Paul G. Tremblay
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Les mathématiques ont toujours été ma meilleure matière en grandissant.
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Citations
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A Head Full of Ghosts" a été mon premier roman d'horreur à part entière, et j'ai eu l'impression de rentrer à la maison en tant qu'écrivain.
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Le hasard, le choix et les conséquences sont des éléments fondamentaux de l'existence et du fourrage parfait pour une histoire d'horreur - ou toute histoire, d'ailleurs, qui demande: «Comment vivez-vous à travers cela? Comment est-ce que quelqu'un vit?
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L'ambiguïté est notre état permanent, n'est-ce pas ? Nous n'aimons pas qu'il en soit ainsi. La plupart d'entre nous aspirons à l'ordre et à la routine, et pourtant bâiller devant nous est notre avenir, aussi effrayant qu'excitant.
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Le crime, l'horreur et la satire visent chacun à révéler une vérité laide ou inconfortable: une qui, après la révélation, nous assurerons que nous ne serons plus jamais les mêmes. La grande différence entre ces genres étant l'effet qu'ils créent.
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L'ambiguïté et l'horreur des possibilités jouent un rôle dans tant de mes histoires d'horreur préférées : « We Will Always Live in the Castle » de Shirley Jackson, « House of Leaves » de Mark Danielewski, « Big Machine » de Victor LaValle, « The Yellow Wallpaper, "The Speed Queen" de Stewart O'Nan, et bien d'autres.
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Une grande partie de l'attrait de ce roman lorsque j'ai eu la chance de tomber sur l'idée de l'histoire de "Une tête pleine de fantômes" était que j'allais enfin écrire un roman d'horreur. À bien des égards, le livre est à la fois ma critique et ma lettre d'amour à l'horreur.
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J'étais définitivement un enfant des années 80. La télévision par câble était nouvelle. J'ai regardé une tonne de films et une tonne de télévision. HBO montrerait les mêmes films encore et encore, donc je regarderais les mêmes films encore et encore.
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Les guimauves sont un peu bizarres. Je ne suis pas un grand fan. Je veux dire, ils sont amusants quand ils se fondent et fondues au bout d'un bâton, mais je brûle toujours ma bouche parce que je ne suis pas si intelligent ou patient.
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Il y a de grandes et terribles conséquences à tout acte de violence, et ils se répercutent au-delà de l'acte lui-même.
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Je suis un rêverie - un usage utile lorsque j'écris de la fiction.
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L'ambiguïté et l'horreur des possibilités jouent un rôle dans tant de mes histoires d'horreur préférées : « We Will Always Live in the Castle » de Shirley Jackson, « House of Leaves » de Mark Danielewski, « Big Machine » de Victor LaValle, « The Yellow Wallpaper, "The Speed Queen" de Stewart O'Nan, et bien d'autres.
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L'ambiguïté et l'horreur des possibilités jouent un rôle dans tant de mes histoires d'horreur préférées : « We Will Always Live in the Castle » de Shirley Jackson, « House of Leaves » de Mark Danielewski, « Big Machine » de Victor LaValle, « The Yellow Wallpaper, "The Speed Queen" de Stewart O'Nan, et bien d'autres.
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Le sentiment de ne pas avoir le choix ou de dire est une peur de la mienne, en partie parce que l'idée de se desserrer du fardeau et de la responsabilité du choix et des conséquences est tellement enivrante.
Paul G. Tremblay
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Je dois admettre être un snob de musique. Je pense que, dans un univers parallèle, j'aurais pu facilement être le personnage de Jack Black de «High Fidelity», travaillant dans un magasin de disques et commentant délicatement les achats de chacun.
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Je pense que j'ai eu sérieusement écrire à la fin des années 90. Les premières choses que j'ai écrites étaient terribles et ont été rejetées, mais j'ai commencé à obtenir plus d'encouragement des lettres de rejet.
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Après que mes débuts ne se soient pas très bien passés avec Holt, j'avais besoin d'être dans un état d'esprit plus sain. J'étais content d'en sortir. Vous aurez toujours ces pensées négatives en tant qu'écrivain, mais vous ne pouvez pas les laisser prendre le dessus. Si vous les laissez prendre le relais, ce sont les vrais tueurs de pages.
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Je suis devenu un lecteur - peu importe un écrivain - à cause de Stephen King.
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Je dois admettre être un snob de musique. Je pense que, dans un univers parallèle, j'aurais pu facilement être le personnage de Jack Black de «High Fidelity», travaillant dans un magasin de disques et commentant délicatement les achats de chacun.
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Lorsque vous faites confiance à votre subconscient pour mettre quelque chose dans une histoire, puis comprendre pourquoi il avait vraiment besoin d'être là plus tard, quand ça marche, oui, c'est ça.
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Je dois admettre être un snob de musique. Je pense que, dans un univers parallèle, j'aurais pu facilement être le personnage de Jack Black de «High Fidelity», travaillant dans un magasin de disques et commentant délicatement les achats de chacun.
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Pour trop de nos citoyens, le christianisme est devenu enlacé avec le culte extatique de l'arme et de la violence. Pour les adhérents, il n'y a pas de compassion, pas d'amour ton prochain, pas de paix, pas de raison, et Dieu ne fait que ceux qui se sont armées.
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Pop Country me fait vraiment peur, à quel point il est populaire.
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'Martha Marcy May Marlene' est excellente. J'adore la façon dont le film est à la fois ancré dans le réalisme et, en même temps, il dégage une atmosphère éthérée et cauchemardesque.
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Une grande partie de l'attrait de ce roman lorsque j'ai eu la chance de tomber sur l'idée de l'histoire de "Une tête pleine de fantômes" était que j'allais enfin écrire un roman d'horreur. À bien des égards, le livre est à la fois ma critique et ma lettre d'amour à l'horreur.
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En tant qu'adulte, j'ai appris à faire face et à débarrasser les pires ifs avant que mon esprit ne m'emmène dans un endroit à partir duquel je ne peux pas revenir.
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Il y a beaucoup d'écrivains talentueux et dignes qui engagent l'horreur dans de nouvelles manières, et oui, terrifiantes.
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Le son de la construction de cercueils est une œuvre émouvante d'un écrivain de The Weird. Maistros fait plus que de vous faire sentir pour ses personnages et leurs vies tordues et endommagées; Il vous donne * envie * de vous sentir.
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La réponse à «une tête pleine de fantômes» a été incroyable et passionnante. Je mentirais si je disais que je ne ressens pas une petite pression supplémentaire en essayant de le suivre.
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L'ambiguïté est une grande partie de ce monde post-vérité dans lequel nous vivons.
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