Dans ce livre publié pour la première fois en 2008 et vendu à plus d'1 million d'exemplaires à travers le monde, Norman Doidge nous révélait une découverte révolutionnaire : la neuroplasticité du cerveau, à savoir sa capacité à modifier sa structure physique pour compenser des déficiences, des lésions, pour se réparer, mais aussi pour se développer et s'améliorer - et ce, quel que soit notre âge.

Dix ans plus tard, les neurosciences sont sur toutes les lèvres et la neuroplasticité ne cesse de dévoiler ses extraordinaires pouvoirs thérapeutiques, notamment pour les pathologies dégénératives comme la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson.

Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau

Il est urgent de redécouvrir ce livre pionnier, passionnant et réconfortant, sur les ressources inexplorées de notre cerveau, son infinie capacité à s'adapter et à progresser.
Dans ce livre publié pour la première fois en 2008 et vendu à plus d'1 million d'exemplaires à travers le monde, Norman Doidge nous révélait une découverte révolutionnaire : la neuroplasticité du cerveau, à savoir sa capacité à modifier sa structure physique pour compenser des déficiences, des lésions, pour se réparer, mais aussi pour se développer et s'améliorer - et ce, quel que soit notre âge.

Dix ans plus tard, les neurosciences sont sur toutes les lèvres et la neuroplasticité ne cesse de dévoiler ses extraordinaires pouvoirs thérapeutiques, notamment pour les pathologies dégénératives comme la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson.

Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau - Guérir grâce à la neuroplasticité

Vous ne soupçonnez pas tout ce que votre cerveau peut faire !
Dans ce livre unique, fruit d'enquêtes réalisées dans le monde entier, Norman Doidge montre ce que nous savons aujourd'hui des capacités surprenantes de notre cerveau. Vous découvrirez un homme rendu aveugle à la suite d'une maladie auto-immune qui recouvre la vue en méditant ; un enfant souffrant de retard intellectuel apprendre d'un seul coup à parler en écoutant de la musique... Un livre plein d'espérance qui est devenu une référence dans le monde entier.

Norman DOIDGE est psychiatre, psychanalyste et chercheur à l'université Columbia, à New York, où il enseigne également, partageant son temps entre Toronto et New York.

Guérir grâce à la neuroplasticité

Contrairement aux idées reçues, nos capacités cérébrales ne déclinent pas passé un certain âge. Bien au contraire, le cerveau humain ne cesse de se régénérer, se développer, évoluer. Les découvertes les plus récentes prouvent qu'il est capable de compenser par lui-même les déficiences et les lésions, de guérir et de pallier nos défaillances.
 La plus étonnante révolution scientifique du XXIe siècle enfin exposée au grand public !
 
 " Dans un style accessible et très narratif, le psychiatre Norman Doidge présente une série de travaux saisissants... " 
J.-F.M. - Sciences Humaines
 
 
Norman DOIDGE est psychiatre, psychanalyste et chercheur à l'université Columbia, à New York, où il enseigne également, partageant son temps entre Toronto et New York.

Pendant des siècles, la médecine et la science ont affirmé que le cerveau était comme une machine : si une partie s'abîmait, une fonction disparaissait. Or, on découvre aujourd'hui que cette affirmation est complètement erronée : le cerveau a la capacité de s'adapter, de compenser les déficiences dues à des lésions, des traumatismes ou des handicaps de naissance. À travers des analyses détaillées de cas (chaque chapitre est consacré à l'histoire d'un patient), accompagnées d'entretiens avec des spécialistes, Norman Doidge illustre brillamment cette étonnante capacité du cerveau à se réparer. Doué d'un talent de conteur, du souci des détails et du sens de l'anecdote, il offre un livre qui se lit comme une suite d'histoires. Une femme qui avait perdu l'usage de l'oreille interne et qui depuis cinq ans ne pouvait se tenir debout a ainsi retrouvé l'équilibre grâce à des détecteurs sensoriels posés sur la langue. Une victime d'un infarctus a récupéré l'usage de ses jambes, alors que 97 % des nerfs reliant son cortex à sa moelle épinière étaient détruits. L'ouvrage passionnant de Norman Doidge renouvelle la science du cerveau, explore les travaux des chercheurs les plus pointus et présente des traitements révolutionnaires. Un propos à la rigueur scientifique servie par la prose vivante, accessible et enlevée d'un excellent journaliste.

Les étonnants pouvoirs de transformation du  cerveau ; guérir grâce à la neuroplasticité

Nous avons tous des soucis. Nous nous inquiétons parce que nous sommes des êtres intelligents. L'intelligence prédit, c'est son essence ; la même intelligence qui nous permet de planifier, d'espérer, d'imaginer et d'émettre des hypothèses nous permet également de nous inquiéter et d'anticiper les résultats négatifs.

La neuroplasticité contribue à la fois aux aspects contraints et non contraints de notre nature. Cela rend notre cerveau non seulement plus ingénieux, mais aussi plus vulnérable aux influences extérieures.

