Gilles Peress
@gillesPeress
Même avant de commencer la photographie, j'ai commencé à voir qu'il y avait une disjonction entre les langues disponibles et la réalité.
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@gillesPeress
Même avant de commencer la photographie, j'ai commencé à voir qu'il y avait une disjonction entre les langues disponibles et la réalité.
@gillesPeress
Nous entrons dans une époque où le langage visuel est défini par un dialogue entre les photographes et le public. Cela signifie non seulement la publication démocratique d'images mais l'interprétation démocratique des images.
@gillesPeress
[La photographie reste un espace de réorganisation de nos pensées sur la réalité et notre place dans le monde. Comment démêler la surface de la réalité ?
@gillesPeress
Je m'en fiche beaucoup plus de la «bonne photographie»; Je recueille des preuves de l'histoire.
@gillesPeress
Je pense que j'ai une maladie particulière. Je l'appelle la malédiction de l'histoire, et cela a à voir avec l'absence / présence fugitive de la mémoire personnelle et collective. Au début, je pensais que c'était une sorte de maladie personnelle, juste liée au temps, à l'heure privée, au temps qui passe dans sa vie. J'ai donc décidé de m'oublier et de me jeter dans le futur.
@gillesPeress
Je suis mauvais en mémoire - c'est pourquoi je prends des photos.
@gillesPeress
Je ne fais pas confiance aux mots. Je fais confiance aux images.
@gillesPeress
[La photographie reste un espace de réorganisation de nos pensées sur la réalité et notre place dans le monde. Comment démêler la surface de la réalité ?
@gillesPeress
Je pense que j'ai une maladie particulière. Je l'appelle la malédiction de l'histoire, et cela a à voir avec l'absence / présence fugitive de la mémoire personnelle et collective. Au début, je pensais que c'était une sorte de maladie personnelle, juste liée au temps, à l'heure privée, au temps qui passe dans sa vie. J'ai donc décidé de m'oublier et de me jeter dans le futur.