A Luta Continua - The Sylvio Perlstein Collection

París, la ciudad de las paradojas !
París es la ciudad de la gastronomía delicada, de la alta costura y del alarde intelectual. Pero a la sombre de estos grandes hitos latía una ciudad fascinante: la de los pobres, los excluidos, los criminales, los inconformistas. En El populacho de París, Luc Sante repite la fascinante fórmula de Bajos fondos y nos ofrece un recorrido por esta segunda ciudad, que se lee en las piedras, en los ladrillos y en las leyendas de una ciudad arrasada, como pocas otras, por el desmemoriado progreso. Apoyándose en el testiomio de literatos -desde Balzac a Víctor Hugo-, pero también en el de truhanes, situacionistas y diletantes de todo pelaje, Luc Sante nos ofrece una profunda reflexión de las dinámicas urbanas y de clases.
Decrubre una profunda reflexión de las dinámicas urbanas y de clases en París.
EXTRACTO
Después de la Primera Guerra Mundial, la lista de îlots insalubres aumentó de seis a diecisiete. Estos incluían las áreas de Belleville, La Villette, Picpus, Glacière, Plaisance y Les Épinettes (un barrio en el Decimoséptimo, al oeste de Montmartre y al sur de Clichy), al igual que buena parte de la zona más antigua del Quinto, un barrio que anteriormente se llamó Saint-Séverin y que comprendía los alrededores de Saint-Julien-le-Pauvre, justo al otro lado del río, frente a Notre-Dame, y también una larga franja que más o menos correspondía al Continente Contrescarpe de los Letristas. Estos lugares tampoco habían escapado al ojo de Georges Cain. Consiguió acceder a una vieja casa en la Rue Maître-Albert (antes Rue Perdue, «calle perdida»), a media manzana del Sena.
SOBRE EL AUTOR
Luc Sante (EE.UU., 1954) es uno de los observadores más brillantes de la cultura contemporánea. Su prosa, delicada y tensa al mismo tiempo, apresa pequeñas escenas y nos devuelve un fresco completo de nuestra época, ya sea a través de libros viejos o de estrellas del hip-hop. No es extraño, pues, que The New Yorker dijera de él: "Es uno de los pocos maestros en vida de la lengua americana, y también un historiador y filósofo singular de la experiencia estadounidense". Del mismo modo, su libro Mata a tus ídolos fue uno de los seleccionados por el director de cine Jim Jarmusch con motivo de los debates literarios que organizó en el Festival ATP de Nueva York. Ha escrito también Low Life, Evidence, The Factory of Facts, Folk Photography, colabora frecuentemente con The New York Review of Books y enseña historia de la fotografía en el Bard College.

El populacho de París

Este libro no trata sobre la historia canónica de Nueva York. No hay inmigrantes pobres que dan la vuelta a su fortuna, ni filántropos dadivosos inaugurando hospitales, ni bardos que gloriquen sus rascacielos. Este libro es más bien un desfile de rufianes -en bandas callejeras, en partidos políticos o en uniforme de policía- y de desheredados -quienes quedaron en la cara oculta del progreso por convicción o porque no les quedó otra-. Y también es un libro sobre los callejones y las casas de vecindad por las que arrastraron su vida y se divirtieron desde 1840 a 1919. Una compilación de los mitos sobre los que se asienta el reverso sombrío del Nueva York actual. RESEÑAS DE PRENSA« Luc Sante es uno de los comentaristas más incisivos de la cultura estadounidense actual », Eduardo Lago, en El País« Maravilloso [.] Una indagación inusual y libre de nostalgia sobre aquellos que empezaron abajo y no se movieron de ahí », Joe Queenan, en The Wall Street Journal. SOBRE EL AUTORLuc Sante (EE. UU., 1954) es uno de los observadores más brillantes de la cultura contemporánea. Su prosa, delicada y tensa al mismo tiempo, apresa pequeñas escenas y nos devuelve un fresco completo de nuestra época, ya sea a través de libros viejos o de estrellas del hip-hop. No es extraño, pues, que The New Yorker dijera de él: "Es uno de los pocos maestros en vida de la lengua americana, y también un historiador y filósofo singular de la experiencia estadounidense". Del mismo modo, su libro Mata a tus ídolos fue uno de los seleccionados por el director de cine Jim Jarmusch con motivo de los debates literarios que organizó en el Festival ATP de Nueva York. Ha escrito también Low Life, Evidence, The Factory of Facts, Folk Photography, colabora frecuentemente con The New York Review of Books y enseña historia de la fotografía en el Bard College.

