Dans ce bouleversant monologue, Pino Cacucci donne la parole à Frida Kahlo. Quelques jours avant sa mort, elle revit sans complaisance ses tourments, sa solitude, ses moments de désespoir surmontés à force de volonté. Elle  évoque ses relations orageuses avec le peintre muraliste Diego Rivera, l'homme de sa vie, et explique sa passion pour « son » Mexique. Elle  revient également sur ses idéaux politiques, son amitié avec Léon Trotski et ses innombrables liaisons. 
Une vie débordante d'excès, débordante de couleurs comme sa peinture qu'elle a commencée alors qu'elle était clouée au lit. Une vie de rebelle qui, bien que née en 1907, aimait à dire qu'elle était née en 1910, avec la Révolution mexicaine.

« Se mettant dans la tête de Frida Kahlo, Cacucci dévoile les pensées les plus intimes de la grande peintre mexicaine, dans une langue particulièrement lyrique et envoûtante. » (Stefano Tassinari, Liberazione) 

« Qui mieux que Pino Cacucci, fin connaisseur du Mexique, pouvait décider de faire parler Frida Kahlo ? Ce texte dense, qui a emprunté son titre à celui d'un tableau de la peintre, est le récit à la première personne d'une femme emprisonnée en elle-même, et pourtant férocement attachée à la vie. » (Grazia Italie)

Viva la vida !

Polvere e sole. Silenzi. Pochi spiccioli guadagnati per la strada offrendo rime in cambio di pietà. Perché Lupo ha un talento: sa come trasformare in musica ciò che vede. Un giorno incontra un Re, entra a far parte della sua corte e acquista un ruolo: diventa l'Artista. Canta corridos per il suo Signore e con la Bimba scopre l'amore che fino ad allora aveva conosciuto solo per sentito dire. Ma a poco a poco i suoi occhi si abituano allo sfarzo del Palazzo e iniziano a intravedere gli orrori e la corruzione che si celano dietro ai potenti facendo nascere in lui un profondo desiderio di libertà e indipendenza. La ballata del re di denari, è uno degli esordi letterari più dirompenti degli ultimi anni. Utilizzando lo stile caratteristico e affascinante della favola, Yuri Herrera mette a nudo i meccanismi che ordinano il mondo dei narcotrafficanti e ci regala una tragedia shakespeariana ambientata in Messico.

La ballata del re di denari

Renouant avec son amour pour le Mexique, Pino Cacucci arpente la Basse-Californie, du Sud au Nord, de La Paz à la frontière de Tijuana. Son récit est un plaidoyer pour le respect de la nature et des baleines, qui ont pris l'habitude d'affluer dans cette région, véritable sanctuaire où elles trouvent refuge.

Pino Cacucci nous invite à un voyage rythmé par des descriptions et des anecdotes inoubliables. Sur les traces de Steinbeck, qui y séjourna dans les années 1940, il redécouvre les légendes des amazones et des perles géantes, rassemble des histoires de pirates et de trésors ensevelis, de Jésuites et de missions abandonnées, d'Indiens et de voyageurs perdus.

Ce que savent les baleines

Poussières mexicaines

Les personnages de ce livre ont réellement existé, et les faits qui y sont rapportés sont réellement arrivés.Tout le reste est fiction.C'est-à-dire les dialogues, le contexte et les aventures qui servent de toile de fond, quelque comparse destiné à combler le vide laissé par la chronique.Il s'agit donc d'un roman, et rien de plus.Un roman qui ne peut même pas être qualifié d"'historique", car l'Histoire est toujours écrite par les vainqueurs ; dans les pages qui suivent les personnages ont en revanche tout perdu : batailles, travail, amis, idéaux, leur vie même.L'unique chose qu'ils sont parvenus à ne point perdre est la dignité.Mais ils ont eu la malchance de vivre à une époque où la dignité est la dernière des qualités nécessaires pour passer à l'Histoire.

