John McGahern
John McGahern, né le 12 novembre 1934 à Knockanroe (comté de Leitrim et mort le 30 mars 2006 à Dublin, est un écrivain irlandais. Il grandit dans l'ouest de l'Irlande, il est diplômé de l'University College de Dublin.
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@johnMcgahern
...avec une bouffée d'émotion, il se dit que ce doit être le bonheur. Dès que l'idée lui vint, il la repoussa en accusant le whisky. L'idée même était aussi dangereuse qu'un discours présomptueux : le bonheur ne pouvait être ni recherché, ni inquiété, ni même pleinement saisi ; il fallait le laisser aller à son propre rythme, de manière à ce qu'il passe inaperçu, si tant est qu'il vienne un jour.
@johnMcgahern
L'Irlande est une société particulière dans le sens où c'était une société du XIXe siècle jusqu'à environ 1970, puis elle a presque contourné le XXe siècle.
@johnMcgahern
Mon optimiste préféré était un Américain qui a sauté de l'Empire State Building, et en passant le 42e étage, les rondelles de fenêtre l'ont entendu dire: «Jusqu'à présent, tout bon».
@johnMcgahern
Parmi les femmes concentré sur la famille, et le nouveau livre se concentre sur une petite communauté. Les unités dominantes de la société irlandaise sont la famille et la localité. L'idée était que le monde entier se développerait à partir de ce petit espace.
@johnMcgahern
J'avais l'habitude de prendre cinq ou six livres et de ramener cinq ou six livres. Personne ne m'a donné de direction ou de conseils et j'ai beaucoup lu de la manière qu'un garçon pourrait regarder la télévision.
@johnMcgahern
Parmi les femmes concentré sur la famille, et le nouveau livre se concentre sur une petite communauté. Les unités dominantes de la société irlandaise sont la famille et la localité. L'idée était que le monde entier se développerait à partir de ce petit espace.
@johnMcgahern
Quand je commence à écrire, les mots sont devenus une présence physique. C'était pour voir si je pouvais donner vie à ce monde privé qui a trouvé sa première expression par la lecture. Je n'aime vraiment pas la notion romantique de l'artiste.
@johnMcgahern
Quand j'étais dans la vingtaine, je m'est venu à l'esprit qu'il y avait quelque chose de perverti dans une attitude qui pensait que tuer quelqu'un était une infraction mineure par rapport à l'embrasser quelqu'un.
@johnMcgahern
Je pense que la fiction est une chose très sérieuse, que même si c'est la fiction, c'est aussi une révélation de vérité ou de faits.
@johnMcgahern
Je n'ai jamais rien écrit qui n'a pas été dans mon esprit depuis longtemps - sept ou huit ans.
@johnMcgahern
...avec une bouffée d'émotion, il se dit que ce doit être le bonheur. Dès que l'idée lui vint, il la repoussa en accusant le whisky. L'idée même était aussi dangereuse qu'un discours présomptueux : le bonheur ne pouvait être ni recherché, ni inquiété, ni même pleinement saisi ; il fallait le laisser aller à son propre rythme, de manière à ce qu'il passe inaperçu, si tant est qu'il vienne un jour.
@johnMcgahern
Je suppose . . . En écrivant, vous ne pouvez pas avoir de regrets. Je veux dire, vous le faites juste comme il était. . . C'est seulement un vœu pieux que les choses pourraient être autres qu'elles ne l'étaient.
@johnMcgahern
Tout ce qui est donné peut être immédiatement enlevé. Nous devons apprendre à ne jamais nous attendre à rien, et quand il s'agit, ce n'est pas plus qu'un cadeau en prêt.
@johnMcgahern
Le chapelet a été dit tous les soirs. J'ai toujours aimé cette phrase au sujet des églises médiévales, qu'ils étaient les Bibles des pauvres. L'église était mon premier livre et je pense que c'est toujours mon livre le plus important.
@johnMcgahern
Quand je commence à écrire, les mots sont devenus une présence physique. C'était pour voir si je pouvais donner vie à ce monde privé qui a trouvé sa première expression par la lecture. Je n'aime vraiment pas la notion romantique de l'artiste.
@johnMcgahern
Je pense qu'il y a une grande différence dans la conscience de la même manière que lorsque nous sommes jeunes, nous lisons des livres pour l'histoire, pour l'excitation de l'histoire - et il y a un moment où vous réalisez que toutes les histoires sont plus ou moins les mêmes histoire.
@johnMcgahern
Sans l'industrie du livre, il serait difficile ou impossible pour de vrais livres de trouver leurs vrais lecteurs et sans ce solitaire (et potentiellement subversif) seul avec un livre tout le razzmatazz des prix, des banquets, des spectaculaires de télévision, des listes de best-sellers, même des cours de littérature, des éditeurs Et les auteurs, sont tous sans valeur. À moins qu'un livre ne trouve des amoureux parmi ces lecteurs solitaires, il ne vivra pas. . . ou vivre longtemps.