In The Zero Marginal Cost Society, New York Times bestselling author Jeremy Rifkin describes how the emerging Internet of Things is speeding us to an era of nearly free goods and services, precipitating the meteoric rise of a global Collaborative Commons and the eclipse of capitalism.Rifkin uncovers a paradox at the heart of capitalism that has propelled it to greatness but is now taking it to its death—the inherent entrepreneurial dynamism of competitive markets that drives productivity up and marginal costs down, enabling businesses to reduce the price of their goods and services in order to win over consumers and market share. (Marginal cost is the cost of producing additional units of a good or service, if fixed costs are not counted.) While economists have always welcomed a reduction in marginal cost, they never anticipated the possibility of a technological revolution that might bring marginal costs to near zero, making goods and services priceless, nearly free, and abundant, and no longer subject to market forces.Now, a formidable new technology infrastructure—the Internet of things (IoT)—is emerging with the potential of pushing large segments of economic life to near zero marginal cost in the years ahead. Rifkin describes how the Communication Internet is converging with a nascent Energy Internet and Logistics Internet to create a new technology platform that connects everything and everyone. Billions of sensors are being attached to natural resources, production lines, the electricity grid, logistics networks, recycling flows, and implanted in homes, offices, stores, vehicles, and even human beings, feeding Big Data into an IoT global neural network. Prosumers can connect to the network and use Big Data, analytics, and algorithms to accelerate efficiency, dramatically increase productivity, and lower the marginal cost of producing and sharing a wide range of products and services to near zero, just like they now do with information goods.The plummeting of marginal costs is spawning a hybrid economy—part capitalist market and part Collaborative Commons—with far reaching implications for society, according to Rifkin. Hundreds of millions of people are already transferring parts of their economic lives to the global Collaborative Commons. Prosumers are plugging into the fledgling IoT and making and sharing their own information, entertainment, green energy, and 3D-printed products at near zero marginal cost. They are also sharing cars, homes, clothes and other items via social media sites, rentals, redistribution clubs, and cooperatives at low or near zero marginal cost. Students are enrolling in free massive open online courses (MOOCs) that operate at near zero marginal cost. Social entrepreneurs are even bypassing the banking establishment and using crowdfunding to finance startup businesses as well as creating alternative currencies in the fledgling sharing economy. In this new world, social capital is as important as financial capital, access trumps ownership, sustainability supersedes consumerism, cooperation ousts competition, and "exchange value" in the capitalist marketplace is increasingly replaced by "sharable value" on the Collaborative Commons.Rifkin concludes that capitalism will remain with us, albeit in an increasingly streamlined role, primarily as an aggregator of network services and solutions, allowing it to flourish as a powerful niche player in the coming era. We are, however, says Rifkin, entering a world beyond markets where we are learning how to live together in an increasingly interdependent global Collaborative Commons.

La nouvelle société du coût marginal zéro : L'internet des objets, l'émergence des communaux collaboratifs et l'éclipse du capitalisme

The Zero Marginal Cost Society - The Internet of Things, the Collaborative Commons, and the Eclipse of Capitalism

Après le succès de La troisième révolution industrielle (plus de 40 000 exemplaires vendus), Jeremy Rifkin présente ici ce que sera la société collaborative de demain. Le prospectiviste de génie y dessine un nouveau paradigme favorisé par l'essor des nouvelles technologies : les communaux collaboratifs.

La nouvelle société du coût marginal zéro

Voici le livre ( célébré comme un très grand livre par la presse américaine) de l'un des penseurs américains les plus connus, auteur de best seller mondiaux ( la fin du travail ou le rêve Européen ) Jérémy Rifkin brosse une fresque étonnante de l'humanité depuis les premières exploitations des ressources naturelles jusqu'à aujourd'hui. Avec un constat : jamais le monde n'a été aussi unifié ( communications, commerce, culture) et aussi déchiré (guerres, crise financière, réchauffement climatique...). Jamais nos structures mentales n'ont été à ce point en décalage avec les nouvelles réalités que nous nous sommes crées. Se nourissant d'économie, de politique, de psychologie, de sciences , de l'histoire de la nature ou de l'évolution des technologies... il montre que l'homme est aujourd'hui condamné à remodeler sa conscience pour se sauver.

