Faut-il avoir peur des robots ? Les plateformes que sont Facebook, Google et autres vont-elles régner sans partage sur l'économie ? Que deviennent les compétences et les métiers à l'ère du tout-numérique ?

Écrit par deux des meilleurs spécialistes de la transformation numérique, ce livre met à la portée de tous les évolutions que l'on constate aujourd'hui, notamment en matière d'intelligence artificielle - algorithmes de plus en plus puissants, apprentissage profond (deep learning), etc. 

Plutôt que de céder à la crainte et aux fantasmes que font naître ces bouleversements, Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee nous invitent à imaginer de nouvelles collaborations entre la machine et le cerveau humain, les plateformes et les produits, l'intelligence collective et les savoir-faire au sein des entreprises.

Nourri d'exemples passionnants de machines intelligentes et créatives, d'entreprises pionnières, de collaborations possibles entre la machine et l'homme, ce livre est une mine pour tous ceux qui veulent maîtriser les principes fondamentaux de ce nouveau monde.

Andrew McAfee dirige la recherche scientifique du Center for Digital Business du MIT.
Erik Brynjolfsson est économiste et dirige le Center for Digital Business du MIT (Massachusetts Institute of Technology). 

Ils ont coécrit Le Deuxième Âge de la machine, best-seller du New York Times.

Des machines, des plateformes et des foules

Faut-il avoir peur des robots ? Les plateformes que sont Facebook, Google et autres vont-elles régner sans partage sur l'économie ? Que deviennent les compétences et les métiers à l'ère du tout-numérique ?Écrit par deux des meilleurs spécialistes de la transformation numérique, ce livre met à la portée de tous les évolutions que l'on constate aujourd'hui, notamment en matière d'intelligence artificielle - algorithmes de plus en plus puissants, apprentissage profond (deep learning), etc. Plutôt que de céder à la crainte et aux fantasmes que font naître ces bouleversements, Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee nous invitent à imaginer de nouvelles collaborations entre la machine et le cerveau humain, les plateformes et les produits, l'intelligence collective et les savoir-faire au sein des entreprises. Nourri d'exemples passionnants de machines intelligentes et créatives, d'entreprises pionnières, de collaborations possibles entre la machine et l'homme, ce livre est une mine pour tous ceux qui veulent maîtriser les principes fondamentaux de ce nouveau monde. Andrew McAfee dirige la recherche scientifique du Center for Digital Business du MIT. Erik Brynjolfsson est économiste et dirige le Center for Digital Business du MIT (Massachusetts Institute of Technology). Ils ont coécrit Le Deuxième Âge de la machine, best-seller du New York Times.

We live in strange times : AI breakthroughs that beat the human champions of the strategy game Go also run modern data centers more efficiently than ever before. Excellent smartphones are no longer enough to ensure electronics manufacturers healthy profits in many markets ; instead, platform builders like Apple and Google capture the lion's share of the value. In competition after competition, newbies outthink the acknowledged experts in everything from computational biology to quantitative investing. What's going on ? In Machine, Platform, Crowd, New York Times best-selling authors Andrew McAfee and Erik Brynjolfsson have identified the three essential aspects of the modern digital revolution : the rebalancing of minds and machines, of products and platforms, and of the core and the crowd. In all three cases, the emphasis is shifting to the second element of the pair, with massive implications for how we run our businesses and live our lives. Digital machines, in the form of everything from self-driving cars to drones to 3D printers to neural networks, are blowing past their previous limitations and assuming new roles. Online platforms are changing cost structures, improving how supply meets demand, and creating formidable new competitors in industries ranging from recorded music to urban transportation to computer hardware to group exercise.

Machine, Platform, Crowd - Harnessing Our Digital Future

La révolution technologique vient seulement de commencer ! Tel est le propos de ce livre, écrit par deux grands experts américains des nouvelles technologies. Leur optimisme se fonde sur la fameuse loi de Moore, qui veut que les capacités de calcul des ordinateurs doublent tous les dix-huit mois. Une loi exponentielle qui accouche d un monde nouveau tous les dix-huit mois  Des voitures autonomes se jouant des aléas de la circulation aux robots capables de nous remplacer dans les tâches ménagères, en passant par toutes les innovations de la santé et de l information, ce livre nous entraîne au coeur de la Silicon Valley avant de nous faire pénétrer les arcanes de ce que les auteurs appellent le « deuxième âge de la machine » : une révolution industrielle sans précédent, qui mêle intelligence artificielle, robotique et économie numérique.
Très accessible, ce livre est une contribution décisive au débat sur la croissance et la productivité. Et même s il n annonce pas encore la disparition du travail, il en appelle cependant aux entreprises et aux gouvernements pour accompagner ces mutations et répartir l abondance.

Le deuxième âge de la machine

Second Machine Age  - Work, Progress, and Prosperity in a Time of Brilliant Technologies

Erik Brynjolfsson (né en 1962) est un universitaire et auteur américain. Il est également professeur à la Stanford Graduate School of Business et membre du National Bureau of Economic Research. De 1986 à 2020, il travaille pour le MIT et dirige notamment la MIT Initiative on the Digital Economy. Il est spécialiste des questions de productivité dans le domaine des technologies de l'information.
En 1985, âgé de 23 ans, il a conçu le jeu vidéo Dragonfire II.

Nous entrons rapidement dans un monde où tout peut être surveillé et mesuré. Mais le gros problème sera la capacité des humains à utiliser, analyser et donner un sens aux données.

La technologie crée toujours des emplois. Cela détruit toujours des emplois.

La technologie a toujours détruit des emplois et a toujours créé des emplois.

