Internationalement reconnu pour sa rigueur et sa complétude, ce manuel propose une approche pluridisciplinaire des systèmes d'information (SI). Il explique comment ces derniers peuvent améliorer les prises de décision, accroître la rentabilité, et fournit tous les éléments qui permettent aux managers de tirer profit des systèmes d'information sur le plan tant stratégique qu'opérationnel. Toutes les composantes relatives aux SI sont détaillées et analysées : La première partie expose le rôle que jouent les différents types de SI dans les organisations et les changements que provoquent Internet et les outils informatiques. Elle aborde également la stratégie et les questions d'ordre éthique et social ; La deuxième partie décrit les plates-formes matérielles et logicielles ainsi que les technologies utilisées dans la gestion des données et des communications Internet, réseaux sans fil, sécurité : La troisième partie traite de l'amélioration des processus : supportés par les systèmes de gestion de la chaîne logistique, les systèmes de gestion de la relation client, les systèmes de gestion des connaissances et les systèmes d'aide à la décision : La quatrième partie porte sur le développement et la gestion des systèmes dans les organisations. Elle explique en particulier la manière dont les entreprises doivent faire évoluer et exploiter les SI lors de changements organisationnels. Cette 9e édition est remarquable notamment pour son adaptation minutieuse aux spécificités françaises et plus généralement européennes : les éléments culturels, réglementaires et économiques américains ont été remplacés ou complétés par des équivalents européens (la CNIL par exemple). Chaque chapitre commence par une étude de cas réelle qui introduit les notions développées par la suite. La présence d'un résumé à la fin de chaque chapitre, les nombreux exercices variés (questions de révision, exercices de synthèse, questions de réflexion, projet de commerce électronique), l'étude de cas de fin de chapitre et la bibliographie finale font de ce livre un support hautement pédagogique.

Management des systèmes d'information - Occasion

L'ensemble des réflexions fondamentales et appliquées sur le calcul des coûts, des plus classiques aux plus récentes, dans le contexte des activités industrielles et de services de la fin du siècle. « Copyright Electre »

La nouvelle comptabilité des coûts

Nos sociétés se posent avec acuité la question de leur relation au vivant, dont témoigne l'importance prise par les thèmes de l'écologie et de la biodiversité, la mise en place de comités d'éthique. Le questionnement sur la vie elle-même n'étant pas dénué de toute dimension imaginaire et mythique. Alors que la Modernité nous a habitués à vivre dans une dynamique de progrès continuel, des effets techniques néfastes se manifestent : pollutions, stérilisation des sols, perte de biodiversité, quand l'homme en société s'est cru en passe de dominer la nature, de l'asservir, quand la société industrielle poursuit la fabrique d'un écosystème artificiel régulé par des automates devenus les modèles dominants de nos fonctionnements individuels, culturels et sociaux. Qu'en est-il alors de nos organisations et systèmes éducatifs : éprouvent-ils aujourd'hui le besoin de redonner toute sa place au vivant quand se réinvente sous nos yeux notre relation avec lui ? Ce sont à ces questions que se sont efforcés de répondre, en janvier 2015, les 25 chercheurs et praticiens engagés sur les territoires du vivant : organisateurs, gestionnaires et enseignants lors d'une rencontre internationale, ils répondaient à l'appel du Cnam des Pays de la Loire souhaitant provoquer une réflexion instrumentée et critique sur l'avenir du vivant dans nos sociétés. Il en découle, ce dont témoigne ce livre, outre des confrontations théoriques inédites, une réflexion sur notre capacité collective à envisager des collaborations mutuelles entre organismes scientifiques, entreprises, et associations ou organisations militantes.