Une nouvelle conscience pour un monde en crise

Jamais le monde n’a paru si totalement unifié (par les communications, le commerce, la culture) et aussi sauvagement déchiré (par la guerre, la crise financière, le réchauffement de la planète, la diffusion de pandémies). Quels que soient nos efforts intellectuels face aux défis d’une mondialisation accélérée, nous ne sommes pas à la hauteur : l’espèce humaine semble incapable de concentrer vraiment ses ressources mentales collectives pour « penser globalement et agir localement ». Dans son livre le plus ambitieux à ce jour, le célèbre penseur critique Jeremy Rifkin montre que cette déconnexion entre notre vision pour la planète et notre aptitude à la concrétiser s’explique par l’état actuel de la conscience humaine. Nos cerveaux, nos structures mentales, nous prédisposent à une façon de ressentir, de penser et d’agir dans le monde qui n’est plus entièrement adaptée aux nouveaux contextes que nous nous sommes créés. L’environnement produit par l’homme se mue à vive allure en espace planétaire, mais nos états de conscience sont encore agencés aux ères précédentes de l’histoire, qui s’évanouissent tout aussi rapidement. L’humanité, soutient Rifkin, se trouve à l’aube de sa plus grande expérience de tous les temps: remodeler sa conscience pour que les humains puissent s’aider mutuellement à vivre et à prospérer dans leur nouvelle société mondiale… A l’heure où les forces de la mondialisation s’accélèrent, s’approfondissent et se complexifient, tout indique que les anciennes formes de conscience religieuses ou rationalistes, soumises à trop forte pression, deviennent dépassées et même dangereuses dans leurs efforts pour piloter un monde qui leur échappe de plus en plus. L’émergence de la conscience empathique sera probablement un changement d’avenir aussi gigantesque et profond que lorsque les philosophes des Lumières ont renversé la conscience fondée sur la foi par le canon de la raison.

Une nouvelle conscience pour un monde en crise - Vers une civilisation de l'empathie

longtemps, le capitalisme s'est identifié à la propriété : le marché est d'abord ce lieu oú nous échangeons les biens que nous possédons et ceux que nous désirons acquérir.
 aujourd'hui, l'explosion des technologies de l'information et de la communication est à l'origine d'une mutation sans précédent : les marchés laissent la place aux réseaux, les biens aux services, les vendeurs aux prestataires et les acheteurs aux utilisateurs.  dans cet ouvrage passionnant, jeremy rifkin montre que les nouveaux géants de l'économie mondiale ne cherchent plus seulement à nous vendre des produits, mais à nous faire adhérer à l'imaginaire de leurs marques, à nous regrouper en clubs et à nous faire partager des émotions communes.
 et internet ne fait qu'accélérer la dématérialisation de l'économie, obligeant chacun à être " connecté " s'il veut accéder aux loisirs, à la culture et au savoir.  nos existences sont déjà aux mains des professionnels du marketing qui traquent nos habitudes et nos modes de vie.  dans un monde oú chacun devra acquitter un droit d'accès à sa propre vie, quelle place restera-t-il aux relations humaines et à la culture ? " comme à l'habitude, l'apport factuel sur le sujet traité est inégalable.
 " le monde diplomatique " son livre n'est pas un pavé de plus parmi les trop nombreux ouvrages parus sur la netéconomie, mais une réflexion philosophique sur la société de communication que symbolise internet.  " le nouvel économiste.

L'age de l'acces

Et si l?Europe n?était pas seulement notre chance mais celle du monde entier ?
Il fut un temps, pas si lointain, où le rêve américain justifiait toutes les révoltes contre l?état des choses. Mais aujourd?hui, il semble bien que le rêve européen soit en passe de se substituer à lui dans les esprits et dans les coeurs.
D?un côté, la tradition américaine, fondée sur le patriotisme, attachée à la réussite individuelle, à la croissance quel qu?en soit le prix, aux valeurs réputées suprêmes du travail et de la religion. De l?autre, une formation culturelle qui nous a appris à faire toute sa place à la collectivité, à la responsabilité de l?Etat à l?égard des plus vulnérables, à la qualité de la vie, au développement durable. 
Faut-il dès lors s?étonner qu?à l?ère des connexions globales et de la mise en réseau de la planète, alors que l?environnement et la sécurité collective nous préoccupent plus que jamais, le monde entier regarde vers l?Europe, ce lieu d?une expérience inédite et qui porte tant de promesses ?

