John Dos Passos
@johnDosPassos
L'individualité est la liberté.
John Dos Passos
John Roderigo Dos Passos, né le 14 janvier 1896 à Chicago et mort le 28 septembre 1970 à Baltimore, est un écrivain et un peintre américain. Figure iconique de la Génération perdue, Dos Passos est connu pour son œuvre littéraire dans laquelle il commente les événements turbulents du XXe siècle, lui donnant la réputation d'un critique acharné de la politique et du mode de vie américain. Proche des libertaires pendant l'affaire Sacco et Vanzetti,, il développe des sympathies communistes dans les années 1920 et 1930, mais change de cap après qu'un de ses meilleurs amis, José Robles, fut exécuté par les staliniens pendant les journées de mai 1937 à Barcelone lors de la guerre civile espagnole. John Dos Passos utilise les techniques du réalisme et du courant de conscience dans son analyse pessimiste de la société. Il y décrit la vie de quelques personnages de différentes classes sociales, leurs espoirs et leurs désillusions, se rapprochant ainsi d'un certain réalisme socialiste qu'il ne renie pas, avouant une admiration sans faille pour Eisenstein. De là sans doute est venu ce terme de « littérature cinématographique » dont de nombreux critiques ont qualifié ses livres. Au cours d'une longue carrière faite de succès, Dos Passos écrit quarante-deux romans, des poèmes, des essais, des pièces de théâtre et crée plus de quatre cents œuvres d'art. On retiendra surtout de lui Manhattan Transfer et sa trilogie U.S.A., écrits dans les années 1920 et 1930, période où il est au faîte de sa gloire littéraire.
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L'individualité est la liberté.
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Je pense que le satiriste est toujours fondamentalement optimiste. La plainte du satiriste au sujet de la société est toujours qu'elle ne mesure pas à un idéal assez élevé qu'il a. Je pense que même le satiriste le plus amer, même un homme comme Swift, était probablement plutôt un optimiste dans l'âme.
@johnDosPassos
Le seul homme qui tire profit du capitalisme est l'escroc, et il devient millionnaire en un rien de temps.
@johnDosPassos
Il y a trop de cours et de séminaires "d'écriture créative", dans lesquels les jeunes piqûres apprennent constamment à réécrire la génération précédente. Ils devraient expérimenter seuls. Chaque écrivain fait face à différents problèmes qu'il doit résoudre pour lui-même.
@johnDosPassos
Eh bien, vous aimez ce cochon sacré d'un pays? ", A demandé Marco." Pourquoi pas? Je l'aime n'importe où. C'est tout de même, en France, vous êtes mal payé et que vous vivez bien; Ici, vous êtes bien payé et vivez mal.
@johnDosPassos
Il y a quelque chose de merveilleusement excitant dans la chanson silencieuse de chant d'un avion au-dessus de tous les pistolets dans la création éclairant, et les projecteurs se sentant à travers le ciel comme des antennes, et la terre tremblant en morceaux des bombes et le gémissement des éclats d'éclassage quand Ils descendent à Patter sur le toit.
@johnDosPassos
Les gens ne choisissent pas de carrière; La carrière les enveloppe.
@johnDosPassos
L'humanité a une affection étrange pour les processions suivantes. Obtenez quatre hommes suivant une bannière dans la rue et, si cette bannière est inscrite avec des rimes d'optimisme agréable, en une heure, toute la ville sera en cours, prête à marcher sur tout ce que les dirigeants se soucient.
@johnDosPassos
N'oubliez pas que ce n'est jamais un crime face à l'humanité et à l'illumination de distribuer les œuvres des grands humanistes parmi les marchands et les changeurs de l'argent de ce pays de godforsaken ... vous feriez mieux de me glisser la pâte.
@johnDosPassos
Au cours des vingt-cinq dernières années, un changement est venu sur les habitudes visuelles des Américains. . . En tant que personnes de parole, nous devenons des gens en tête.
@johnDosPassos
La guerre est un putain de bêtises, un vaste cancer alimenté par des mensonges et une malignité à la recherche de soi de la part de ceux qui ne se battent pas.
@johnDosPassos
Un satiriste est un homme dont la chair se penche tellement sur les aspects laids, sauvages et incongrus de la société qu'il doit les exprimer aussi brutalement et nus que possible afin d'obtenir un soulagement.
@johnDosPassos
L'homme semble être un animal dont la capacité de mensonge n'est égale que par sa crédulité; Il ne fait pas de bien de laisser des bataillons de chats ou des sacs de sacs, de produire des harems entiers de faits nus, les gens mangent les trois mêmes repas quotidiens et sont toujours prêts à se retourner avec une fureur sur les pourvoyeurs de chats sans sac et de faits non rasés. Leur instinct est probablement sage. Qui sait?
@johnDosPassos
La seule excuse pour un romancier, à part le divertissement et la vie par procuration, ses livres donnent aux gens qui les lisent, est comme une sorte d'historien de deuxième classe de l'âge dans lequel il vit. La "réalité" qu'il a manqué à l'écriture sur les gens imaginaires , il gagne en étant capable de construire une réalité plus presque hors de sa propre expérience factuelle qu'un simple historien ou un biographe.
@johnDosPassos
Pour lutter contre l'oppression, et pour travailler du mieux que nous pouvons pour une organisation saine de la société, nous n'avons pas à abandonner l'Offreedom de l'état de l'esprit. Si nous faisons cela, nous laissons le même coup de violence par la porte arrière que nous nous battons devant la maison.
@johnDosPassos
C'est une expérience très curieuse pour un homme de soixante-douze ans à être confronté aux enthousiasmes de Greenhorn de sa jeunesse. Les jeunes pensent qu'ils sont si intelligents. Hélas, les doctrines qu'ils jaillissent avec une telle ferveur se révèlent principalement être perrochées de leurs aînés.
@johnDosPassos
De grandes œuvres de l'imagination ne sont pas produites rapidement et ne prennent pas rapidement effet sur l'esprit populaire.
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Un satiriste est un homme dont la chair se penche tellement sur les aspects laids, sauvages et incongrus de la société qu'il doit les exprimer aussi brutalement et nus que possible afin d'obtenir un soulagement.
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Je pense que le satiriste est toujours fondamentalement optimiste. La plainte du satiriste au sujet de la société est toujours qu'elle ne mesure pas à un idéal assez élevé qu'il a. Je pense que même le satiriste le plus amer, même un homme comme Swift, était probablement plutôt un optimiste dans l'âme.