A la lumière des dispositions de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 et des développements contemporains de la pratique en matière de prévention et de répression du crime de génocide, le présent ouvrage présente une contribution des juristes à l'analyse de ce "crime des crimes" visant des groupes de personnes assujettis à des conditions telles que leur existence se trouve mise en cause, si bien que la volonté délibérée de les détruire ne saurait faire de doutes. Cette contribution des juristes, combinée aux apports d'autres disciplines, en particulier les historiens ou analystes politiques, qui jusque là ont été pratiquement les seuls à étudier les génocides, mais aussi des psychanalystes, psychiatres, anthropologues ou sociologues, dans le cadre d'un débat très enrichissant a permis, outre le rassemblement de contributions individuelles d'un grand intérêt, la rédaction d'un rapport témoignant de ces "regards croisés" sur le crime, sa prévention et sa répression.

Genocide(s)

Un outil pour étudier les différentes organisations et comprendre leur fonctionnement.
L'ouvrage étudie les principes communs applicables aux différentes organisations internationales sans préjudice des particularités propres à chacune d'elles. Il permet de comprendre les règles et le fonctionnement de n'importe quelle organisation.

Introduction au droit des organisations internationales

Compte tenu de la multiplicité et de la diversité des organisations internationales, même en se limitant aux seules " organisations de coopération " comme le fait cet ouvrage, peut-on parler d'un droit des organisations internationales ? Chaque organisation n'est-elle pas fondée sur son acte constitutif qui définit les règles qui lui sont propres ? Chaque organisation ne constitue-t-elle pas un cas particulier ?
Il est vrai qu'il n'existe pas, comme pour les Etats, un statut juridique unique pour les organisations internationales. Cependant, il ne manque pas d'intérêt, au-delà de la diversité du phénomène, d'en discerner les tendances communes et de disposer ainsi d'un outil permettant ensuite d'étudier telle ou telle organisation particulière.
C'est pourquoi l'auteur utilise aussi bien l'expression " droit de l'organisation internationale " que celle de " droit des organisations internationales ", étant entendu que ce que l'on pourrait appeler le droit commun des organisations internationales a un caractère supplétif : il ne vaut que sous réserve des dispositions particulières de tel ou tel acte constitutif ou de la pratique suivie par telle ou telle organisation.

Droit des organisations internationales

L'union europeenne et les organisations internationales

Les migrations sont historiquement un élément central de la formation de la grande majorité des sociétés. Ces mobilités ne sont devenues migrations internationales qu'avec la constitution des Etats-nations, la fin des empires coloniaux et le découpage géopolitique de la planète. Les 230 millions de migrants questionnent les conceptions de l'Etat, de l'intégration économique et politique et du respect des droits humains.

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