Ironiquement, certaines de nos habitudes et troubles les plus obstinés sont des produits de notre plasticité.

...un psychothérapeute ou un psychanalyste efficace est un "microchirurgien de l'esprit" qui aide les patients à effectuer les modifications nécessaires dans les réseaux neuronaux.

Après la fin de la période d'apprentissage critique initiale de la jeunesse, les zones du cerveau qui doivent être « activées » pour permettre un apprentissage amélioré et durable ne peuvent être activées que lorsque quelque chose d'important, de surprenant ou de nouveau se produit, ou si nous faisons le effort pour faire très attention.

Nous avons tous ce que l'on pourrait appeler un cerveau culturellement modifié, et à mesure que les cultures évoluent, elles conduisent continuellement à de nouveaux changements dans le cerveau.

Tout ce qui a à voir avec la formation et l'éducation humaines doivent être réexaminés à la lumière de la neuroplasticité.

Toutes les activités ne sont pas égales à cet égard. Ceux qui impliquent une véritable concentration - étudiant un instrument de musique, jouant à des jeux de société, lecture et dansant - sont associés à un risque plus faible de démence. La danse, qui nécessite d'apprendre de nouveaux mouvements, est à la fois physiquement et mentalement difficile et nécessite beaucoup de concentration. Des activités moins intenses, telles que le bowling, le baby-sitting et le golf, ne sont pas associées à une incidence réduite d'Alzheimer. (254)

La pensée change la structure ... J'ai vu des gens recâbler leur cerveau avec leurs pensées, pour guérir les obsessions et les traumatismes auparavant incurables.

L'analyse aide les patients à mettre leurs souvenirs procéduraux et leurs actions inconscients en mots et en contexte, afin qu'ils puissent mieux les comprendre.

La formation mentale compte. Ce n'est pas seulement un luxe ou une vitamine supplémentaire pour l'âme. Il détermine la qualité de chaque instant de notre vie.

La psychanalyse consiste souvent à transformer nos fantômes en ancêtres, même pour les patients qui n'ont pas perdu leurs proches à mort. Nous sommes souvent hantés par des relations importantes du passé qui nous influencent inconsciemment dans le présent. Alors que nous les travaillons, ils passent de nous hanter à faire simplement partie de notre histoire. (243)

Toutes les activités ne sont pas égales ... celles qui impliquent une véritable concentration - étudier un instrument de musique, jouer à des jeux de société, lire et danser - sont associés à un risque plus faible de démence.

Nous louons souvent «la capacité de plusieurs tâches». Bien que vous puissiez apprendre lorsque vous divisez votre attention, l'attention divisée n'entraîne pas un changement dans vos cartes cérébrales [changements durables].

Le développement du langage, par exemple, a une période critique qui commence dans la petite enfance et se termine entre huit ans et la puberté. Après la fermeture de cette période critique, la capacité d'une personne à apprendre une deuxième langue sans accent est limitée. En fait, les secondes langues apprises après la période critique ne sont pas traitées dans la même partie du cerveau que la langue maternelle.

Rien n'accélère plus l'atrophie du cerveau que d'être immobilisé dans le même environnement.

Parce que c'est un cerveau «utilisez-le ou perdez», lorsque nous développons une zone de carte [dans le cerveau], nous avons envie de le garder activé. Tout comme nos muscles deviennent impatients de faire de l'exercice si nous sommes assis toute la journée.

Nous devons apprendre si nous voulons nous sentir pleinement vivants, et quand la vie, ou l'amour, devient trop prévisible et il semble qu'il reste peu à apprendre, nous devenons agités - une manifestation, peut-être, du cerveau en plastique quand il ne peut pas Effectuez plus de sa tâche essentielle.

L'analyse aide les patients à mettre leurs souvenirs et actions procéduraux inconscients en mots et en contexte, afin qu'ils puissent mieux les comprendre. Dans le processus, ils retranscrivent plastiquement ces souvenirs procéduraux, afin qu'ils deviennent des souvenirs explicites conscients, parfois pour la première fois, et les patients n'ont plus besoin de "revivre" ou de "reconstituer", surtout s'ils étaient traumatisants.

La psychanalyse consiste souvent à transformer nos fantômes en ancêtres.

Le cerveau est un système beaucoup plus ouvert que nous ne l'avons jamais imaginé, et la nature est allée très loin pour nous aider à percevoir et à prendre le monde qui nous entoure. Il nous a donné un cerveau qui survit dans un monde en mutation en se changeant.

Si vous voulez soulever une centaine de livres, vous ne vous attendez pas à réussir la première fois. Vous commencez avec un poids plus léger et travaillez petit à petit. Vous échouez en fait à une centaine de livres, tous les jours, jusqu'au jour où vous réussissez. Mais c'est à l'époque où vous vous exercez que la croissance se produit.

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