20 avril 1962. Le héros a 12 ans, il écoute Salut les copains sur son transistor. Pour lui, la vie commence avec une nouvelle musique, le rock'n'roll, et la découverte du monde. Elle se poursuit jusqu'au 29 mai 2009, date du dernier spectacle de Johnny Hallyday au Stade de France. Entre les deux, c'est le roman d'une génération. Les événements de mai 68 font éclore une jeunesse tournée vers la modernité, ouverte sur le monde et les idées nouvelles. Un fil directeur : les chansons de Johnny Hallyday et de ces idoles qui ont accompagné cette génération. Dans un style intimiste, les personnages évoluent dans ce monde qui bâtit l'Europe, fait avancer la cause des femmes et prépare le XXle siècle. Dans ce roman ponctué par les grands événements, du printemps de Prague à la chute du mur de Berlin, de la contraception à l'IVG, de l'alunissage de Neil Armstrong à la Messe pour le temps présent de Béjart, de Tian'anmen aux Twin Towers, du Deuxième sexe à L'insoutenable légèreté de l'être, les personnages se croisent et se recroisent au gré des événements et de leurs sentiments. D'abord d'un enthousiasme sans limites, ils glisseront progressivement vers une forme de désenchantement qui a inspiré le titre du roman. Titre aussi du dernier spectacle de Johnny Hallyday, chanteur qui a symbolisé cette époque et incarné cette génération.

M'arrêter là - Le roman d'une génération

20 avril 1962. Le héros a 12 ans, il écoute Salut les copains sur son transistor. Pour lui, la vie commence avec une nouvelle musique, le rock'n'roll, et la découverte du monde. Elle se poursuit jusqu'au 29 mai 2009, date du dernier spectacle de Johnny Hallyday au Stade de France. Entre les deux, c'est le roman d'une génération. Les événements de mai 68 font éclore une jeunesse tournée vers la modernité. Dans un style intimiste, les personnages évoluent dans ce monde qui bâtit l'Europe, fait avancer la cause des femmes et prépare le XXIe siècle. Dans ce roman ponctué par les grands événements, du printemps de Prague à la chute du mur de Berlin, les personnages se croisent et se recroisent au gré des événements et de leurs sentiments. D'abord d'un enthousiasme sans limites, ils glisseront progressivement vers une forme de désenchantement qui a inspiré le titre du roman.

M'arrêter là

En Sologne, aujourd'hui encore, on aime raconter des histoires. Elles réjouissent la vie des solognots. Gens ordinaires, ils se distinguent de leurs voisins par leur terre peu féconde.
C'est peut-être pour cela qu'au fond des forêts et des étangs, ils cherchent un trésor caché, ces légendes qui portent l'extraordinaire de leurs vies.
Ainsi, les contes font-ils partie de l'âme de cette terre, de la mémoire partagée des Solognots où s'affirme, dans la continuité des générations, la transmission d'un art de vivre.
Personnages communs ou mythiques, paysans et vignerons, chasseurs, et braconniers, pêcheurs, curés, instituteurs, facteurs, notables mais aussi diables et bons-dieux, saints et parjures comme birettes et sorciers tous les héros de la Sologne sont là.
Ils nous émeuvent et nous font rire, nous font rêver autant qu'ils nous font peur, mais toujours pour notre plaisir.
C'est le mystère de la Sologne. Ce sont les contes des Pierderies.

Les contes des Pierderies

L'histoire de cette ligne tient un peu de la saga ferroviaire. Au départ, chemin de fer d'intérêt local de Bonson à St-Bonnet-le-Château, elle fut construite à l'économie dans un cadre spéculatif. Après sa mise en service, le 4 octobre 1873, elle connut deux séquestres, une mise en vente par adjudication, deux compagnies et un rachat par l'Etat... Puis, concédée au PLM à titre d'intérêt général dans le plan Freycinet, la ligne fut prolongée jusqu'à Craponne en 1897, puis enfin jusqu'à Sembatlel en 1902. Lien entre la plaine du Forez et les hauts plateaux aux confins du Velay et du Livradois, la ligne assura vaillamment le service jusqu'en 1969. Fermée aux voyageurs, puis aux marchandises presque vingt ans après, elle va disparaitre tranquillement sous les herbes folles et les genets dorés. Heureusement, tout finit bien, car même si son tronçon initial n'existe plus, la ligne mai revit. Devenue Chemin de Fer du Haut-Forez, cette centenaire voit circuler en train touristique et elle participe activement à l'animation des contrées si attrayantes qu'elle parcourt. Voilà l'histoire que vous aller découvrir ! Pierre Simonet

