From iconic American humorist James Thurber, a celebrated and poignant memoir about his years at The New Yorker with the magazine's unforgettable founder and longtime editor, Harold Ross"Extremely entertaining.

The Years with Ross

The Thurber Carnival

Lire Thurber est un malicieux plaisir : cet écrivain et dessinateur - qui fut l'un des grands talents et l'un des piliers du prestigieux New Yorker - a un sens considérable du dialogue et de la repartie. L'écriture est fluide, nette, souple, et le ton fantaisiste et désinvolte. D'une redoutable clairvoyance, le caricaturiste, quand il écrit, fait mouche. La Vie secrète de Walter Mitty en est le parfait exemple : ce recueil de vingt-trois nouvelles et six fables animalières présente des personnages fantasques et naïfs empêtrés dans des situations d'une comique absurdité. Tel Walter Mitty, le héros de la nouvelle-titre, classique de la littérature américaine, qui après avoir roulé en silence jusqu'à Waterbury et déposé sa femme chez le coiffeur, part faire quelques courses et se jette dans des divagations toutes plus loufoques les unes que les autres. Devenant tour à tour capitaine de navire, médecin ou tireur d'élite, il nous place en témoin privilégié de ses vies secrètes.

La vie secrète de Walter Mitty

À l'issue de la 12e Guerre mondiale, la civilisation s'est effondrée, les chiens ont quitté leurs anciens maîtres, toutes les forêts et les jardins ont été détruits et l'amour a fui le monde. Un jour, pourtant, une jeune fille découvre la dernière fleur subsistant sur terre et décide d'en prendre soin...
 
 En 1939, alors qu'éclate la Seconde Guerre mondiale, James Thurber dessine pour sa petite fille Rosemary, âgée de 7 ans, cette émouvante « parabole en images » (véritable « roman graphique » avant l'heure), pour lui raconter les cycles de la guerre, de la paix et de l'amour, à travers la résilience d'une simple petite fleur. Un conte écologiste et pacifiste, grave et tendre, mais enjoué et d'une délicate sagesse, traduit en français en 1952 par Albert Camus.

La Dernière Fleur

"Quand j'atteindrai quarante ans, mes facultés se seront peut-être repliées, telle la corolle des fleurs au crépuscule, me laissant incapable d'écrire mes mémoires en y mettant la dose idoine de sobre inexactitude, ou alors, étant venu à bout de la tâche, incapable d'aller les porter à mon éditeur...". C'est donc en pleine force de l'âge, dès les années 1930 dans les pages du New Yorker, que l'auteur tait paraître Ma chienne de vie, autobiographie loufoque et illustrée racontant sa jeunesse au sein d'une famille farfelue de l'Ohio. De l'effondrement du lit paternel à la visite nocturne de bien étranges fantômes, des lubies du chien Muggs à celles d'un grand-père frappadingue hanté par la guerre de Sécession, James Thurber transfigure les petits événements de la vie en minuscules épopées tendres, drôles et cocasses.

Ma chienne de vie

Les tribulations loufoques d'une famille farfelue - grand-père et chien compris - signées par l'un des maîtres de l'humour anglo-saxon
 
 « Quand j'atteindrai quarante ans, mes facultés se seront peut-être repliées, telle la corolle des fleurs au crépuscule, me laissant incapable d'écrire mes mémoires en y mettant la dose idoine de sobre inexactitude, ou alors, étant venu à bout de la tâche, incapable d'aller les porter à mon éditeur... »
 C'est donc en pleine force de l'âge, dès les années 1930 dans les pages du New Yorker, que l'auteur fait paraître Ma chienne de vie, autobiographie loufoque et illustrée racontant sa jeunesse au sein d'une famille farfelue de l'Ohio.
 De l'effondrement du lit paternel à la visite nocturne de bien étranges fantômes, des lubies du chien Muggs à celles d'un grand-père frappadingue hanté par la guerre de Sécession, James Thurber transfigure les petits événements de la vie en minuscules épopées tendres, drôles et cocasses.
 
 Écrivain et dessinateur, pilier de la rédaction du New Yorker durant plus de trente ans, James Thurber (1894-1961) fut un des grands talents de l'âge d'or du magazine, aux côtés de Robert Benchley, S. J. Perelman et Dorothy Parker.
 Si les textes d'humour de Thurber sont devenus des classiques constamment réédités dans les pays anglo-saxons, son style graphique sensible et naïf, très précurseur, eut aussi un impact considérable sur le dessin minimaliste d'après-guerre, de Charles Schulz et Jules Feiffer à Sempé.
 James Thurber est par ailleurs l'auteur de La Vie secrète de Walter Mitty (adapté plusieurs fois au cinéma, de Norman McLeod en 1947 à Ben Stiller en 2014) ainsi que de La Dernière Fleur, conte graphique traduit par Albert Camus (rééd. Wombat, 2018).

Un beau matin, dans la jungle, le Tigre déclare à sa compagne: «Ce soir, à la tombée du jour, je serai le roi des animaux!» Plein de certitudes, il s'en va provoquer le Lion dans sa tanière, déclenchant la fureur de celui-ci et entraînant tous les animaux dans une terrible bataille. Partisans du Tigre, partisans du Lion, batailleurs par principe ou par la force des choses s'a¡rontent ainsi férocement jusqu'au coucher du soleil, sans toujours se souvenir des raisons de leur colère. Quand la lune se lève enfin, le Tigre est vainqueur mais il ne reste qu'un macao et un cacatoes pour pleurer sur les ruines.
À la manière d'une fable, magnifiquement illustrée en deux couleurs par Joohee Yoon, James Thurber rappelle avec ironie que sans sujets il ne sert à rien d'être roi.