Le rêve européen ; comment l'Europe se substitue peu à peu à l'Amérique dans notre imaginaire

He's been called the postmodern Chicken Little, but it happens that the sky really is falling. Jeremy Rifkin pulls the plug on the trend away from property ownership and free public life in The Age of Access: The New Culture of Hypercapitalism Where All of Life Is a Paid-For Experience. As usual, he's a bit ahead of the curve--most of us aren't fully immersed yet in the sea of leased products and packaged experiences that he sees awaiting us. Still, his eerie vision of a world of gatekeepers paying each other for access to nearly every aspect of human life brings a chilling new meaning to the phrase "pay to play" and should spark some debate over our new cultural revolution. Using examples from business and government experiments with just-in-time access to goods and services and resource sharing, Rifkin defines a new society of renters who are too busy breaking the shackles of material possessions to mourn the passing of public property. Are we encouraging alienation or participation? Can we trust corporations with stewardship of our social lives? True to form, the author asks more questions than he answers--a sign of an open mind. If property is theft, leased access is extortion, and The Age of Access warns us of the complex changes coming in our relationships with our homes, our communities, and our world. --Rob Lightner

L'âge de l'accès - La nouvelle culture du capitalisme

Jeremy Rifkin, né le 26 janvier 1945 à Denver dans le Colorado, est un essayiste américain, spécialiste de prospective (économique et scientifique). Il a aussi conseillé diverses personnalités politiques. Son travail, basé sur une veille et une réflexion prospective, a surtout porté sur l'exploration des potentialités scientifiques et techniques nouvelles, sur leurs impacts en termes sociétaux, environnementaux et socio-économiques. Il est également fondateur et président de la Foundation on Economic Trends (FOET) basée à Washington.

Nous faisions le premier pas de l'ère de la chimie et de la physique, et dans l'ère de la biologie.

De nombreux scientifiques agricoles grand public, en particulier dans les écoles agricoles, mais dans toutes nos grandes universités, sont liés à toutes sortes de relations contractuelles et aux relations de consultation avec les sociétés de sciences de la vie.

L'humanité ne peut pas se permettre de reconnaître tout le sang qu'il déborde et la destruction qu'elle inflige au monde dans ses efforts pour se perpétuer. La désacralisation est un processus qui nous permet de rompre toute relation que nous pourrions ressentir avec d'autres êtres vivants. En drainant l'aliensive des choses, nous pouvons prétendre que notre contrôle et notre manipulation ont peu de conséquences. Homme le trappeur devient l'homme le taxidermiste, démolie la nature de sa spontanéité et de son mouvement, et en le bourrant avec une inanimation de plomb.

Ce que le public doit comprendre, c'est que ces nouvelles technologies, en particulier dans la technologie ADN recombinante, permettent aux scientifiques de contourner complètement les limites biologiques.

La crise de la serre est le projet de loi qui venait pour la révolution industrielle. Ce n'est pas un accident. C'est le résultat logique de notre vision du monde - l'idée que nous pouvons contrôler les forces de la nature, que nous pouvons avoir des gains expédient à court terme sans les payer, qu'il n'y a pas de limites à l'exploitation de l'environnement, que nous pouvons produire et Consommez plus rapidement que la capacité de la nature à se reconstituer.

Le revenu de base n'est pas une utopie, c'est un plan d'affaires pratique pour la prochaine étape du voyage humain.

L'Europe n'acceptera pas les aliments génétiquement modifiés. Cela ne fait aucune différence dans l'analyse finale ce que fait Bruxelles, ce que fait Washington ou ce que fait l'Organisation mondiale du commerce.

L'environnement mondial ne peut plus gérer le bœuf.

Il se peut que tout ce que les sociétés de sciences de la vie nous disent se révèlent bien, et il n'y a aucun problème ici. Qui défie la logique.

L'idée même que des millions de travailleurs déplacés par la réingénierie et l'automatisation des secteurs agricoles, de fabrication et de services peuvent être recyclés pour être des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens, des dirigeants, des consultants, des enseignants, des avocats et autres, puis en quelque sorte trouver Le nombre approprié d'ouverture des emplois dans le secteur de haute technologie très étroit, semble au mieux un rêve de pipe, et au pire une illusion.