Bajos fondos - Una mitología de Nueva York

Qui pourrait rivaliser avec le succès des Rolling Stones, jamais démenti depuis un demi-siècle ? Leurs plus célèbres riffs et leurs chansons entêtantes sont gravés dans notre mémoire collective - sans oublier la moue expressive de Mick Jagger ou le rictus de Keith Richards. Avec leur rock 'n' roll bluesy et leur don pour mettre le feu à la scène, les Stones ont redéfini la musique des années 1960 et ouvert la voie au rock d'aujourd'hui. Créé en collaboration avec le groupe, ce livre retrace leur fabuleux parcours et leur incarnation par excellence de la "cool attitude" au fil de près de 500 pages de photographies et d'illustrations, pour la plupart inédites, tirées d'archives du monde entier. Le fait que les Rolling Stones aient comme jamais auparavant ouvert leurs propres archives de New York et de Londres ajoute à cette histoire du groupe une dimension intimiste tout aussi exceptionnelle. Cet ouvrage constitue en quelque sorte l'album photo personnel de Mick, Keith, Ronnie et Charlie. Vous découvrirez : Environ 500 pages de photos phénoménales réalisées par certains des plus grands photographes de la planète, dont David Bailey, Peter Beard, Cecil Beaton, Bob Bonis, Anton Corbijn, Annie Leibovitz, Gered Mankowitz, Helmut Newton, Bent Rej et Norman Parkinson. Des affiches de tournées, des programmes de concert, des pochettes de disques et des souvenirs de toutes les étapes de leur fabuleuse carrière. Un avant-propos de l'ancien président des Etats-Unis, Bill ClintonTrois nouveaux essais des auteurs primés David Dalton, Waldemar Januszczak et Luc SanteUn appendice comprenant un guide du cercle restreint des Stones, les Stones dans les médias, une chronologie du groupe ainsi que leur discographie et les biographies des photographes. Edition grand public illimitée

The Rolling Stones

" A-t-on jamais vu plus parfait hipster que bugs bunny ? "

Dope(s)

My lost city - Occasion

Walker evans

Né en 1954 à Verviers, une ville industrielle de Belgique, Luc Sante fut emmené aux Etats-Unis par ses parents quand il était encore très jeune. Il grandit déchiré : moitié dans l'Ancien Monde, moitié dans le Nouveau, et plein de rancœur envers l'un et l'autre. A la faveur d'un retour au pays natal, à l'âge de trente-cinq ans, Luc Sante retrouve ses racines et devient détective, en quête d'une mémoire. Explorant et analysant le temps, les lieux, les langues, aussi bien que les microfilms, les photographies et les anecdotes qu'il recueille, il prend conscience qu'il est - que nous sommes tous - la somme d'une accumulation d'accidents advenus par les caprices de l'histoire et de la culture. Un étonnant voyage dans les territoires de l'être où l'écriture, par sa manière de rapporter l'enquête et la réflexion, joue un rôle déterminant.

L'Effet des faits

Tout ce que je sais de la ville de New York des années 1970, c'est que c'est là que j'ai grandi, et vous avez toujours un lien ombilical avec le moment et le lieu de votre enfance. C'était pas cher, il n'y avait pas trop de monde dedans, on pouvait aller au cinéma ou n'importe quoi sur un coup de tête, on pouvait se débrouiller sans trop travailler et surtout sans s'impliquer dans le monde de l'entreprise.

J'ai pensé à New York comme une ville libre, comme l'un de ces nids d'avant-guerre de l'intrigue et de la licence où les exilés et les lamsters et les réfugiés ont trouvé un abri dans un enchevêtrement de juxtapositions improbables. Je n'avais jamais réussi à changer ma nationalité de celui qui m'a été assigné à la naissance, mais je me serais déclaré citoyen de New York avait un tel État apatride existant, son drapeau un noir solide.

L'auto-réinvention est un trope essentiel du projet américain, étroitement lié à un autre trope de ce type: aller sur le lam. Les deux sont régulièrement présentés dans des films et des romans et autres. Les criminels et les personnes flânant avec et sans intention tiennent une place cruciale dans la culture. Pour des raisons évidentes, la culture ne peut approuver ce comportement, même si c'est dans Thrall.

Peckerwood rousse, qui parcourt infailliblement la ligne fine entre fiction et non-fiction, est un récit troublant de la violence insondable et de sa place sur la terre

New York n'a pas de camion avec le passé. Il expulse ses morts.

Paris avait plus de relations sexuelles que la plupart des lieux chargés d'église et plus d'église que la plupart des lieux de sexe. Les Parisiens se sont efforcés par Travail-Famille-patrie tout en fréquentant des bordels. Ils ont apprécié de visiter des drag shows tout en serrant l'homosexualité. Ils ont célébré la romance tout en traitant les femmes comme de la saleté. Beaucoup de ces contradictions existaient ailleurs, mais je pense que Paris a gouverné les championnats de l'hypocrisie.

