L'enfant et la vie familiale sous l'Ancien Régime« À ce procès de la famille, ou pour être plus exact, à l'enquête que notre temps poursuit sur la famille et l'enfance, le livre de Philippe Ariès apporte une contribution capitale. »Claude Mettra, Les Nouvelles littéraires« La leçon de ce livre est immense pour nous Occidentaux scolarisés, familiarisés, odipianisés. Comme tous les livres d'histoire qui s'enfoncent à cette profondeur dans ce qui constitue notre archéologie, il nous dote d'un savoir comparatif déterminant, il nous permet de penser vraiment que tout n'a pas toujours été pareil. »Raymond Bellour, Le Magazine littéraire« Un livre étonnant, le seul à vrai dire qui propose une approche historique de l'enfance, un travail monumental qu'il faut connaître si l'on ne veut pas rester un imbécile. »Jean-Michel Damian, Politique hebdoPhilippe Ariès (1914-1984)Célèbre pionnier de l'« histoire des mentalités », il s'est imposé par des ouvrages devenus des classiques, notamment L'Homme devant la mort (Seuil, 1977).

L'Enfant Et La Vie Familiale Sous L'Ancien Regime

All the mystery, earthiness and romance of the Middle Ages are captured in this panorama of everyday life. The evolving concepts of intimacy are explored--from the semi-obscure eleventh century through the first stirrings of the Renaissance world in the fifteenth century. Color and black-and-white illustrations.

Histoire de la vie privée. Tome V. De la Première Guerre mondiale à nos jours

« Les manières d'aimer ne sont plus ce qu'elles étaient, ni les rapports entre le masculin et le féminin. C'est l'un des aspects les plus troublants d'une modification d'ensemble des relations familiales, une mutation bouleversante, le plus important peut-être de tous les changements qui affectent notre civilisation à la veille du IIIe millénaire... » Georges Duby

Amour et sexualité en Occident

Histoire de la vie privée Tome 3 ; de la Renaissance aux Lumières

2. La mort ensauvagéeParu en 1977, le livre a connu immédiatement un succès très important : résultat de quinze ans de travaux sur plus d'un millénaire d'histoire occidentale, cette somme a animé et dominé un vaste mouvement de recherches et de publications sur les attitudes face à la mort.Le gros volume de la première édition est repris intégralement dans " Points Histoire " en deux volumes :1. Le temps des gisants2. La mort ensauvagée

La mort ensauvagée (L'homme devant la mort, tome 2)

Un historien du dimanche

" a ce procès de la famille, ou pour être plus exact, à l'enquête que notre temps poursuit sur la famille et l'enfance, le livre de philippe ariès apporte une contribution capitale.
 " claude mettra, les nouvelles littéraires " la leçon de ce livre est immense pour nous occidentaux scolarisés, familiarisés, oedipianisés... comme tous les livres d'histoire qui s'enfoncent à cette profondeur dans ce qui constitue notre archéologie, il nous dote d'un savoir comparatif déterminant, il nous permet de penser vraiment que tout n'a pas toujours été pareil. " raymond bellecour, le magazine littéraire.

" un livre étonnant, le seul à vrai dire qui propose une approche historique de l'enfance, un travail monumental qu'il faut connaître, si l'on veut ne pas rester un imbécile.
 " jean-michel damian, politique hebdo

Enfant et la vie familiale sous l'ancien regime (l')

Histoire des populations françaises

Le premier adolescent typique des temps modernes a été Siegfried de Wagner. : La musique de Siegfried a exprimé pour la première fois que la combinaison de la pureté (provisoire), de la force physique, du naturisme, de la spontanéité et de la Joie de Vivre qui devait faire de l'adolescent le héros de notre XXe siècle, le siècle d'adolescence.

En 1600, la spécialisation des jeux et des passe-temps ne s'étendait pas au-delà de la petite enfance; Après l'âge de trois ou quatre ans, il a diminué et a disparu. Dès lors, l'enfant a joué les mêmes jeux que l'adulte, soit avec d'autres enfants, soit avec des adultes. . . . À l'inverse, les adultes jouaient à des jeux qui jouaient aujourd'hui que seuls les enfants jouent.

C'est comme si, à chaque période de l'histoire, il correspondait à un âge privilégié et à une division particulière de la vie humaine: la «jeunesse» est l'âge privilégié du XVIIe siècle, l'enfance du XIXe, l'adolescence du XXe.

La mort doit simplement devenir la sortie discrète mais digne d'une personne pacifique d'une société utile qui n'est pas déchirée, même pas trop bouleversée par l'idée d'une transition biologique sans signification, sans douleur ni souffrance, et finalement sans crainte.

Le refus du décès est ouvertement reconnu comme un trait important de notre culture. Les larmes des personnes endeuillées sont devenues comparables aux excrétions des malades

Jusqu'à la fin du Moyen Âge, et dans de nombreux cas ensuite aussi, afin d'obtenir l'initiation dans un commerce de quelque nature que nécessaire pour exercer ce commerce avant de l'entrer, mais s'est jeté dedans; Il a ensuite acquis les connaissances nécessaires.

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