En Tout Cas, Pas De Remords

André Breton disait du Mexique qu'il est "le seul pays au monde instinctivement surréaliste". Rien ne sert de vouloir l'expliquer, il suffit simplement d'y croire, comme l'Italien Pino Cacucci, connu en France pour ses romans noirs. En une trentaine d'histoires couvrant tout le Mexique dans l'espace et le temps, il nous guide dans un pays d'un millier d'ethnies, un pays qui depuis plus d'un siècle sert de refuge aux vaincus de toutes les guerres civiles, un pays qui n'est pas seulement pauvreté lancinante ou richesse obscène. On croisera au détour de ce livre de singuliers personnages, des mécaniciens philosophes et des vendeurs de pneus anthropologues, des éleveurs de coqs et des nageurs d'Acapulco, une modeste logeuse dépositaire de légendes millénaires, et jusqu'à Octavie Paz, prix Nobel de littérature.

Un viaggio notturno per raggiungere un padre in fin di vita; un vecchio pugile che si aggrappa a un ritaglio di giornale per rievocare gli antichi splendori; un uomo che tace invece di pronunciare le poche parole che potrebbero salvare la vita di un bambino; un amore che oscilla tra violenza e malinconia; carte perdute o forse rubate. Sono solo alcune delle indelebili scene di Falso nome, la raccolta di racconti in cui Piglia dà vita per la prima volta a una mescolanza di generi unica - dal poliziesco all'autobiografia allo scritto testimoniale - appropriandosi di suggestioni e influenze letterarie: dall'imperitura presenza di Borges, che troviamo fra le righe, alla prosa spigolosa ed espressionista di Roberto Arlt. Proprio ad Arlt è dedicata la nouvelle che dà il titolo al volume: un omaggio all'enfant terrible delle lettere argentine e insieme un piccolo capolavoro di stile in cui l'eterno alter ego di Piglia, Emilio Renzi, si mette sulle tracce di un manoscritto perduto, e finzione e realtà si sovrappongono fino a diventare del tutto irriconoscibili. In questa raccolta, che appare oggi per la prima volta in traduzione italiana, Ricardo Piglia fa quello che sa fare meglio: giocare con la realtà e la maschera, mostrandoci in ogni pagina la sua idea di letteratura.

Falso nome

Gino Mastruzzi est un détective privé, façon de parler. Oui, de temps en temps, on lui confie une affaire à résoudre, mais ses enquêtes finissent toujours par la découverte d'une réalité qui ne peut pas - qui ne peut plus - " se résoudre ". C'est la réalité urbaine du marginalisme et du racisme, des poches de pauvreté et de la délinquance dans le cadre d'une ville " civilisée " et opulente comme Bologne. Plutôt qu'enquêteur, Mastruzzi - bourru, donquichottesque - est une sorte d'assistante sociale. Il se jette à l'eau partout où il flaire l'injustice et finit ainsi par démasquer une ville faite également d'arrogance, de pouvoir occulte, de personnages intouchables... Gino Mastruzzi a beaucoup d'amis parmi les vagabonds et les S. D. F., les gitans et les immigrés, les mendiants et les chômeurs et, partageant leur lutte quotidienne contre les moulins à vent, il ne triomphe jamais. Toutefois, il se sort de chaque nouvelle entreprise hasardeuse, conservant le seul bien précieux à ses yeux : la dignité.

Mastruzzi Enquete. Petites Histoires De Bolognais Tres Civils Dans Une Bologne Incivile Et Barbarisee - Occasion