Savoir comment garder quelqu'un motivé et comment maintenir un lien sont les compétences que les humains ont acquises et évolués sur des centaines de milliers d'années. Un robot ne peut pas déterminer si vous pouvez faire un autre push-up ou comment vous motiver à le faire.

L'électricité est un exemple de technologie à usage général, comme la machine à vapeur qui l'avait été. Les technologies à usage général stimulent la plus grande croissance économique, car elles libérent des cascades d'innovations complémentaires, comme les ampoules et, oui, la refonte d'usine.

Le type de travail où vous devez vous bousculer et vous bousculer et où vous ne savez pas si vous aurez suffisamment de clients le mois prochain, où vous avez moins de sécurité d'emploi, devient beaucoup plus courant.

Parce que le processus d'innovation repose souvent fortement sur la combinaison et la recombination des innovations précédentes, plus le bassin d'idées et de individus accessibles est large et plus approfondie, plus il y a d'opportunités pour l'innovation.

Certaines personnes pensent que c'est une loi que lorsque la productivité augmente, tout le monde en profite. Il n'y a pas de droit économique qui dit que les progrès technologiques doivent bénéficier à tout le monde ou même à la plupart des gens. Il est possible que la productivité puisse augmenter et que le tarte économique s'agrandit, mais la majorité des gens ne partagent pas ce gain.

Que pouvons-nous faire pour créer une prospérité partagée? La réponse n'est pas d'essayer de ralentir la technologie. Au lieu de courir contre la machine, nous devons apprendre à courir avec la machine.

Il est très utile de penser à des emplois mais à des tâches. Et dans un emploi donné, il y a beaucoup de tâches différentes. Si vous êtes un radiologue, peut-être que la lecture des images peut être en mesure de le faire mieux, peut-être une diagnostic plus large et la communiquer aux patients.

Pendant longtemps, les humains vont être meilleurs que les machines et donc différentes parties du travail seront exploitées. D'une manière qui s'est produite pendant des siècles et nous nous sommes adaptés. Et cela a rendu les personnes qui avaient des parties de leur travail automatisées plus précieuses et plus productives dans la mesure où elles sont essentielles pour les autres composantes de leur travail.

La technologie a permis aux différentes entreprises de coordonner ses activités les unes avec les autres, et ils n'ont pas besoin de faire partie d'une seule entreprise. Ils peuvent obtenir les avantages de l'échelle sans l'inertie de l'échelle.

La vente au détail est passée d'un scarce d'information à un environnement riche en informations.

Les ordinateurs deviennent mieux plus rapidement que toute autre chose.

La technologie n'est pas le destin. Nous façonnons notre destin.

Vient maintenant le deuxième âge de la machine. Les ordinateurs et autres avancées numériques font pour la puissance mentale - la capacité d'utiliser notre cerveau pour comprendre et façonner nos environnements - quelle machine à vapeur et ses descendants ont fait pour la puissance musculaire.

Avant l'âge de l'information, le niveau de vie était essentiellement plat. Depuis lors, ils ont augmenté de 2% par an environ 30 fois plus riche. Ainsi, la technologie, les machines est vraiment, vous savez, sans doute la chose la plus importante qui est arrivée à l'humanité en termes de notre niveau de vie. Vous pouvez regarder l'introduction d'ordinateurs numériques dans les années 1950.

Il existe de nombreux exemples d'emplois de routine et intermédiaires qui impliquent des tâches relativement structurées, et ce sont les emplois qui sont éliminés le plus rapidement. Ces types d'emplois sont plus faciles pour nos amis de la communauté de l'intelligence artificielle pour concevoir des robots pour les gérer. Ils pourraient être des robots logiciels; Ils pourraient être des robots physiques.

Les ordinateurs s'améliorent, plus rapidement que toute autre chose. La PlayStation d'un enfant aujourd'hui est plus puissante qu'un supercalculateur militaire de 1996. Mais notre cerveau est câblé pour un monde linéaire. En conséquence, les tendances exponentielles nous prennent par surprise. J'enseignais à mes élèves qu'il y avait des choses, vous savez, les ordinateurs ne sont tout simplement pas bons comme conduire une voiture à travers la circulation.

Mais la leçon plus large de la première révolution industrielle ressemble plus à l'Indy 500 que John Henry: les progrès économiques proviennent d'une innovation constante dans laquelle les gens courent avec des machines. L'humain et la machine collaborent ensemble dans une course pour produire plus, capturer des marchés et battre d'autres équipes d'humains et de machines.

Quand j'ai commencé à travailler sur la façon dont Internet affecte le commerce, comme beaucoup de gens, j'étais vraiment excité par ce marché presque parfait.

La technologie crée toujours des emplois. Cela détruit toujours des emplois. Mais en ce moment, le rythme s'accélère. C'est plus vite que nous pensons que jamais dans l'histoire. Donc, en conséquence, nous ne créons pas d'emplois au même rythme que nous avons besoin.

G.D.P. n'est pas une mesure de la valeur produite pour les consommateurs. Tout le monde devrait reconnaître que G.D.P. n'est pas une métrique sociale.

Lorsque les marchandises sont numériques, ils peuvent être reproduits avec une qualité parfaite à un coût presque zéro, et ils peuvent être livrés presque instantanément. Bienvenue dans l'économie de l'abondance.

L'économie au cours des 20 à 25 prochaines années va changer plus qu'ils ne l'ont fait au cours des 20 dernières années. Et c'est parce que les tendances exponentielles affectent une part de plus en plus grande de l'économie. Nous avons donc des perturbations énormes en magasin, et je ne peux pas prédire exactement quelles seront les innovations. Si je le faisais, je les aurais déjà inventés. Mais je pense qu'ils seront comparables aux innovations que nous avons vues au cours des 20, 25 ans, sinon plus.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Erik_Brynjolfsson

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