Graciela Iturbide
@gracielaIturbide
D'une certaine manière, mon travail est un documentaire. Mais je suis aussi un photographe qui a un style distinct. Mes photographies sont un compagnon de la réalité de la situation.
Graciela Iturbide
María Graciela del Carmen Iturbide Guerra, née le 16 mai 1942 à Mexico, est une photographe mexicaine. Elle est l’une des photographes les plus importantes du Mexique.
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D'une certaine manière, mon travail est un documentaire. Mais je suis aussi un photographe qui a un style distinct. Mes photographies sont un compagnon de la réalité de la situation.
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Un photographe sans imagination n'est pas un bon photographe.
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Si vous êtes écrivain et que vous êtes à Rome, vous aurez un lien spécifique avec lui, alors vous irez peut-être en Suède et vous aurez une connexion différente et ce sera une expérience très différente.
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Je pense que tout photographe est enquêteur. La photographie est un prétexte pour connaître le monde, connaître la vie. Pour te connaître.
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J'adore la poésie, que ce soit en musique ou dans Andrei Tarkovsky, Francesca Woodman ou quelqu'un d'autre, j'aime juste la poésie.
@gracielaIturbide
Je ne prétends pas faire dire mes photos de dire ce qu'est le Mexique. Mais dans ses villages, je peux ressentir la façon dont la culture change, et il est fascinant de le vivre et d'essayer de le capturer à la caméra.
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L'obsession inconsciente que nous avons des photographes est que partout où nous allons, nous voulons trouver le thème que nous portons en nous-mêmes.
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En tant qu'artiste, vous devez passer à autre chose, vous devez essayer de nouvelles choses.
@gracielaIturbide
Je ne comprends pas ce qui me fait prendre une photo. Cartier-Bresson parle du moment décisif, de la nécessité de fonctionner avec les yeux lynx et les gants en soie. Peut-être que ce qui se passe lorsque vous appuyez sur l'obturateur est un acte intuitif imprégné de tout ce que vous avez appris.
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En fin de compte, la photographie pour moi n'est qu'une excuse pour apprendre à connaître le monde.
@gracielaIturbide
Je n'utilise jamais de téléobjectif. J'ai besoin d'être proche des gens. J'ai besoin de leur complicité; J'ai besoin qu'ils soient conscients que je suis là à prendre leur photo. Je déteste les paparazzis.
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Mon intention, certainement, est de créer quelque chose qui est esthétique mais beaucoup de choses sont implicites dans le travail que je fais. Pour moi, la photographie est écrite, c'est l'histoire; Cela peut être esthétique, cela peut être beaucoup de choses bien qu'il ne soit pas nécessaire d'être de l'art.
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Je ne comprends pas ce qui me fait prendre une photo. Cartier-Bresson parle du moment décisif, de la nécessité de fonctionner avec les yeux lynx et les gants en soie. Peut-être que ce qui se passe lorsque vous appuyez sur l'obturateur est un acte intuitif imprégné de tout ce que vous avez appris.
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Quand je prends des photos, j'oublie même que j'ai un appareil photo. Quand je tire, j'oublie tout. La lumière vient, la mort vient, les gens entrent et sortent en costume - et c'est comme une pièce.
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Je ne prétends pas faire dire mes photos de dire ce qu'est le Mexique. Mais dans ses villages, je peux ressentir la façon dont la culture change, et il est fascinant de le vivre et d'essayer de le capturer à la caméra.
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Je n'utilise jamais de téléobjectif. J'ai besoin d'être proche des gens. J'ai besoin de leur complicité; J'ai besoin qu'ils soient conscients que je suis là à prendre leur photo. Je déteste les paparazzis.
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Ce que l'œil voit, c'est une synthèse de qui vous êtes et de tout ce que vous avez appris. C'est ce que j'appellerais la langue de la photographie.