Le tigre qui voulait etre roi

Lorsque l'on écrira une histoire de l'humour au XXe siècle, James Thurber (1894-1961), pilier du fameux magazine The New Yorker, devra y figurer au tout premier plan. Ses nouvelles et ses dessins ont enchanté des générations de lecteurs tant il est vrai, comme l'a écrit Jacques Sternberg qui l'introduisit en France, qu'il faisait penser à ces musiciens de jazz moderne, habiles dans l'art de broder d'éblouissantes paraphrases en partant de vieilles rengaines. Son humour, on le constate dans ce recueil de quelques-unes de ses meilleures nouvelles dont la célèbre "Vie secrète de Walter Mitty" (jadis portée à l'écran avec un Danny Kaye inénarrable), fut nourri de ces petits incidents de la vie quotidienne qui, s'ils paraissent anodins à première vue, recèlent au fond de quoi fonder une morale plus riche que celle véhiculée par tant d'ouvrages à prétentions. Lisons Thurber; il nous aide à aimer la vie!

La Vie secrète de Walter Mitty

James Thurber, né le 8 décembre 1894 à Colombus (Ohio) et mort le 2 novembre 1961 à New York, est un éditorialiste, humoriste et écrivain américain.

Laissez les doux hériter de la terre - ils l'ont venu vers eux.

La dignité humaine n'a brillé que de temps en temps et ici et là, dans la splendeur solitaire, à travers les âges, un espoir des meilleurs hommes, jamais une réalisation de la majorité.

Nous savons tous que le théâtre et chaque pièce qui vient à Broadway a en elles-mêmes, comme l'être humain, la graine de l'autodestruction et la certitude de la mort. La chose est de voir combien de temps le théâtre, la pièce et l'être humain peuvent durer malgré eux-mêmes.

Il y a quelque chose à propos d'un poète qui nous amène à croire qu'il est mort, dans de nombreux cas, jusqu'à 20 ans avant sa naissance.

Mes dessins ont été décrits comme pré-internationalistes, ce qui signifie qu'ils ont été finis avant que les idées pour eux ne m'étaient venus à l'esprit. Je ne contesterai pas le point.

Les apparences peuvent être trompeuses; C'est manger qui croit.

Bien que les statisticiens de notre temps n'aient jamais gardé le score, l'homme veut beaucoup plus ci-dessous et une femme encore plus.

Muggs a toujours été désolé, a dit Mère, quand il a mordu quelqu'un, mais nous n'avons jamais pu comprendre comment elle a compris cela. Il n'a pas agi désolé.

Les femmes sont plus sages que les hommes parce qu'elles en savent moins et comprennent plus.

Vous pouvez tromper trop de personnes trop du temps.

Vous pourriez aussi bien tomber à plat sur votre visage comme penché trop loin vers l'arrière.

J'aurais pu tuer Gregory Fitzhurst à trois cents pieds avec ma main gauche.

Ne pas faire les choses, il suffit de l'écrire.

Pourquoi devez-vous être un non-conformiste comme tout le monde?

J'écris l'humour comme fonctionne un chirurgien, car c'est un moyen de subsistance, parce que j'ai une grande envie de le faire, car de nombreux défis intéressants sont mis en place, et parce que j'ai l'espoir que cela puisse faire du bien.

Dans les sentiers entre le bureau et la maison et la maison et les maisons de personnes établies, il y a toujours, prêt à vous casser, les petits périls de la vie de routine, mais il n'y a pas d'évasion dans la tangente imprévue, le virage soudain.

Je ne crois pas que l'écrivain devrait trop savoir où il va. S'il le fait, il se heurte à la propagande de vieil homme.

Une pincée de probabilité vaut peut-être une livre de peut-être.

Jusqu'à ce qu'un homme puisse arrêter de se parler fort afin de crier les souvenirs des bévues et des tâtonnements, il n'est pas en forme pour l'examen minutieux de la détresse.

L'amour est l'étrange perplexité qui dépasse une personne en raison d'une autre personne.

Les écrivains de la comédie ont des perspectives, tandis que les écrivains de la tragédie ont, selon eux, des informations.

Art - La seule réalisation de l'homme qui a fait que le long voyage en haut de quatre pattes semble bien conseillé

L'ensemble de Paris est une vaste université d'art, de littérature et de musique ... cela vaut la peine de se faire passer pour les années. Paris est un séminaire, un cours de troisième cycle en tout.

Une dame de 47 ans qui a été mariée 27 ans et a six enfants sait ce qu'est vraiment l'amour et qui l'a décrit pour moi comme ceci: «L'amour est ce que vous avez vécu avec quelqu'un».

Salvador [Dali] a été élevé en Espagne, un pays coloré par les légendes de Hannibal, El Greco et Cervantes. J'ai été élevé dans l'Ohio, une région imprégnée de la tradition de l'armée de Coxey, de la Ligue anti-salon et de William Howard Taft.

J'ai moi-même connu des chiens profondément réfléchis.

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Thurber

Ses oeuvres

Ses derniers livres