Rhétorique(s) - Cahiers du séminaire de philosophie 9

On n'a jamais autant parlé de rhétorique qu'aujourd hui. Plaire, séduire, convaincre, argumenter, charmer, raisonner, en sont les maîtres mots. De la politique à la publicité, de la théorie littéraire à l'analyse du discours, il n'est de domaine qui n'ait été renouvelé par le « tournant rhétorique » qui s'est emparé des sciences humaines.Aujourd'hui, il faut trouver une unité à ce champ aux multiples aspects, ainsi qu'à tous les usages qui en sont faits.Dans une confrontation permanente entre la théorie et la pratique, cet ouvrage met en lumière les lois fondamentales qui régissent la rhétorique. Il donne à comprendre les mécanismes de la rhétorique à laquelle nous sommes tous soumis, afin de nous prémunir de la manipulation.

La rhétorique

Art de convaincre ou de séduire ?On n'a jamais autant parlé de rhétorique qu’aujourd’hui. Plaire, séduire, convaincre, argumenter, charmer, raisonner, en sont les maîtres mots. De la politique à la publicité, de la théorie littéraire à l'analyse du discours, il n'est de domaine qui n'ait été renouvelé par le "tournant rhétorique" qui s'est emparé des sciences humaines.Aujourd'hui, il faut trouver une unité à ce champ aux multiples aspects, ainsi qu'à tous les usages qui en sont faits.Dans une confrontation permanente entre la théorie et la pratique, cet ouvrage met en lumière les lois fondamentales qui régissent la rhétorique. Il donne à comprendre les mécanismes de la rhétorique à laquelle nous sommes tous soumis, afin de nous prémunir de la manipulation.Table des matièresChapitre premier. — Qu’est-ce que la rhétorique ?-Ancienne et nouvelle rhétorique : de la science du confus à la science de la réponse multiple-Les grandes définitions de la rhétorique-Une nouvelle définition de la rhétorique-Rhétorique et argumentation-Les genres rhétoriques-Les moments-charnières de l’histoire de la rhétoriqueChapitre II. — L’unité de la rhétorique et ses composantes : ethos, pathos, logos-L’ethos ou le soi incarné-Le pathos-Le logos-L’articulation ethos-pathos-logos comme fondement des parties de la rhétoriqueChapitre III. — Les grandes stratégies rhétoriques-Rhétorique de l’interaction : le jeu de l’ad rem et de l’ad hominem-La congruence, la rupture et l’écart entre ethos projectif et ethos effectif et leur impact sur le logos-Tableau du cycle rhétorique : décalages et ajustements de l’ethos et du pathos-Les réponses qui maintiennent les réponses en dépit de l’opposition, ou comment avoir toujours raisonChapitre IV. — Rhétorique et argumentation : la loi fondamentale d’unification des champs-Structure générale de la relation rhétorique-Questions externes et internes, directes et indirectes-En quoi la rhétorique est-elle argumentative, et l’argumentation, rhétorique ?-La logique argumentative-Le raisonnement argumentatif (ou enthymème) et le raisonnement logique : deux formes différentes et complémentaires de rationalité-Induction et exemplification-La forme du problématique en rhétoriqueChapitre V. — Tropes et figures : du catalogue infini à la compréhension de leur principe-Structure générale de la figure de rhétorique-La genèse des formes rhétoriques (ou figures) ou quand le langage figuratif donne lieu à des tropes-La métaphore-La métonymie et la synecdoque-Ironie, métaphore, synecdoque et métonymie-Les autres figuresChapitre VI. — Usages de la rhétorique en sciences humaines : l’ethos en action-Pourquoi l’ethos ?-Psychanalyse : l’inconscient comme rhétorique du corps-’Histoire comme métaphorisation-La société comme rhétorisation de l’ethos-Rhétorique et philosophie-Rhétorique et politique : la logique de l’idéologieChapitre VII. — La rhétorique littéraire ou le logos en œuvres-La littérarité comme autocontextualisation de la différence problématologique-La loi de complémentarité problématologique du littéral et du figuré-L’historicité de la loi fondamentale de la rhétorique littéraire-Le figuratif et le prosaïque-L’évolution des genres littérairesChapitre VIII. — Le pathos ou le règne de l’image : propagande et publicité-Publicité et propagande-La loi de problématicité du genre publicitaire-La rhétorique de la séduction : entre publicité et politiqueBibliographie

La philosophie de l'éducation n'est pas une doctrine mais un questionnement, elle s'interroge sur le sens et les limites des sciences de l'éducation. Dans cet ouvrage le lecteur trouvera une réflexion sur l'éducation, sa finalité, ses institutions, ainsi qu'une interrogation sur les valeurs transmises par la pédagogie. S'il s'interroge sur le critère d'une éducation réussie, le philosophe lui répondra qu'on n'en finit jamais de devenir homme.

