À quelques mois de l'élection présidentielle 2012, Liliane Delwasse revient sur les relations entre le président de la République et son Premier ministre, qui se sera pourtant maintenu à Matignon pendant cinq ans.Au-delà de la biographie croisée des deux hommes les plus importants de l'État, cet essai évoque les nombreux accrocs qui ont émaillé leur parcours, depuis que la victoire de 2007 a couronné leur alliance, ainsi que leurs différences : de milieu, de style, de goûts et de caractère. D'un côté, une pratique iconoclaste du pouvoir, sanctionnée par une impopularité record ; de l'autre, sérieux et sang-froid, recette d'une cote d'estime inentamée. L'un inquiète et l'autre rassure.Depuis les joggings à deux jusqu'aux prises de distance critiques de Fillon à l'occasion d'un débat sur la laïcité, cet ouvrage dépeint les hauts et les bas d'une relation étrange, faite de défiance et de rancune, mais aussi d'admiration et de complicité.Reste une énigme : François Fillon réussira-t-il à faire de Matignon le tremplin de sa carrière politique, comme le souhaiteraient son entourage ?

Dr Fillon et Mr Sarkozy

Premier volume de la nouvelle collection " Regards. ", cet ouvrage offre, par un texte clair et concis et une illustration abondante, une approche particulièrement attractive d'un chef-d'ouvre de l'art médiéval : la tenture de l'Apocalypse. Commandée par le duc Louis Ier d'Anjou et réalisée entre 1373 et 1380, ses dimensions originelles étaient exceptionnelles : six pièces mesurant chacune 23, 5 mètres de long sur 6 mètres de haut, soit une longueur totale de plus de 140 mètres. Elle illustre les visions que l'apôtre et évangéliste saint Jean reçut vers l'an 96, et consigna dans un livre intitulé l'Apocalypse, dernier texte du Nouveau Testament. Cette tenture, exposée au château d'Angers dans une galerie conçue à cet effet en 1954, a fait l'objet d'une spectaculaire restauration menée au cours des années 1980, qui a permis notamment de révéler l'intensité et la beauté intactes du revers de cette tapisserie de lisse. Liliane Delwasse, docteur ès Lettres et diplômée de Sciences Po, est journaliste, membre de l'AJP (Association des journalistes du patrimoine). Elle a collaboré successivement au Monde, à L'Express et au Point ; elle est responsable de la rubrique " Patrimoine en Question " de la revue des Vieilles maisons françaises. Elle est également l'auteur de plusieurs ouvrages politiques et sociétaux.

La Tenture de l'Apocalypse d'Angers (anglais)

Premier volume de la nouvelle collection " Regards. ", cet ouvrage offre, par un texte clair et concis et une illustration abondante, une approche particulièrement attractive d'un chef-d'ouvre de l'art médiéval : la tenture de l'Apocalypse. Commandée par le duc Louis Ier d'Anjou et réalisée entre 1373 et 1380, ses dimensions originelles étaient exceptionnelles : six pièces mesurant chacune 23,5 mètres de long sur 6 mètres de haut, soit une longueur totale de plus de 140 mètres. Elle illustre les visions que l'apôtre et évangéliste saint Jean reçut vers l'an 96, et consigna dans un livre intitulé l'Apocalypse, dernier texte du Nouveau Testament. 
Cette tenture, exposée au château d'Angers dans une galerie conçue à cet effet en 1954, a fait l'objet d'une spectaculaire restauration menée au cours des années 1980, qui a permis notamment de révéler l'intensité et la beauté intactes du revers de cette tapisserie de lisse. 
 
Liliane Delwasse, docteur ès Lettres et diplômée de Sciences Po, est journaliste, membre de l'AJP (Association des journalistes du patrimoine). Elle a collaboré successivement au Monde, à L'Express et au Point ; elle est responsable de la rubrique " Patrimoine en Question " de la revue des Vieilles maisons françaises. Elle est également l'auteur de plusieurs ouvrages politiques et sociétaux.

La Tenture de l'Apocalypse d'Angers (version allemande)

Françoise de Panafieu, Ségolène Royal, Michèle Alliot-Marie, Laurence Parisot en France, Angela Merkel, Michelle Bachelet, Ellen Johnson-Sirleaf, Hillary Clinton, Condoleeza Rice à l'étranger, pour n'en citer que quelques-unes, les femmes sont de plus en plus présentes en politique. De l'irrésistible ascension de Ségolène Royal à l'élection de Parisot au Medef et à la candidature de Panafieu à la Mairie de Paris, à quoi correspond ce désir de femmes dans notre pays ? Alors que les hommes politiques sont confrontés à un véritable désamour des Français, dû à l'impression constante de la langue de bois et au décalage croissant avec l'électorat, les femmes apparaissent comme « neuves » et « fraîches ». Elles incarnent le renouvellement. On les crédite de plus d'authenticité, d'intimité, d'humanité, de sincérité. Elles seraient plus proches des citoyens. Qu'en est-il en réalité ? Les auteurs se sont longuement entretenus avec de nombreuses actrices de la scène politique et ont également recueilli les avis de politologues (Janine Mossuz-Lavau, Mariette Sineau, Brice Teinturier), syndicalistes (Nicole Notat) et journalistes (Arlette Chabot, Alain Duhamel). Ils ont observé la manière « féminine » de diriger, en particulier à travers l'action de Ségolène Royal en Poitou-Charentes, celle de MAM au ministère de la Défense, de Martine Aubry à la Mairie de Lille ou encore de Marine Le Pen au sein de son parti. Comment ces femmes se comportent-elles dans l'exercice du pouvoir ? Quand elles accèdent aux plus hautes responsabilités, sont-elles vraiment meilleures que les hommes ? Sont-elles plus solidaires, plus à l'écoute ? La réponse semble être non : en politique, finalement, les femmes seraient des hommes comme les autres !

