"Der goldne Topf" ist eine romantische Novelle von E. T. A. Hoffmann, die 1814 erstmals erschien. Die Novelle gilt als das erfolgreichste Werk Hoffmanns. Der Autor hat dem Werk die Gattungsbezeichnung Märchen aus der neuen Zeit gegeben, daher wird es auch als Kunstmärchen bezeichnet. Es ist in zwölf "Vigilien" eingeteilt. Die Handlung der Novelle beginnt an einem Himmelfahrtstag in Dresden. Ein junger Student namens Anselmus stößt am Schwarzen Tor den Korb einer alten Apfelhändlerin um. Um den Schaden der alten Frau zu mildern, gibt er ihr seinen ganzen Geldbeutel, den er eigentlich für die feierlichen Aktivitäten verwenden wollte, rennt dann aber schnell weg.

Der goldne Topf

"Der Artushof" ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann. 1819 erschien der Text in der Erzählungssammlung "Die Serapionsbrüder".

Der Weg des jungen Traugott vom merkantilen Bürger zum Künstler wird gezeichnet. Der Verfasser bietet den Ausblick auf ein Happy-End. Es sieht so aus, als gelinge Traugott ein Spagat: Dieser Danziger Maler wird wohl Ehemann der jungen Römerin Dorina werden.

Der Artushof

Die Jesuiterkirche in G. ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die Ende 1816 im ersten Teil der Sammlung "Nachtstücke" bei Reimer in Berlin erschien. Der Autor hatte die Niederschrift im August desselben Jahres beendet.

In diesem Nachtstück "aus den Papieren eines reisenden Enthusiasten" geht es um eine kostbare, ach so flüchtige Gabe: die Schaffenskraft des bildenden Künstlers Berthold.

Die Jesuiterkirche in G.

Das steinerne Herz ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann aus der Sammlung Nachtstücke von 1817. 

Der Hofrat Maximilian Reutlinger ist von seinem inzwischen toten Bruder schwer enttäuscht worden. Nun verstößt er auch dessen sechsjährigen Sohn Max, weil dieser mit einem Roten Stein spielte, den der Hofrat in einen Marmorstein einfügen wollte. Dieser Stein sollte sein Herz darstellen und folglich steht die Szene, in der Max mit seinem "Herz" spielte, symbolisch dafür, dass auch der Sohn seines Bruders ihn enttäuschen werde.

Das steinerne Herz

Der Roman 'Die Elixiere des Teufels' von E. T. A. Hofmann, erschienen 1815/16, erzählt die fiktive Autobiographie des Mönches Medardus, der zunächst in einem Kloster aufwächst und wegen seiner Gelehrsamkeit wichtige Aufgaben und Rollen im Klosterleben übernimmt. Jedoch wird die Klosteridylle gestört, als Medardus Liebe zu einer jungen Frau aufflammt. Um ihn zu beruhigen, schickt ihn der Prior auf eine Reise nach Italien.

Er trifft auf die junge Geliebte; er trifft auf einen Doppelgänger, er flüchtet von einem Kloster ins andere und wird schließlich in ein Komplott gegen den Papst verwickelt, bevor er ins heimische Kloster zurückkehrt.

Die Elixiere des Teufels

Die Lebensansichten des spießbürgerlichen Katers, vermischt mit den biographischen Aufzeichnungen des Kapellmeisters Kreisler.