La philosophie de l'éducation

Quel enseignant et quel éducateur ne se sont pas posé un jour la question : qu'est-ce qu'apprendre ? Au-delà de la diversité de sens, Olivier Reboul nous invite, en philosophe, à saisir l'unité profonde de l'acte d'apprendre et ses modalités spécifiques dans la relation d'enseignement. En confrontant les auteurs les plus variés et en analysant des notions telles que l'information, la motivation, la compétence, la discipline, l'autorité, l'auteur nous conduit vers une philosophie de l'enseignement et plaide pour une "pédagogie de la compétence". Apprendre, c'est comprendre et "comprendre est par excellence l'acte que personne ne peut faire pour moi".Longtemps professeur de philosophie de l'éducation à l'université de Strasbourg II, Olivier Reboul nous livre dans cet essai d'une grande rigueur l'essence d'un acte complexe qui trouve son sens le plus achevé dans l'enseignement.Loin des critiques acerbes à l'égard de l'institution enseignante, cet ouvrage est aussi un éloge de l'enseignement

Qu'est-ce qu'apprendre? : pour une philosophie de l'enseignement

La philosophie de l’éducation n’est pas une doctrine mais un questionnement qui remet radicalement en cause tout ce que nous croyons savoir en ce domaine. Elle s’interroge donc également sur le sens et les limites des sciences de l’éducation.Dans cet ouvrage, le lecteur trouvera une réflexion sur l’éducation, du point de vue de sa finalité et de ses institutions, ainsi qu’une interrogation sur les valeurs transmises par la pédagogie. Enfin, s’il se demande quel est le critère d’une éducation réussie, le philosophe lui répondra qu’on n’en finit jamais de devenir un homme.

La philosophie de l'éducation

Quel rapport établir entre l'information et la formation, l'apprentissage et l'étude, l'initiation et l'enseignement ? Les analyses de l'auteur aboutissent à la thèse suivante : si l'on peut apprendre bien des choses, souvent essentielles, hors de l'enseignement, celui-ci constitue néanmoins une manière spécifique d'apprendre. Les critiques radicales qu'on adresse aujourd'hui à l'institution enseignante permettent en fait de comprendre a contrario ce qu'elle a d'irremplaçable : « S'il existe des écoles, c'est précisément parce que la vie n'en est pas une. »En confrontant les auteurs les plus divers, en analysant des notions comme l'information, le savoir-faire, le savoir, le pouvoir enseignant, le maître, la discipline, la non-directivité, la motivation, l'évaluation, la compétence., cet essai tente de poser de façon philosophique la question à laquelle tout éducateur se heurte un jour ou l'autre : qu'est-ce qu'apprendre ?

Qu'est-ce qu'apprendre ? - Pour une philosophie de l'enseignement

Introduction à la rhétorique

La philosophie de l’éducation n’est pas une doctrine mais un questionnement qui remet radicalement en cause tout ce que nous croyons savoir en ce domaine. Elle s’interroge donc également sur le sens et les limites des sciences de l’éducation.Dans cet ouvrage, le lecteur trouvera une réflexion sur l’éducation, du point de vue de sa finalité et de ses institutions, ainsi qu’une interrogation sur les valeurs transmises par la pédagogie. Enfin, s’il se demande quel est le critère d’une édu­cation réussie, le philosophe lui répondra qu’on n’en finit jamais de devenir un homme.

La philosophie de l'éducation n'est pas une doctrine mais un questionnement qui remet radicalement en cause tout ce que nous croyons savoir en ce domaine. Elle s'interroge donc également sur le sens et les limites des sciences de l'éducation. Dans cet ouvrage, le lecteur trouvera une réflexion sur l'éducation, du point de vue de sa finalité et de ses institutions, ainsi qu'une interrogation sur les valeurs transmises par la pédagogie. Enfin, s'il se demande quel est le critère d'une éducation réussie, le philosophe lui répondra qu'on n'en finit jamais de devenir un homme.

L'elan humain: Ou, L'education selon Alain

"Quel rapport établir entre l'information et la formation, l'apprentissage et
l'étude, l'initiation et l'enseignement ? Les analyses de l'auteur aboutissent
à la thèse suivante : si l'on peut apprendre bien des choses, souvent
essentielles, hors de l'enseignement, celui-ci constitue néanmoins une manière
spécifique d'apprendre. Les critiques radicales qu'on adresse aujourd'hui à
l'institution enseignante permettent en fait de comprendre a contrario ce
qu'elle a d'irremplaçable : « S'il existe des écoles, c'est précisément parce
que la vie n'en est pas une... » En confrontant les auteurs les plus divers, en
analysant des notions comme l'information, le savoir-faire, le savoir, le
pouvoir enseignant, le maître, la discipline, la non-directivité, la
motivation, l'évaluation, la compétence..., cet essai tente de poser de façon
philosophique la question à laquelle tout éducateur se heurte un jour ou
l'autre : qu'est-ce qu'apprendre ?" Olivier Reboul était professeur de
philosophie de l'éducation à l'Université de Strasbourg II ; il a écrit
notamment Le slogan, L'endoctrinement, La philosophie de l'éducation, Langage
et idéologie, Le langage de l'éducation, La rhétorique, Les valeurs de
l'éducation.

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