Galway Kinnell
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Les budstands pour toutes choses, même pour ces choses qui ne fleurissent pas
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@galwayKinnell
Quand je somnole dans votre chambre et que je vous remet, et que je vous tiens au clair de lune, vous vous accrochez fort à moi, comme si l'accrochage pourrait nous sauver. Je pense que vous pensez que je ne mourrai jamais, je pense que je vous dégage la permanence de la fumée ou des étoiles, même si mes bras brisés se guérissent autour de vous.
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Le seul sentiment que nous respectons toujours est la vue, probablement parce qu'elle est si étroitement attachée au cerveau. Allez dans n'importe quelle maison américaine au hasard, vous trouverez quelque chose - une fleur en plastique, de fausses carreaux, une imitation quelque chose - quelque chose qui peut être apprécié comme matériel uniquement s'il est appréhendé par la vue seul. Ne faisons-nous pas les visites dans les voitures, pensant que nous pouvons vivre un paysage en le regardant à travers le verre?
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@galwayKinnell
J'adore sortir fin septembre parmi les mûres grasses, trop mûres, glacées et noires pour manger des mûres pour le petit déjeuner, les tiges très épineuses, une pénalité qu'ils gagnent pour connaître l'art noir de la fabrication des mûres; Et alors que je me tiens parmi eux soulevant les tiges à ma bouche, les baies les plus mûres tombent presque non provoquées dans ma langue, comme les mots le font parfois, certains mots particuliers comme les forces ou les bosses de gaieté, à plusieurs lettres et syllacées, que je serre, squinch Ouvert et folie bien dans la langue silencieuse, surpris, glacée et noire de la mûre - mangeant fin septembre.
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Little-Sleed's-Head gerting Hair in the Moonlight, quand je reviendrai, nous sortirons ensemble, nous sortirons ensemble entre, les dix mille choses, chacune rayée trop tard avec une telle connaissance, le salaire de la mort est l'amour.
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C'est comme ça avec la poésie: quand il est incompréhensible, cela semble profond, et quand vous le comprenez, c'est seulement ridicule.
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Pour moi, la poésie est quelqu'un debout, pour ainsi dire, et dire, avec le moins de dissimulation possible, ce que c'est que pour lui d'être sur Terre en ce moment
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Au revoir, vous qui êtes, pour moi, les post-marques de villes brisées - Xenia, des cabines brûlées, Hornell - leur solitude est partie dans les poèmes, seule leur solitude est maintenue.
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Parfois, il est nécessaire de réapprovisionner une chose sa beauté
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Le seul sentiment que nous respectons toujours est la vue, probablement parce qu'elle est si étroitement attachée au cerveau. Allez dans n'importe quelle maison américaine au hasard, vous trouverez quelque chose - une fleur en plastique, de fausses carreaux, une imitation quelque chose - quelque chose qui peut être apprécié comme matériel uniquement s'il est appréhendé par la vue seul. Ne faisons-nous pas les visites dans les voitures, pensant que nous pouvons vivre un paysage en le regardant à travers le verre?
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Il est nécessaire de réapprovisionner une chose sa beauté, de mettre une main sur son front de la fleur et de le raconter en mots et en contact, il est charmant jusqu'à ce qu'il fleurit de l'intérieur, de l'auto-bélier.
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Little-Sleed's-Head gerting Hair in the Moonlight, quand je reviendrai, nous sortirons ensemble, nous sortirons ensemble entre, les dix mille choses, chacune rayée trop tard avec une telle connaissance, le salaire de la mort est l'amour.
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La prose marche; La poésie vole
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Embrassez la bouche qui vous dit, ici, voici le monde. Cette bouche. Ce rire. Ce temple os.
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J'ai toujours eu l'intention de vivre éternellement; Mais pas jusqu'à présent, pour vivre maintenant.
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J'adore sortir fin septembre parmi les mûres grasses, trop mûres, glacées et noires pour manger des mûres pour le petit déjeuner, les tiges très épineuses, une pénalité qu'ils gagnent pour connaître l'art noir de la fabrication des mûres; Et alors que je me tiens parmi eux soulevant les tiges à ma bouche, les baies les plus mûres tombent presque non provoquées dans ma langue, comme les mots le font parfois, certains mots particuliers comme les forces ou les bosses de gaieté, à plusieurs lettres et syllacées, que je serre, squinch Ouvert et folie bien dans la langue silencieuse, surpris, glacée et noire de la mûre - mangeant fin septembre.
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Pour moi, la poésie est quelqu'un debout, pour ainsi dire, et dire, avec le moins de dissimulation possible, ce que c'est que pour lui d'être sur Terre en ce moment
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Celui que l'habitude de mémoire propulse au sol de sa fabrication, le dormeur seul les sons mortels peuvent chanter éveillés, cet amour de la bénédiction donne à nouveau dans nos bras.
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Il est nécessaire de réapprovisionner une chose sa beauté, de mettre une main sur son front de la fleur et de le raconter en mots et en contact, il est charmant jusqu'à ce qu'il fleurit de l'intérieur, de l'auto-bélier.
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Je trouverai cette personne spéciale qui a tort pour moi de la bonne façon.
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Je commence mais je ne sais pas où je vais; J'essaie cette avenue et cette avenue, qui se révèle être une impasse, c'est une impasse, etc. La recherche prend beaucoup de temps et je dois souvent en arrière.
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Les gants d'occasion redeviendront charmants, leurs souvenirs sont ce qui leur donne le besoin d'autres mains. Et la désolation des amants est la même: cet énorme vide sculpté des minuscules êtres que nous demandons à être remplis; Le besoin du nouvel amour est la fidélité à l'ancien.
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Y a-t-il un mécanisme de mort, qui mutile ainsi l'existence personne, ne le surmonte pas même les morts?
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La première étape du voyage est de perdre votre chemin.
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Peut-être que la poésie sera le canari de la mine en nous avertissant de ce qui va arriver.
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Allumez le rêve que vous avez vécu le regard inébranlable. C'est comme vous l'avez pensé: la brûlure vivante. Dans les jours flottants, vous découvrez la grâce.
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J'adore sortir fin septembre parmi les mûres grasses, trop mûres, glacées et noires pour manger des mûres pour le petit déjeuner, les tiges très épineuses, une pénalité qu'ils gagnent pour connaître l'art noir de la fabrication des mûres; Et alors que je me tiens parmi eux soulevant les tiges à ma bouche, les baies les plus mûres tombent presque non provoquées dans ma langue, comme les mots le font parfois, certains mots particuliers comme les forces ou les bosses de gaieté, à plusieurs lettres et syllacées, que je serre, squinch Ouvert et folie bien dans la langue silencieuse, surpris, glacée et noire de la mûre - mangeant fin septembre.
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Laissez nos cicatrices tomber amoureuses.
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Pas grave. Le moi est le moindre. Laissez nos cicatrices tomber amoureuses.
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Quand je somnole dans votre chambre et que je vous remet, et que je vous tiens au clair de lune, vous vous accrochez fort à moi, comme si l'accrochage pourrait nous sauver. Je pense que vous pensez que je ne mourrai jamais, je pense que je vous dégage la permanence de la fumée ou des étoiles, même si mes bras brisés se guérissent autour de vous.
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