Soldi bruciati racconta la vera storia di una rapina avvenuta a Buenos Aires nel 1965: in combutta con alcuni politici e poliziotti, una banda di malviventi assalta un furgone portavalori. Qualcosa va storto e il piano finisce in un bagno di sangue. A quel punto i ladri fuggono in Uruguay con l'intero bottino, scatenando una caccia all'uomo che si concluderà con un vero e proprio assedio in un appartamento di Montevideo. A oltre trent'anni di distanza, Ricardo Piglia ricostruisce l'accaduto nei minimi dettagli - grazie a interviste, testimonianze, documenti giudiziari, registrazioni segrete -, con la maestria di chi da sempre gioca con ogni materiale a disposizione per trasformarlo in letteratura. Così, i protagonisti di un evento di cronaca si fanno personaggi letterari, ognuno a suo modo indelebile. Conosciamo quindi Malito e il Cuervo Mereles, il terribile commissario Silva e i due « gemelli » che sono l'anima della banda e del romanzo: il Gaucho Dorda e il Nene Brignone - amici, fratelli, amanti. Come lo stesso autore afferma nell'epilogo alla prima edizione (1997), Soldi bruciati è « la versione argentina di una tragedia greca », in cui il giornalismo investigativo cede il passo a un'avvincente storia fatta di violenza e d'amore, di tradimenti e di resistenza, nella quale il confine tra bene e male si fa più labile a ogni pagina.

Soldi bruciati

Dans ce bouleversant monologue, Pino Cacucci donne la parole à Frida Kahlo. Quelques jours avant sa mort, elle revit sans complaisance ses tourments, sa solitude, ses moments de désespoir surmontés à force de volonté. Elle évoque ses relations orageuses avec le peintre muraliste Diego Rivera, l’homme de sa vie, et explique sa passion pour « son » Mexique. Elle revient également sur ses idéaux politiques, son amitié avec Léon Trotski et ses innombrables liaisons.Une vie débordante d’excès, débordante de couleurs comme sa peinture qu’elle a commencée alors qu’elle était clouée au lit. Une vie de rebelle qui, bien que née en 1907, aimait à dire qu’elle était née en 1910, avec la Révolution mexicaine.« Se mettant dans la tête de Frida Kahlo, Cacucci dévoile les pensées les plus intimes de la grande peintre mexicaine, dans une langue particulièrement lyrique et envoûtante. » (Stefano Tassinari, Liberazione)« Qui mieux que Pino Cacucci, fin connaisseur du Mexique, pouvait décider de faire parler Frida Kahlo ? Ce texte dense, qui a emprunté son titre à celui d’un tableau de la peintre, est le récit à la première personne d’une femme emprisonnée en elle-même, et pourtant férocement attachée à la vie. » (Grazia Italie)

Viva la vida

San Isidro est un avant-poste de la civilisation chrétienne dans la Sierre Madre. Une cinquantaine d'âmes et une équipe de football récemment créée. Le premier match menace d'être catastrophique : le gardin de but est atteint d'une diarrhée tenace, et le résultat repose sur les épaules du jeune Quintino. Lequel vient de passer une nuit mouvementée avec la belle et épuisante Antonia : sa prestation en première mi-temps est lamentable. Mais, au milieu du match, Quintino tombe le nez dans la ligne blanche qui délimite le terrain et se sent pris d'une ardeur subite. Il faut dire que les lignes ont été tracées, faute de plâtre, avec le contenu d'un sac d'engrais dont le vieux Cristobal refuse d'avouer la provenance... Bref, tout cela est absolument hilarant.  Suivent quinze nouvelles qui brodent sur les thèmes de la mort, du meurtre et de la folie dans un style fort et violent.

San Isidro football club

Tina Modotti

Secondo la mitologia azteca, il Mictlán era il livello inferiore del mondo sotterraneo, l'aldilà abitato dai signori della morte. La leggenda lo situava a nord e per raggiungerlo bisognava percorrere un cammino irto di ostacoli scandito in nove tappe. La prima era la Terra e l'ultima "Il luogo di ossidiana, dove non ci sono finestre, né fori per il fumo". Questo è il viaggio di Makina, la protagonista del romanzo. Sua madre Kora le ha chiesto di andare a nord in cerca del fratello partito molti anni prima senza fare mai più ritorno. Makina attraverserà città e fiumi senza nome, chiederà consiglio ai duri della Cittadina, tratterà con i capi clan e consegnerà un pacchetto di cui ignora il contenuto. Segnali che precederanno la fine del mondo procede con il ritmo di una favola e ci fa varcare il confine impalpabile tra ciò che sta scomparendo e quello che ancora non è nato.

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