Au-delà des blessures de l'enfant et des cicatrices de l'homme, il y a quelque chose au cœur de l'amour lui-même qui rend l'amour pathétique.

La religion a peut-être été le remède original; Freud nous rappelle que c'était aussi la maladie d'origine.

L'homme est lié au poids de son propre passé, et même par un grand travail thérapeutique, un peu plus peut être accompli qu'un changement de la charge.

La raison ne peut pas nous sauver, rien ne peut; Mais la raison peut atténuer la cruauté de la vie.

L'homme psychologique ne va nulle part, mais il vise à atteindre une certaine vitesse et une certaine certitude. Comme son prédécesseur, l'homme de l'économie de marché, il comprend la moralité comme celle qui est propice à une activité accrue. L'important est de continuer.

L'intellection doit aborder la question de son sentiment.

L'homme religieux est né pour être sauvé, l'homme psychologique est né pour être satisfait.

La confiance en soi est inséparable de la soumission à l'Ordre Criédé et, par cet ordre, à l'autorité suprême exprimée dans cet ordre. ... L'individualisme profond ne peut exister que par rapport à la plus haute autorité. Aucune discipline intérieure ne peut fonctionner sans une institution charismatique, et une telle institution ne peut pas survivre sans cette autorité suprême d'une relation à qui dérive la confiance en soi. Sans une autorité profondément installée, il n'y a pas de base pour l'individualité. La confiance en soi exprime ainsi la soumission à l'autorité suprême.

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