Le vivant : histoires - Colloque

" L'évidence " du changement organisationnel est devenue un tel poncif aujourd'hui qu'il mérite un sérieux questionnement. Cet ouvrage met en perspective les logiques de ce qui se dit et s'écrit à son propos. Il offre donc une revue de la littérature du domaine. Mais, surtout, il met en perspective les logiques du changement organisationnel pour qu'il ne soit plus considéré comme un remède à tout tant en ce qui concerne son fondement conceptuel que sur sa mise en œuvre. Il aborde ainsi des questions telles que le regard qu'il est possible de porter sur les deux grandes perspectives biologiques que sont le transformisme lamarckien et la sélection darwinienne, le changement voulu par les hommes ou " imposé " par le contexte avant d'examiner la question de la résistance au changement. La place du diagnostic organisationnel et donc l'importance de l'observation est celle d'un parti pris épistémologique. Cette observation invite à une lecture de l'organisation, à travers une pluralité d'approches théoriques, qui s'agencent pour donner des tendances qui doivent constamment être discutées et affinées. Ce livre se veut un trait d'union entre le monde académique et celui de l'entreprise. Une réconciliation intelligente parce qu'indubitable, mais trop longtemps repoussée. La rencontre des deux " mondes " est en effet bien difficile, se jugeant l'un l'autre et se qualifiant mutuellement d'inapproprié.

La "dérive" organisationnelle

Les sciences de gestion sont objet de débats aujourd'hui. Cet ouvrage résulte des travaux d'un groupe de réflexion dirigé par Yvon Pesqueux à la Reims Management School. Le système d'enseigne ment de gestion se trouve en effet aujourd'hui confronté à des enjeux quantitatifs et qualitatifs. Quantitatifs car les cursus d'enseignement de gestion sont aujourd'hui dominants dans l'ensemble des filières d'enseignement supérieur, qualitatifs car l'affaissement des contenus des enseignements de gestion dans des perspectives technicistes conduit à s'interroger sur leur niveau qualitatif. Qualitatifs encore car l'internationalisation des perspectives touche l'appareil d'enseignement en son cœur : qu'est-ce qui fera qu'aujourd'hui un étudiant mexicain et demain un étudiant français sortant des classes préparatoires viendra capitaliser des crédits à Reims plutôt qu'à Rotterdam... Ceci est donc à l'origine d'un questionnement qui concerne aujourd'hui les écoles de commerce françaises dans la mesure où ce qui leur est demandé diffère de la tradition parfois plus que séculaire qui était la leur et qui consistait à fournir les entreprises locales des cadres gestionnaires dont elles avaient besoin. Cet ouvrage est donc le fruit d'un " premier " questionnement.

Points de vue sur les sciences de gestion

L'entreprise multinationale doit être efficace. Mais l'efficacité, comme principe de gestion, est dangereuse pour le client, le consommateur, le salarié, mais aussi pour l'entreprise elle-même. Celle-ci, implantée dans des pays différents, nie les " spécificités locales " pour faire valoir sa propre vision du monde... des affaires. Le projet de cet ouvrage repose sur la volonté de comprendre comment les dirigeants des entreprises multinationales imposent. sans pourtant réellement forcément le vouloir. une vision d'un monde réduit où la diversité aurait laissé la place à une société finalement homogène et servile au nom de l'efficience et d'un bien-être vu strictement sous l'angle économique. Il ne s'agit pourtant pas seulement ici de prendre en considération cette perspective, mais également de considérer la manière d'appréhender la substance de l'activité économique dans sa vocation à se réaliser dans des espaces culturellement différents, ce qui conduit alors à devoir questionner le concept de culture.

L'entreprise multiculturelle

À l'heure des fake news et de la « post vérité », une interrogation s'impose : comment distinguer réalité et fiction ? S'il importe d'éviter les confusions et la désinformation, il apparaît que ces deux mots ne sont pas systématiquement antinomiques et que des relations se nouent en eux régulièrement, dans la narration, le discours et le récit. Dans quelle mesure les récits peuvent-ils être assimilés à des fictions ? Quelles sont les fonctions de ces récits, parfois instrumentalisés ? La fiction peut d'ailleurs être partie prenante de l'activité scientifique en aidant le chercheur à illustrer, voire à structurer et à finaliser, ses travaux.

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