L'activité économique n'est plus un concours contradictoire entre les vendeurs assiégés et les acheteurs "dans l'économie distribuée, où la collaboration l'emporte prospérer. Il n'est plus aussi limité par les hiérarchies, les limites de l'exclusion et le concept de nature humaine qui place l'acquisition, l'intérêt personnel et l'utilité au centre de l'expérience humaine. "

Les entreprises qui survivent et s'épanouissent réellement changer leur modèle commercial de la production à l'agrégation des réseaux et des services et des solutions du réseau. Si vous êtes une entreprise de construction ou une société informatique ou une société de logistique ou une opération de données d'information, dans la mesure où vous pouvez trouver des moyens d'aider à construire les Communes, vous pouvez obtenir une valeur commerciale dans ce domaine.

Vous pouvez éliminer, par exemple, un gène de noix brésilienne si vous savez que cela créera un effet allergène.

Être à la fois entrepreneurial et social n'est plus un oxymore, mais plutôt une tautologie.

En 1983, le gouvernement des États-Unis a approuvé la diffusion du premier organisme génétiquement modifié. Dans ce cas, il s'agissait d'une bactérie qui prévient le gel sur les cultures vivrières.

Dans un demi-siècle, nos petits-enfants regarderont probablement l'ère de l'emploi de masse sur le marché avec le même sentiment d'incrédulité totale que nous regardons l'esclavage et le servage dans le passé. L'idée même que la valeur d'un être humain était mesurée presque exclusivement par sa production de biens et de services et par sa richesse matérielle semblera primitive, voire barbare, et sera considérée comme une terrible perte de valeur humaine par nos descendants vivant dans un monde hautement automatisé où une grande partie de la vie est vécue dans le cadre des "Collaborative Commons".

Je connais pas mal d'agriculteurs partout aux États-Unis qui ont essayé cela et ont dit le contraire, qu'ils doivent utiliser plus d'herbicides, pas moins. Il en va de même avec BT.

Au milieu des années 1980, des audiences du Congrès ont eu lieu après que nous ayons intenté ce procès et retardé la première expérience. À ce moment-là, je suis allé devant le Congrès, avec les principales agences impliquées dans ce dossier.

Nous entrons dans une nouvelle phase de l'histoire humaine - une dans laquelle de moins en moins de travailleurs seront nécessaires pour produire les biens et services pour la population mondiale.

Il n'est pas rare de supposer que le libre échange de biens sur les marchés et le capitalisme est un seul. Ils ne sont pas. Bien que le capitalisme fonctionne à travers le marché libre, les marchés libres ne nécessitent pas le capitalisme.

Les médias électroniques ont introduit cette idée au public plus large très, très rapidement. Nous avons passé des années, des années et des années à rencontrer des militants de toute l'Europe pour jeter les bases d'une réponse politique, comme nous l'avons fait ici.

Nous voici 17 ans plus tard. Ces agences ne sont jamais passées.

Aujourd'hui, nous sommes élevés avec l'idée que la sécurité est d'être financièrement autonome. La richesse amassage est considérée comme le principal rite de passage vers une existence sécurisée et autonome.

Les générations d'êtres humains ont été transformés en machines dans la poursuite implacable de la richesse matérielle: nous avons vécu pour travailler.

Wikipedia est une construction incroyable. C'est un commun qui fonctionne. Je ne sais pas comment Jimmy Wales est venu avec. Je suis sûr que nous aurions tous dit: "C'est la chose la plus stupide dont nous ayons jamais entendu parler. Cela ne fonctionnera jamais dans un million d'années."

Dans ce pays, les problèmes de santé et les préoccupations environnementales sont aussi profonds qu'en Europe. Toutes les enquêtes le montrent. Mais ici, nous n'avions pas la dimension culturelle. Il s'agit d'une culture de restauration rapide.

Il semble falsifié pour l'élite intellectuelle du premier monde de s'attarder sur le sujet de trop de bébés nés dans les nations du deuxième et du troisième monde tout en ignorant pratiquement la surexploition des bovins et les réalités d'une chaîne alimentaire qui prive le Pauvre de subsistance pour nourrir les riches une alimentation régulière de viande nourrie à des céréales.

Beaucoup d'aliments génétiquement modifiés seront en sécurité, j'en suis sûr. La plupart d'entre eux seront-ils en sécurité? Personne ne sait.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeremy_Rifkin

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