découvre la nature, le cycle des saisons, les autres animaux, les fleurs, la vie authentique. Pendant les vacances, il s'acclimate à la maison de campagne ; haut perché dans la petite tour de guet, il se transforme en chat philosophe et en chat poète. A ses heures, il se métamorphose aussi en chat musicien, caressant de sa patte les touches du piano. Et que d'aventures, il vit ! Pour la fillette, c'est une vie heureuse, un éveil, un émerveillement, une complicité, une découverte de chaque instant. C'est en même temps le cycle éternel de la vie qui se déroule dans l'histoire de ce chat pas comme les autres. Ne dit-on pas du chat qu'il a neuf vies ?

Une belle leçon de vie

L'héritage Verdi

Les événements importants de la vie de Richard Wagner (ses débuts difficiles, le dieu Beethoven, Paris, la révolution à Dresde, la rencontre avec Louis II de Bavière, la relation conflictuelle avec Nietzsche, Bayreuth, sa mort à Venise) et ses drames musicaux, gouvernés par le grand rêve de l'art total, constituent la substance de ce livre.
L'oeuvre que Wagner a créée fascine et trouble par sa puissance et son unité. Son empreinte est ici analysée.

L'empreinte Wagner

En fonction d'un découpage par lieu, ce livre apporte un éclairage nouveau sur Venise en remontant au fil du temps à travers l'histoire, la culture et tout un art de vivre hérité depuis des siècles. L'iconographie riche et variée offre une vision originale et vivante de la cité des Doges et permet d'apprécier le rôle qu'elle joue : être une passerelle entre le passé, le présent et le futur.

Venise ; au-delà des temps

Le 30 janvier 1889, le prince héritier de la monarchie austro-hongroise, Rodolphe de Habsbourg, est retrouvé mort en compagnie de sa maîtresse Mary Vetsera dans son pavillon de chasse situé à Mayerling. Cette mort a fait l'objet de nombreuses interprétations. Certains parlent d'un suicide en se rattachant à la thèse d'un amour impossible, tandis que d'autres mettent en lumière la possibilité d'un assassinat politique. En effet, le prince n'était pas partisan d'un renforcement de l'alliance avec l'Allemagne et souhaitait une évolution des Etats des Habsbourg vers d'avantage de libéralisme. Par ses idées et son comportement, il fut laissé à l'écart des activités du trône. La tragédie de Mayerling annonce inexorablement la fin de l'empire d'Autriche-Hongrie. Rodolphe laisse la place au neveu de l'empereur, François-Ferdinand, dont l'assassinat à Sarajevo conduira à la guerre de 1914-1918.

Rodolphe de Habsbourg - Mayerling ou la fin d'un empire

Bavaroise d'origine et Autrichienne par son mariage avec François-Joseph, Sissi, Impératrice d'Autriche-Hongrie, ne cesse aujourd'hui encore de fasciner par son incomparable beauté et par sa volonté d'affirmer sa personnalité authentique au détriment de ses devoirs de souveraine et d'épouse. Indifférente à la politique, sauf quand il s'est agi de la Hongrie, elle a trouvé refuge dans la maladie, dans l'écriture et dans ses pérégrinations sempiternelles. Fantasque et mélancolique, contraignant son corps à une discipline de fer pour parvenir à la perfection, elle est sans aucun doute une femme hors normes, incomprise de son entourage, car elle anticipait son siècle à maints égards. Femme du XXe siècle, elle l'est incontestablement. Son assassinat, perpétré en septembre 1898 sur un quai de Genève par l'anarchiste italien Luigi Lucheni, préfigure le lent mais inexorable déclin de l'Autriche-Hongrie. L'éternelle errante emporte avec elle son idéal de liberté effréné qui avait fait d'elle une farouche opposante à la monarchie. Le prix à payer fut la solitude, parfois terrifiante, pour celle qui, depuis longtemps, avait quitté ce monde.

Ses oeuvres

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