La ligne Bonson-Sembadel et le chemin de fer du Haut-Forez

Le passage d'un siècle à l'autre revêt une force symbolique qu'on ne peut ignorer. Plus encore que toute autre occasion commémorative, il engage irrésistiblement un regard rétrospectif, au retour sur une époque désormais révolue, à la recherche des traces dans la page tournée, à la nostalgie parfois. C'est un peu de temps retrouvé que nous proposons ici au lecteur-spectateur, une promenade photographique en des lieux qui, parmi d'autres bien sûr, virent naître et se développer cette frivole invention du dix-neuvième siècle finissant : le sport. On pourrait jalonner le chemin parcouru par la célébration des hauts faits, feuilleter le siècle des exploits, chanter les héros. D'autres l'ont fait, le font ou le feront : le genre est rebattu. C'est ici un tout autre regard qui est porté, avec tout simplement l'ouverture de quelques boîtes d'archives photographiques de l'iconothèque de l'Institut national du sport et de l'éducation physique, une promenade au fil du temps, au gré de quelque histoire que le cliché révèle ou dissimule, au hasard de la découverte. Les choix proposés n'ont pas d'autre motivation, pour chaque photographie, que les désirs des auteurs de s'y arrêter. Une histoire souvent, des circonstances, des personnages, s'y rattachent. C'est alors l'occasion de les redécouvrir. Mais il y aussi le cliché sans identité, le visage et le décor sans nom. La photo anonyme et un lieu de mystère. Une énigme qui donne à rêver plus encore qu'à voir. La posture du sujet, son regard ou son geste figé, engage à la contemplation, à la reconstruction, à la recherche de ce qui nous échappe, au déchiffrement, à l'invention parfois d'une légende La photographie n'est pas la réalité. Tout au plus l'image d'une partie de la réalité, c'est-à-dire un choix, un instant, un angle, un cadre, parmi mille autres possibles, le regard de son auteur. La photo est une impression fragile. Dans la trace argentique, porteuse d'information, de sens, de poésie ou de beauté plastique, de vie, un geste furtif s'accroche, un regard se fige, un instant s'attarde. Mais pour combien de temps, pour combien de regards ? La photo demande qu'on la préserve, qu'on en prolonge les traces labiles de l'instantané, qu'on la fasse vivre aussi en l'accrochant à la cimaise du présent. C'est le sens de cette promenade dans des images qui nous parlent des sports et des hommes.

Des Sports Et Des Hommes. Itineraire Photographique

L'I.N.S.E.P. De La Gymnastique Joinvillaise Aux Sports Contemporains

Pendant quarante ans, la progression du communisme dans le Tiers Monde a suivi les grandes lignes tracées dès 1920, confirmées dans les « Programmes des partis communistes d'Orient » en 1934. Pendant quarante ans, pourtant, les Occidentaux seront constamment surpris par les succès russes, alors qu'il suffisait de se reporter aux débats publics du début de la révolution pour en avoir, à l'avance, une idée précise. La première partie du livre montre donc que, grâce à l'imprévoyance des Occidentaux, les Russes atteindront leurs objectifs en Orient et en Afrique. Mais, dans le même temps, le dogmatisme stalinien conduit l'U. R. S. S. à une impasse. C'est qu'en quarante ans, les données économiques, sociales et politiques de la conjoncture mondiale se transforment du tout au tout. Ainsi, l'impérialisme qui, selon Lénine, devait périr avec la fin de ses colonies, entraînant dans sa mort le capitalisme, se retire du Tiers Monde sans que les pays européens se ressentent - et même au contraire - de la décolonisation. Le « cartièrisme » a raison contre le léninisme. La vie secrète des partis communistes en pays d'Islam est minutieusement exposée, expliquant pour la première fois des remous qui, jusqu'ici, intriguèrent l'opinion mondiale. La conclusion de cette étude : effrayés par la poussée chinoise, désorientés par le comportement des gouvernements nationalistes, les Russes révisent leur politique proche-orientale, tandis qu'à Pékin, les néo-Marxistes préconisent la révolution permanente contre les Capitalistes et aussi contre « les traîtres réformistes de Moscou » : une nouvelle question d'orient commence...

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