Lisa Gardner
@lisaGardner
J'aime toujours la relation de n'importe quelle histoire. Vous ne voulez pas que votre personnage comprenne tout, puis à la fin de la journée, rentrez chez vous et mangez seule de la soupe.
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@lisaGardner
J'aime toujours la relation de n'importe quelle histoire. Vous ne voulez pas que votre personnage comprenne tout, puis à la fin de la journée, rentrez chez vous et mangez seule de la soupe.
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Je suis unique pour un auteur de suspense car je n'ai pas de formation spécialisée. Beaucoup de rédacteurs suspenses étaient des avocats ou des journalistes battus. Je ne connaissais même pas un flic quand j'ai commencé. J'ai finalement compris que je pouvais visiter les prisons - je devais juste être disposé à passer les appels téléphoniques.
@lisaGardner
Si vous choisissez de faire quelque chose, faites-le de votre plus grand nombre. Et rappelez-vous, attendez-vous à rien et que la vie sera du velours.
@lisaGardner
Vous essayez en tant que parent. Vous aimez au-delà de la raison. Vous vous battez au-delà de l'endurance. Vous espérez au-delà du désespoir. Vous ne pensez jamais, jusqu'au tout dernier moment, que cela pourrait toujours ne pas suffire.
@lisaGardner
Tout ce que j'ai vraiment fait, c'est écrire depuis l'âge de 17 ans, donc je ne sais rien de rien. Pour que je fasse un roman, je dois parler à des gens qui connaissent des choses. Et ce qui me tient en haleine, c'est que je suis un aficionado du crime.
@lisaGardner
J'aime croire que mes romans de suspense épousent les personnages forts de mon passé d'écriture romantique, avec les parcelles sinueuses et intelligentes de mon présent d'écriture mystère.
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J'aime toujours la relation de n'importe quelle histoire. Vous ne voulez pas que votre personnage comprenne tout, puis à la fin de la journée, rentrez chez vous et mangez seule de la soupe.
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Quand j'ai reçu mon tout premier appel téléphonique que j'avais atteint la liste des «New York Times», j'ai eu une petite ruée vers «Je l'ai fait! Mais le lendemain matin, il m'est venu à l'esprit que je ne savais pas ce que c'était, alors j'ai appelé mon agent et j'ai demandé ce que signifiait vraiment un auteur à succès du «New York Times». Il m'a informé que j'étais maintenant un gorille de mille livres.
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Je suis unique pour un auteur de suspense car je n'ai pas de formation spécialisée. Beaucoup de rédacteurs suspenses étaient des avocats ou des journalistes battus. Je ne connaissais même pas un flic quand j'ai commencé. J'ai finalement compris que je pouvais visiter les prisons - je devais juste être disposé à passer les appels téléphoniques.
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Quiconque parle d'abord abandonne un peu de pouvoir.
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Mon vice secret est des puzzles sudoku. Je ne peux pas arrêter de les jouer. Mes parents sont des comptables. Je les blâme complètement.
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Nous sommes tous dans le même chemin - quand un écrivain réussit, tous les écrivains réussissent. J'adore découvrir de nouveaux auteurs. Je pense que nous devons nous occuper les uns des autres et parler de l'artisanat et de nourrir les talents.
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Quand j'ai reçu mon tout premier appel téléphonique que j'avais atteint la liste des «New York Times», j'ai eu une petite ruée vers «Je l'ai fait! Mais le lendemain matin, il m'est venu à l'esprit que je ne savais pas ce que c'était, alors j'ai appelé mon agent et j'ai demandé ce que signifiait vraiment un auteur à succès du «New York Times». Il m'a informé que j'étais maintenant un gorille de mille livres.
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Ce que j'ai adoré dans les romances, c'est le personnage, et je pense que j'apporte toujours cela à mes romans. Ce que la romance m'a appris, c'est que le «qui» sera toujours plus important que le «quoi». C'est amusant de trouver des parcelles, mais je veux m'assurer que le lecteur se soucie de qui il arrive.
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Je ne suis pas l'écrivain le plus détaillé. J'ai tendance à être plus orienté vers l'action vs descriptive.
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Tout ce que j'ai vraiment fait, c'est écrire depuis l'âge de 17 ans, donc je ne sais rien de rien. Pour que je fasse un roman, je dois parler à des gens qui connaissent des choses. Et ce qui me tient en haleine, c'est que je suis un aficionado du crime.
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La jeunesse n'est pas une excuse pour la négligence.
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Je suis unique pour un auteur de suspense car je n'ai pas de formation spécialisée. Beaucoup de rédacteurs suspenses étaient des avocats ou des journalistes battus. Je ne connaissais même pas un flic quand j'ai commencé. J'ai finalement compris que je pouvais visiter les prisons - je devais juste être disposé à passer les appels téléphoniques.
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Je lis toujours la romance et je lis le suspense. Je les ai lus tous les deux. Et en partie, j'aime les histoires avec des personnages forts, et j'aime les histoires où il y a la fermeture à la fin. Et j'aime les histoires où il y a de l'espoir. C'est une sorte d'autonomisation. Je pense que les romans romantiques sont très stimulants, et je pense que les romans de suspense le sont aussi.
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Ce que j'ai adoré dans les romances, c'est le personnage, et je pense que j'apporte toujours cela à mes romans. Ce que la romance m'a appris, c'est que le «qui» sera toujours plus important que le «quoi». C'est amusant de trouver des parcelles, mais je veux m'assurer que le lecteur se soucie de qui il arrive.
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Je suis unique pour un auteur de suspense car je n'ai pas de formation spécialisée. Beaucoup de rédacteurs suspenses étaient des avocats ou des journalistes battus. Je ne connaissais même pas un flic quand j'ai commencé. J'ai finalement compris que je pouvais visiter les prisons - je devais juste être disposé à passer les appels téléphoniques.
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En ce qui concerne les endroits, je fais partie de ces auteurs fous qui doivent le voir, le toucher, le goûter, avant de me faire confiance pour le recréer pour mes lecteurs. Cela dit, visiter un quartier psychologique pédiatrique verrouillé était la recherche la plus intimidante que j'ai jamais faite - et j'ai visité des prisons de sécurité maximales, des galeries de tir, des collections d'os, etc.
@lisaGardner
Les romans post-apocalyptiques vous disent qu'à l'avenir, il y a une grande guerre. Je vous dirais que la plupart des flics disent que cela se passe en ce moment.