Pubblicato per la prima volta nel 1958 dalla leggendaria City Lights di Lawrence Ferlinghetti, Gasoline è insieme ispirazione e testimonianza della temperatura emotiva di quel periodo, oltre che una pagina fondamentale dell'intera Beat Generation. Passione, slancio, malinconia e rabbia: tutto questo è Gregory Corso, che in questa raccolta introduce i caratteri fondamentali della sua opera e del linguaggio beatnik: i lunghi viaggi, il desiderio di stupire, il culto della libertà, gli entusiasmi disordinati, i grandi amori e la rabbia di vivere. La sua poesia è istinto, diario sincopato di una lotta infinita che trae la sua forza direttamente dall'esperienza, un ironico mosaico di spunti che assumono senso e significato proprio dalla loro apparente insignificanza, specchio della condizione di marginalità dell'uomo e dell'artista. Con i suoi versi immediati e privi di orpelli, sospesi fra il ritmo della musica nera e del jazz e i moti dell'anima, Gasoline è il manifesto di quello che Fernanda Pivano definì « un uomo insolente e strafottente, ma con il dono di non dire mai una sciocchezza ».

Gasoline

Gregory Corso (1930-2001), l'un des poètes majeurs de la Beat Generation aux côtés de Jack Kerouac, d'Allen Ginsberg et de William S. Burroughs, a voué son existence à la poésie. Bien qu'ancrée dans la modernité, l'écriture de Corso puise également dans des traditions plus anciennes (celles, entre autres, du poète Percy Bysshe Shelley, figure tutélaire, et de l'héritage antique), révélant une poésie de nature composite, erratique et visionnaire, entre élégance lyrique et audace syntaxique, archaïsme revendiqué et facétieuse vitalité. Cet ouvrage rassemble un choix de poèmes extraits d'un recueil d'une incontestable originalité, Le Joyeux Anniversaire de la mort (publié en 1960 par New Directions), recueil qui concourut à consolider la réputation du poète, « un alchimiste des plus insolites, un belliciste des mots opérant à l'usure, bataillant aveuglément, immensément, avec le langage », ainsi que le décrit Paul Stubbs dans l'introduction au présent ouvrage.

Poèmes choisis - recueil bilingue Traduit de l'anglais par Blandine Longre Introduction de Paul Stubbs / Postface de Kirby Olson

Le joyeux anniversaire de la mort ; the happy birthday of death

Beat poet Corso's only novel. Inspired by his days in Europe, anxiously waiting for royalty checks and advances that were slow to appear, this freewheeling and farcical tale is the account of a birth in AmEx, and what came of it. With illustrations by the author. First published 1961 as No. 85 in the Traveller's Companion Series. Never reprinted.

The American Express

Sentiments elegiaq.americains

Sentiments élégiaques américains

Gregory Nunzio Corso (New York, 26 mars 1930 - Minneapolis, 17 janvier 2001) est un poète américain.
Il fut le quatrième membre majeur de la « Beat Generation », aux côtés de Jack Kerouac, Allen Ginsberg et William Burroughs.

O comme cela doit être terrible pour un jeune homme - contre une famille et la famille pensant que nous ne l'avons jamais vu auparavant! Il veut notre Mary Lou! Après le thé et les biscuits faits maison, ils demandent ce que vous faites dans la vie

Quoi qu'il en soit, je vivais dans la rue et je m'en sortais plutôt bien jusqu'à ce que je me fasse prendre en train de voler, qu'est-ce que c'était ? J'ai donné un coup de pied dans la fenêtre d'un restaurant, je suis entré et j'ai pris toute la nourriture que je voulais, et en sortant, j'ai été attrapé.

Si vous croyez que vous êtes un poète, vous êtes sauvé.

Je me souviens des gens que je connaissais en prison; J'ai eu la chance de les connaître - ils sont venus de 1910, 1920, 1930.

Je pense que la punition du Capitole condamne les États-Unis.

La chute de l'homme est un mensonge devant Beethoven, une vérité devant Hitler.

C'est juste que je vois l'amour aussi étrange que de porter des chaussures - je n'ai jamais voulu épouser une fille qui était comme ma mère et Ingrid Bergman était toujours impossible

J'étais quoi? - douze ans - et j'ai été jeté dans les cellules avec ces personnes, alors j'ai appris rapidement.

Je me suis déplacé dans le Lower East Side et j'ai été adopté par huit parents d'accueil; J'ai vécu partout à New York avec ces parents, mec, jusqu'à l'âge de dix ans environ.

L'autre gars que j'ai beaucoup creusé était Burroughs parce qu'il était déjà un homme intelligent; Il l'a appris à travers la piscine droguée - la scène de rue d'un ancien type aristocratique.

Mon parcours n'a pas commencé avec le côté est; Cela a commencé avec Greenwich Village, qui est West Side.

C'est un grand sentiment de savoir que d'une fenêtre, je peux aller aux livres aux canettes de bière aux amours passés. Et de ces rêves de rassemblement pour faufiler une porte arrière.

Je sens que je veux être sage avec des cheveux blancs dans une grande bibliothèque dans une chaise profonde par une cheminée.

Si vous avez le choix de deux choses et que vous ne pouvez pas décider, prenez les deux.

Maintenant, vingt ans, je sors et je retourne à Greenwich Village. Maintenant, bien sûr, je suis un homme riche.

J'ai appris la vie n'était pas un rêve que j'ai appris la vérité trompée l'homme n'est pas Dieu que la vie est un siècle mort un instant

Le juge a dit que j'étais une menace pour la société parce que j'avais mis le crime sur une base scientifique.

Ah, si j'étais dictateur, j'aurais des poètes qui lancent des bombes!

une grosse femme reichienne hurlant sur des pommes de terre Trouvez un travail! Et cinq gamins qui courent au nez amoureux de Batman

Je pense que la ville de New York est perdue dans StarsForgotten comme un animal de compagnie aux cheveux bleus d'amour d'enfance ce soir, la nuit est pleine.

Debout dans un coin de la rue en attendant que personne n'est puissant.

Maintenant, les tombes, comme le nom, sont si horribles qu'ils ont dû le fermer. Aujourd'hui, il n'existe pas et les gens vont sur la chaise électrique et tout ça.

Mais quand l'esprit conquis se libère et indique une nouvelle lumière qui s'occupera des chats?

Vous voyez, je suis allé en sixième année et c'était le plus élevé que je sois allé.

L'esprit est la vie. Cela coule à travers moi sans cesse comme une rivière n'a pas peur de devenir la mer.

Mon père est entré dans le service armé et je n'ai jamais vu ma mère - je ne sais pas ce qui lui est arrivé.

Je fais juste confiance aux gens et ils sentent que tout ira bien.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gregory_Corso

Ses oeuvres

Ses derniers livres