Li-Young Lee
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Un poème est comme une partition pour la voix humaine.
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Citations
26
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Le moi lyrique est le soi; Le moi narratif ne l'est pas.
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Nos corps sont solides, mais ils ne sont pas. Étaient comme une fontaine. Une fontaine d'eau semble solide, mais vous pouvez passer vos doigts à travers. Nos corps ressemblent à des choses, mais il n'y a rien à eux.
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Une porte surgit de l'ombre, puis s'éloigne. C'est ce que je suis venu chercher : la porte arrière, déverrouillée. Moulé par le vent insulaire, il claque et claque sans sens et sans sens.
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Je pense à quelque chose depuis longtemps, et je continue de remarquer que la plupart des discours humains - si tous les discours humains, sont faits avec le souffle sortant. C'est la chose étrange à propos de la présence et de l'absence. Lorsque nous inspirons, nos corps sont remplis de nutriments et de nourriture. Notre sang est rempli d'oxygène, notre peau devient à chute; Nos os deviennent plus difficiles, ils sont compactés. Nos muscles sont toniques et nous nous sentons très présents lorsque nous respirons. Le problème est que lorsque nous respirons, nous ne pouvons pas parler. La présence et le silence ont donc quelque chose à voir les uns avec les autres.
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Certaines choses ne quittent jamais une personne: parfum des cheveux de celui que vous aimez, la texture des kakis, dans votre paume, le poids mûr.
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Memory me révise. MAINTENANT UNE LETTRIÈRE D'UNE PLACEI NE SAVONS «J'attends un bruit bleu de l'heure et lointaine de martelage, et sur une page un poème commencé, quelque chose qui peut être dispersé, quelque chose sur le point de naître.
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Il y a des jours que nous vivons si la mort n'était nulle part de l'arrière-plan; De Joyto Joy à la joie, de l'aile à l'autre, de la fleur à la fleur à la fleur impossible, à la douce fleur impossible.
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Je suis cette dernière, cette dernière chose, le corps dans une feuille blanche écoutant.
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Je pense à quelque chose depuis longtemps, et je continue de remarquer que la plupart des discours humains - si tous les discours humains, sont faits avec le souffle sortant. C'est la chose étrange à propos de la présence et de l'absence. Lorsque nous inspirons, nos corps sont remplis de nutriments et de nourriture. Notre sang est rempli d'oxygène, notre peau devient à chute; Nos os deviennent plus difficiles, ils sont compactés. Nos muscles sont toniques et nous nous sentons très présents lorsque nous respirons. Le problème est que lorsque nous respirons, nous ne pouvons pas parler. La présence et le silence ont donc quelque chose à voir les uns avec les autres.
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Les gens qui lisent la poésie ont entendu parler du buisson en feu, mais lorsque vous écrivez de la poésie, vous vous asseyez à l'intérieur du buisson en feu.
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Peut-être qu'être ailé signifie être blessé par l'infini.
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Chaque fois que vous écrivez un poème, c'est apocalyptique. Vous révélez qui vous êtes vraiment pour vous-même.
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Memory me révise. MAINTENANT UNE LETTRIÈRE D'UNE PLACEI NE SAVONS «J'attends un bruit bleu de l'heure et lointaine de martelage, et sur une page un poème commencé, quelque chose qui peut être dispersé, quelque chose sur le point de naître.
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C'est ce que je veux, ce genre d'insouciance où le poème est même devant vous. C'est comme monter un cheval qui est un peu trop sauvage pour vous, donc il y a cette tension entre ce que vous pouvez faire et ce que le cheval décide qu'il va faire.
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Et je n'ai jamais cru que la multitude / les rêves et de nombreux mots étaient vains.
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Pour tirer l'éclat métallique de ma paume, mon père a récité une histoire à voix basse. J'ai regardé son joli visage et non la lame. Avant la fin de l'histoire, il avait retiré le ruban de fer dont je pensais mourir. Je ne me souviens pas de l'histoire, mais entendez encore sa voix, un puits d'eau sombre, une prière. Et je me souviens de ses mains, deux mesures de tendresse qu'il a déposées contre mon visage.
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La mémoire est douce. Même quand c'est douloureux, la mémoire est douce.
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Memory me révise. MAINTENANT UNE LETTRIÈRE D'UNE PLACEI NE SAVONS «J'attends un bruit bleu de l'heure et lointaine de martelage, et sur une page un poème commencé, quelque chose qui peut être dispersé, quelque chose sur le point de naître.
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Une porte surgit de l'ombre, puis s'éloigne. C'est ce que je suis venu chercher : la porte arrière, déverrouillée. Moulé par le vent insulaire, il claque et claque sans sens et sans sens.
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En écrivant de la poésie, toute l'attention est concentrée sur une voix intérieure.
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Le problème avec la mémoire est que les changements sont tout ce qu'il touche. Ce n'est jamais si précis. En conséquence, je finis par modifier et réviser mes propres expériences. C'est la fabrication du mythe.
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Bien que tous les corps partagent le même sort, toutes les voix ne le font pas.
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La poésie est le langage de l'extrémité. La poésie est un transfert de puissance. Vous ressentez quelque chose de puissant, puis vous le transférez sur la page.
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Cela ne me dérange pas de souffrir tant que c'est vraiment quelque chose. Cela ne me dérange pas beaucoup de chance, si c'est quelque chose. Si ce sont les trucs creux, il n'y a pas de cadeau, d'une manière ou d'une autre.
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Un bleu, bleu dans le muscle, tu me frappes. Alors que l'os étreint la douleur à la maison, je suis vexé de t'aimer, ton corps la forme des retours, tes cheveux un torse de lumière, ta chaleur que je dois avoir, ton ouverture que je mangerais, chaque instant de cette douce nageoire fruit, fontaine renversée dans laquelle je ne me vois pas.
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