Quand les femmes prennent le pouvoir

" La femme est ménagère ou courtisane, écrivait Proudhon en 1851. Je regarde comme funestes et stupides toutes nos rêveries d'émancipation de la femme; je lui refuse toute espèce de droit et d'initiative politique; pour la femme, la liberté et le bien-être consistent uniquement dans le mariage, la maternité, les soins domestiques, la fidélité de l'époux, la chasteté et la retraite. (...) Nous ne comprenons pas plus une femme législateur qu'un homme nourrice." Certes, cela a pris du temps. Aujourd'hui, pourtant, un peu partout dans le monde, les femmes briguent les plus hautes investitures. " L'heure des femmes a sonné ", clamait en février 2006 Bernadette Chirac. Mais qui sont-elles, ces femmes qui nous gouvernent? Comment sont-elles arrivées là? Et que peut-on attendre des Ségolène Royal, Michèle Alliot-Marie, Françoise de Panafieu et tant d'autres qui prétendent nous diriger "autrement"? Les auteurs se sont longuement entretenus avec " celles qui comptent" et leur entourage. Ils ont observé la manière "féminine" d'exercer leur mandat, en particulier à travers l'action de Ségolène Royal en Poitou-Charentes, de MAM au ministère de la Défense, de Martine Aubry à la mairie de Lille, de Laurence Parisot au Medef. Comment ces femmes se comportent-elles une fois au pouvoir? Sont-elles vraiment meilleures que les hommes, plus sincères, plus à l'écoute?
De la loi sur la parité à l'ascension de Ségolène Royal en passant par un savoureux "florilège du sexisme ordinaire", une analyse piquante de la politique au féminin.

Quand les femmes prennent le pouvoir - Occasion

Et si l'on était plus riche à la fin de son existence qu'au début ? A l'ère du jeunisme érigé en valeur, il semblait nécessaire de remettre les choses à leur place. A travers une série de portraits intimes, les auteurs nous présentent des vieillesses épanouies, des gens âgés qui travaillent toujours, créent, aiment, voyagent, rêvent, font des projets. Savourant un sentiment inédit de liberté, les uns parlent de " transformation ", les autres de " reconversion ", voire de " nouvelle vie ", jamais de fin. Sans nier les soucis du quotidien, tous revendiquent un appétit de vivre intact, adouci par " cette sérénité et cette sagesse que seul donne le grand âge " (Jacqueline de Romilly). Leur recette ? Aucune, si ce n'est, pour le Pr Baulieu, spécialiste du vieillissement, cette évidence : " Le secret pour bien vieillir ? Avoir bien vécu ! " Un livre salutaire quand on sait qu'en 2010 les plus de 60 ans seront plus nombreux que les moins de 20 ans.

Passionnément vieux - Portraits intimes de vieillesses épanouies

Aux côtés des deux principaux candidats à l'élection présidentielle de 2002, quel rôle vont jouer leurs épouses, Bernadette et Sylviane, dans une bataille qui s'annonce sans merci ? Voilà deux femmes que tout différencie : la génération, le tempérament, le style, mais surtout une conception opposée du statut d'épouse d'homme politique. Bernadette Chodron de Courcel, mariée depuis quarante-cinq ans, a renoncé à faire carrière pour accompagner l'ambition de son mari. Sylviane Agacinski, qui était déjà professeur et philosophe reconnue avant de se marier à Lionel Jospin, revendique son indépendance et une liberté entière de parole. Cependant, d'importants changements se dessinent. Bernadette Chirac, outre ses engagements humanitaires et son mandat électoral en Corrèze, semble s'investir dans l'arène politique nationale et mettre dans la balance une nouvelle crédibilité. Quant à Sylviane, après un combat très remarqué en faveur de la parité et d'une nouvelle approche du féminisme, elle va probablement être contrainte, dans l'intérêt de Lionel, à sortir de la réserve qu'elle entendait observer. Les années de jeunesse et la formation de Bernadette Chirac et Sylviane Jospin, leur vie de couple, leurs loisirs, leurs goûts, leurs couturiers, leurs dépenses, leurs lieux de vie... tout intéresse les citoyens français. Car ces femmes ont déjà organisé au quotidien leur " fonction " d'épouses. Alors quelle influence exercent-elles sur leurs maris ? Veulent-elles - ou vont-elles - peser dans le débat politique, à la manière d'une Hillary Clinton aux USA ? En observant de près la nouvelle image des femmes d'hommes politiques, c'est le cœur du pouvoir que scrutent les auteurs.

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