Lebensansichten des Katers Murr

Il est l'auteur de nombreux contes (Märchen en allemand) comme : L'Homme au sable, Les Mines de Falun ou Casse-noisette et le Roi des souris et de plusieurs romans, dont son ouvre principale Le Chat Murr. Il devient alors, dès les années 1820, l'une des illustres figures du romantisme allemand et il inspire de nombreux artistes, en Europe comme dans le reste du monde. Par exemple, Jacques Offenbach écrit l'opéra fantastique en cinq actes Les Contes d'Hoffmann en s'inspirant de l'univers du romantique allemand. Extrait : Les regards qu'à cette époque il commença à lancer à Aurélie pénétrèrent celle-ci d'une horreur secrète dont elle ne pouvait s'expliquer la cause. Pourtant la baronne ne s'était jamais avisée d'entretenir Aurélie de ce qui était relatif à l'étranger. Ce ne fut qu'alors qu'elle lui en apprit le nom, en ajoutant que le baron était un parent éloigné et possesseur d'une fortune colossale. Elle vanta son extérieur, ses bonnes qualités, et finit par demander à Aurélie comment elle le trouvait. Celle-ci ne dissimula point l'aversion qu'elle ressentait pour l'étranger. Là-dessus la baronne la traita de sotte, et lui lança un regard qui la fit trembler. Mais bientôt la baronne eut pour elle plus de bonté que jamais. Aurélie reçut de belles robes, de riches parures de toute espèce, et on lui permit de prendre part aux amusements publics. L'étranger manifestait à Aurélie un désir de plaire et un empressement qui le rendaient de plus en plus insupportable à ses yeux.

Contes fantastiques IV

Si le XVIIIe fut le siècle des Lumières, le suivant fut peut-être celui des Ténèbres. En effet, ceux qui le traversèrent se prirent d'une fascination maladive pour les évènements surnaturels, les créatures démoniaques, la mort et l'au-delà. Cette anthologie vous propose de découvrir dix nouvelles parmi les plus représentatives de la littérature fantastique du XIXe siècle.

Prenez donc garde, téméraires lecteurs, car vous êtes sur le point de rencontrer le diable, vous allez côtoyer les morts et vous assisterez à des phénomènes étranges et inquiétants. Tout comme moi, vous ne croyez certainement pas à ces fadaises, mais lorsque ces fantômes poseront sur votre épaule leur main glacée, lorsqu'ils vous toiseront de leur regard sans âme, vous vous élèverez au-delà de la raison. Lorsque tout autour de vous ne sera qu'effroi et désolation, vous perdrez votre jugement et il ne restera que l'angoisse pour vous accompagner dans la nuit.

Ces histoires ont impressionné et ravi plusieurs générations. Beaucoup d'entre elles s'inscrivent dans la continuité du mouvement romantique. Certaines ont immédiatement été considérées comme des ouvres majeures et d'autres ont, à l'époque, été jugées plus anecdotiques au regard de l'histoire. Mais le temps, qui seul donne leur vraie valeur aux choses, les a toutes élevées au rang de classiques. Vous retrouverez des nouvelles célèbres de Théophile Gautier, Guy de Maupassant ou Edgar Allan Poe, et des textes moins connus de Robert-Louis Stevenson (L'étrange cas du docteur Jekyll et de mister Hyde) ou Bram Stoker (Dracula). Également un petit conte d'Alphonse Daudet dont les résonances écologiques sont d'une étonnante actualité, des histoires de Marcel Schwob, Auguste de Villiers de l'Isle-Adam ou encore Jules Verne.

Dix grands noms de la littérature, dix nouvelles fantastiques, merveilleuses, somptueuses.

- La cafetière - Théophile Gautier (1831) - 15 min

- Le diable à Berlin - E. T. A. Hoffmann (1840) - 10 min

- Le corbeau - Edgar Allan Poe (1845) - 10 min

- Wood's town - Alphonse Daudet (1873) - 10 min

- Véra - Auguste de Villiers de l'Isle Adam (1874) - 20 min

- Janet la revenante - Robert-Louis Stevenson (1881) - 20 min

- Une prophétie de bohémienne - Bram Stoker (1883) - 20 min

- Frritt Flacc - Jules Verne (1884) - 15 min

- La morte - Guy de Maupassant (1887) - 10 min

- L'homme voilé- Marcel Schwob (1891) - 10 min

Ses oeuvres

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