Paul G. Tremblay
@paulGTremblay
Chaque jour où j'écris est idéal pour moi.
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Chaque jour où j'écris est idéal pour moi.
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Ce qui me tient debout la nuit, c'est le manque de rationalité continu et naissant de notre pays en réponse aux tirs de masse.
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En tant qu'adulte, j'ai appris à faire face et à débarrasser les pires ifs avant que mon esprit ne m'emmène dans un endroit à partir duquel je ne peux pas revenir.
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Mes deux premiers romans étaient des histoires de détective excentriques suivies de quelques romans SF / fantastiques.
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Je redoute généralement d'écrire la non-fiction. Je ne me sens pas à l'aise ou aux essais d'écriture confiants et autres.
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Les films d'horreur indépendants ont vraiment intensifié le jeu, et j'espère que le grand public Hollywood emboîtera le pas.
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Je veux que les gens prennent l'horreur au sérieux.
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Il n'y a aucune raison objective qui peut indiquer qui prouve qu'une histoire d'horreur est intratitenée ou qu'il est condamné à échouer en tant qu'œuvre d'art à cause de l'horreur. Quiconque dit le contraire est intellectuellement malhonnête.
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J'ai toujours voulu écrire un livre qui ferait parler de gens, théoriser, argumenter.
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Je me souviens avoir dansé dans mon salon lorsque ma nouvelle «The Laughing Man Meets Little Cat» a remporté un concours de fiction en chizine en 2002.
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Chaque fois que vous apportez la télé-réalité dans le mix, ce n'est qu'une question de temps auparavant, quelle que soit la fiction que vous proposez, cela deviendra réel.
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Je pense que j'ai eu sérieusement écrire à la fin des années 90. Les premières choses que j'ai écrites étaient terribles et ont été rejetées, mais j'ai commencé à obtenir plus d'encouragement des lettres de rejet.
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Je ne m'assois pas consciemment en pensant que je floue les lignes de genre, pour la plupart. J'essaie de rester concentré uniquement sur la fonction des besoins de l'histoire particulière sur laquelle je travaille.
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Au début des années 2000, j'ai commencé à vendre des nouvelles aux marchés de l'horreur. J'ai rejoint la Horror Writers Association.
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Bien qu'être parent ait été l'expérience la plus épanouissante de ma vie, elle a un prix. Outre l'assaut des inquiétudes et des peurs qui peuvent être paralysants, plus personnellement, il y a une lutte contre l'identité, ou la peur de la perte ou de l'usurpsion de l'identité, si cela a du sens.
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Je suis un fan de l'horreur et de l'étudier depuis aussi longtemps que je me souvienne.
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Une grande partie de mon travail concerne les enfants et / ou la parentalité; C'est quelque chose sur lequel je suis dessiné sans pouvoir expliquer complètement pourquoi.
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Mon premier accord était pour deux romans de Mark Genevich. Je n'avais pas prévu d'écrire un deuxième roman de Genevich, mais j'ai été contracté pour le faire, et donc là, j'étais présenté en tant qu'écrivain du crime.
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J'étais un bon garçon au lycée, et j'ai lu pour les cours d'anglais, et je me souviens vaguement avoir lu, en tant qu'enfant, «choisissez votre propre aventure», mais je n'ai pas vraiment lu pour le plaisir.
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Plus une histoire d'horreur se rapproche de la vérité des choses, plus elle sera affective.
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Je suis dur avec moi-même. Mais soyons honnêtes: je ne suis pas aussi dur que le critique en ligne une étoile qui dit: "Ce livre est ennuyeux et stupide et sent le caca."
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Si ce qui doit être fait est de faire, alors je ne peux pas visser avec le luxe d'écrire des rituels ou d'attendre que les conditions d'écriture vierges se matérialisent comme par magie.
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La façon dont les enfants tentent de gérer les comédies et les tragédies quotidiennes et la mortalité sont universelles et finalement une si grande partie de ce que cela signifie d'être humain.
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Je n'appellerai pas «la cabine» une histoire d'invasion anti-maison, car ce n'est pas exactement vrai, mais le sous-genre d'invasion à domicile est celui vers lequel je ne gravite généralement pas en tant que lecteur ou le spectateur de films.
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J'ai l'impression que trop d'écrivains d'horreur et de cinéastes supposent simplement que le défaut est: «Le film d'horreur doit être en premier atmosphère et tout le reste.
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Je dois admettre être un snob de musique. Je pense que, dans un univers parallèle, j'aurais pu facilement être le personnage de Jack Black de «High Fidelity», travaillant dans un magasin de disques et commentant délicatement les achats de chacun.
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Le sentiment de ne pas avoir le choix ou de dire est une peur de la mienne, en partie parce que l'idée de se desserrer du fardeau et de la responsabilité du choix et des conséquences est tellement enivrante.
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Se lancer dans les études supérieures était de la pure chance.
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Je ne suis certainement pas un routard hardcore, mais j'aime être dans les bois pendant quelques heures.
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Je suis dur avec moi-même. Mais soyons honnêtes: je ne suis pas aussi dur que le critique en ligne une étoile qui dit: "Ce livre est ennuyeux et stupide et sent le caca."