Le con est une sorte de jiu-jitsu qui transforme la propre cupidité de la sucette en son arme principale. Plus vous êtes gardien, plus vous êtes susceptible d'être cédé, et pour le plus grand somme. Étant donné que les gens disposent régulièrement de leur intelligence dans leur précipitation pour être escroqué, puis tournez à droite et recommencez, les humains doivent vouloir être dupés. Les vœux pieux institutionnalisés - le marché boursier, la religion, la publicité - est après tout une pierre angulaire de notre système.

Le néolibéralisme semble accélérer chaque jour, ce qui rend de plus en plus difficile pour quiconque, mais les entreprises de posséder et de gérer des choses et de définir la saveur d'un endroit. J'adorerais être optimiste quant à l'avenir, mais ce n'est pas facile.

J'avoue que je préfère m'engager avec des images que j'ai choisies moi-même hors du Welter des images non identifiées, sans l'intrusion de trop de contexte personnel - il s'agit d'un détective, et je n'aime pas être un impresario.

J'ai réalisé que bien que j'étais fasciné par l'Amérique, son histoire et sa culture, je n'étais pas intéressé à devenir American.

Comme un porche à quatre côtés, je suis ouvert à tous les vents.

New York, qui est fondée sur le mouvement vers l'avant et répugne ainsi à reconnaître ses morts, les amène simplement à marcher, sans cesse insatisfaits et non enterrés, à envahir les circonscriptions des progrès supposés, à imposer la main sur le cadeau sans attention, qui ne sait pas comment identifier les forces qui tirent sur sa rationalité.

Contrairement à un arc et à la flèche, une caméra de par sa nature garantit qu'une sorte de cible sera toujours touchée, sinon nécessairement la cible prévue ni de la manière prévue.

J'ai toujours supposé que c'était une exigence absolue pour être écrivain: trouver toutes les émotions et les sources de tous les comportements quelque part en vous.

Les États-Unis restent un objet de fascination pour moi, et le sujet d'une grande étude, mais bien que beaucoup de mes amis, etc. sont américains et je n'ai pas l'intention de déménager ailleurs, je me considère comme un étranger permanent.

Ma ville idéale ressemble plus à la ville (New York et Paris viennent à l'esprit, mais cela s'applique en quelque sorte à tous) qui existait jusqu'aux années 1930, lorsque différentes classes vivaient ensemble dans les mêmes quartiers, et la plupart des entreprises de toute entreprise Le tri était maman-et-pop, et les gens et les choses avaient une identité locale.

Ma méthode est la Magpie: je cherche des choses brillantes. Autrement dit, je recherche des détails de matériaux concrets de la vie quotidienne, et je recherche une prose vigoureuse, qui est le seul type que je puisse lire très longtemps. Cela déteste effectivement beaucoup de travail savant, mais je n'ai pas ressenti sa perte.

Je donne toujours de l'argent à un trottoir si l'histoire est bonne, même si je n'en crois pas un mot. L'art mérite d'être payé.

Appelez-vous "colonel" et déclarez que votre fortune vous a été laissée par des bourgeois néerlandais du XVIIe siècle. Vous êtes maintenant un citoyen solide, l'incarnation du travail acharné et de l'individualisme robuste. Vous n'êtes pas un criminel. Le criminel est le gars qui est court, qui se fait prendre, qui ne parvient pas à adopter une couverture respectable.

De nombreux écrivains et artistes ont dépeint les pauvres avec sympathie, et ont même combattu en leur nom, mais ils n'étaient pas eux-mêmes de cette classe. La vie gay est peut-être encore plus soumise à l'ambiguïté, car elle implique si souvent des cours.

La subjectivité est mon deuxième prénom, une mémoire de touche est mon pack mule et l'auto-contradiction est mon fidèle vieux Jackknife.

Des livres sont entrés dans ma maison sous le couvert de la nuit, à partir des quatre vents, contrebout par des créatures Woodland, puis ils ne sont jamais partis. Livres collectés sur chaque surface; Je crois que ils ont réussi à se reproduire

J'essaie de prendre des photos selon leurs propres termes, compte tenu du contexte historique et social à partir duquel ils émergent.

Je me rends compte que les livres ne sont pas le monde entier, même s'ils semblent parfois le contenir. Mais j'ai besoin des choses stupides.

Quand j'étais enfant, je me suis engagé dans une lutte ardue pour passer: apprendre l'anglais, me débarrasser de mon accent, devenir familier avec la culture dans tous ses grands et petits aspects.

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