Bernard Herrmann
Bernard Herrmann, né le 29 juin 1911 à New York et mort le 24 décembre 1975 à Los Angeles, est un compositeur et chef d’orchestre américain. Il doit sa réputation internationale aux musiques qu'il écrivit pour les films d'Alfred Hitchcock. Il débuta à Hollywood en 1940 en composant la musique du film Citizen Kane d'Orson Welles. Il fut redécouvert à la fin de sa vie par la génération du Nouvel Hollywood pour laquelle il écrivit et dirigea ses dernières partitions (Taxi Driver de Martin Scorsese). Il s’illustra aussi par ses compositions et directions pour la radio et la télévision. Il est considéré comme un des plus grands compositeurs de l'histoire du septième art.
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@bernardHerrmann
Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
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Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
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Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
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Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
@bernardHerrmann
En tant que compositeur, je pourrais me classer comme un néo-romantique, dans la mesure où j'ai toujours considéré la musique comme une forme d'expression très personnelle et émotionnelle. J'aime écrire de la musique qui s'inspire de la poésie, de l'art et de la nature. Je ne me soucie pas de la musique purement décorative. Bien que je suis en sympathie avec les idiomes modernes, je déteste la musique qui n'essaye rien de plus que l'illustration d'une mode stylistique. Et en utilisant des techniques modernes, j'ai essayé à tout moment de les subjuguer à une idée plus large ou à un sentiment humain plus grand.
@bernardHerrmann
Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
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Je pense que la musique à l'écran peut rechercher et intensifier les pensées intérieures des personnages. Il peut investir une scène avec terreur, grandeur, gaieté ou misère. Il peut propulser le récit en avant, ou le ralentir. Il soulève souvent un simple dialogue dans le domaine de la poésie. Enfin, c'est le lien communiquant entre l'écran et le public, tendant la main et enveloppant tout en une seule expérience.
@bernardHerrmann
Vos opinions sont aussi étroites que votre cravate.