Richard Meltzer
@richardMeltzer
Ceux qui pourraient avoir une certaine profondeur sont assez ringards pour être hokey, et presque assez hokey pour être folky, car Folky est déjà si hokey de toute façon.
Richard Meltzer
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@richardMeltzer
Ceux qui pourraient avoir une certaine profondeur sont assez ringards pour être hokey, et presque assez hokey pour être folky, car Folky est déjà si hokey de toute façon.
@richardMeltzer
Mais le côté de la poésie est ce qui me plaît le plus aujourd'hui. Métaphore, liens simplement absurdes et élaboration des catégories, étiquetage, taxonomie, et je dirais qu'il me reste des outils. Il y a des jours, je ne peux pas faire une phrase à partir de rien, et tout ce que je fais me semble maladroit. Mais j'ai toujours une compréhension générale du cliché, de la phrase générique. Et si je n'avais pas ça, je serais une goutte de mastic sur le sol.
@richardMeltzer
Je veux dire, qu'est-ce qui est thématique? Comment le mettre? Pour en revenir, comme, 1980, quand j'ai commencé à écrire de la poésie. La langue elle-même est devenue un problème. Je considérerais même la police comme un aspect du texte, vous savez, à quoi ressemble quelque chose sur une page. Une grande partie de ceci est le produit d'une existence très solitaire, c'est comme, la langue, je veux dire, vous savez. Beaucoup de temps passé seul dans la création de tout ça.
@richardMeltzer
Si je suis très ivre, je peux improviser. Mais d'une manière générale, non. D'une manière générale, presque tout mon travail est un matériel qui a été réalisé pour la première fois sur la page imprimée. Et les plus courts que vous pourriez appeler des poèmes, j'avais un tronçon de '79, '80, pendant cinq ou six ans, où j'ai écrit beaucoup de poésie en tant que telle. Tout simplement parce qu'on m'a demandé.
@richardMeltzer
Et tout ce qui se passe en ligne, c'est comme si, pour moi, c'était un monde qui n'existe pas. Ce n'est pas quelque chose que vous pourriez toucher, lécher ou sentir. Et comme mes yeux s'aggravent, c'est très difficile à lire. Et il n'y a pas d'argent dedans. Je veux dire, c'est comme s'ils payaient, comme le mieux que vous puissiez faire, c'est les prix de 1970.
@richardMeltzer
Fondamentalement, j'ai atteint le point où j'ai perdu toute relation directe avec l'un des éditeurs que j'avais l'habitude d'avoir. Je suppose que je devrai payer pour le publier moi-même, et je pense beaucoup à sortir cinquante exemplaires. J'avais l'habitude de penser à des foutaises comme à mon héritage et à des choses stupides comme ça. Mais j'ai l'impression que si je ne sors plus jamais un autre livre, j'ai bien fait, j'ai eu douze ou treize petits livres, et je ne serai pas contrarié à ce sujet sur mon lit de mort.
@richardMeltzer
Fondamentalement, j'ai atteint le point où j'ai perdu toute relation directe avec l'un des éditeurs que j'avais l'habitude d'avoir. Je suppose que je devrai payer pour le publier moi-même, et je pense beaucoup à sortir cinquante exemplaires. J'avais l'habitude de penser à des foutaises comme à mon héritage et à des choses stupides comme ça. Mais j'ai l'impression que si je ne sors plus jamais un autre livre, j'ai bien fait, j'ai eu douze ou treize petits livres, et je ne serai pas contrarié à ce sujet sur mon lit de mort.
@richardMeltzer
Cela ne me dérangeait pas d'écrire de manière incohérente, jusqu'en 1980 environ, à l'occasion. Mais après cela, j'ai décidé, pourrait aussi bien être articulé. Et j'ai trouvé, cependant, que l'écriture de poésie avait affecté ma prose au point où je n'ai plus jamais écrit dans un projet, et ma prose a pris de plus en plus de plus en plus. Il a fallu de plus en plus de temps pour trouver un texte acceptable. Et c'est probablement l'une des raisons pour lesquelles ma sortie a ralenti.
@richardMeltzer
L'une des choses sur moi est que j'avais en fait une vie légèrement de la classe moyenne de l'écriture. Pendant des années et des années, j'ai tellement écrit dans les années 70 et 80 que j'ai gagné ma vie. Et j'ai très rarement dû prendre un autre emploi. Et maintenant, il est impossible que quiconque vienne gagner sa vie. Ils ont énervé dans le temple, tu sais?
@richardMeltzer
Lorsque vous arrivez à quatre-vingt-quatre ans, vous êtes prêt à vous asseoir et à penser universel et systématique. J'étais une majeure en philosophie il y a très longtemps. À Stony Brook. Vous aviez quelque chose à voir avec une école universitaire d'État?
@richardMeltzer
Fondamentalement, j'ai atteint le point où j'ai perdu toute relation directe avec l'un des éditeurs que j'avais l'habitude d'avoir. Je suppose que je devrai payer pour le publier moi-même, et je pense beaucoup à sortir cinquante exemplaires. J'avais l'habitude de penser à des foutaises comme à mon héritage et à des choses stupides comme ça. Mais j'ai l'impression que si je ne sors plus jamais un autre livre, j'ai bien fait, j'ai eu douze ou treize petits livres, et je ne serai pas contrarié à ce sujet sur mon lit de mort.
@richardMeltzer
Si je regardais certaines de ces pièces comme si ce projet n'avait pas été parlé mais juste une courte anthologie, j'aurais probablement fait de l'agitation avec certaines phrases, vous savez? Syllabcation et prosodie et une telle merde. Parce que le mot imprimé est gravé dans la pierre. Mais à des fins de lecture, j'ai accepté ce livre de textes de la manière dont je les ai écrites, pas besoin de s'affronter. La plupart des trucs plus courts ont été écrits comme de la poésie. Ce qui signifie beaucoup d'espace blanc sur la page.
@richardMeltzer
Mes problèmes sont cela simplement en termes de mon propre travail. Il représente 30 ans de production. Et certaines des choses, certaines des pièces que j'ai utilisées là-bas, quand je les ai écrites pour la première fois, ils semblaient probablement très menaçants, et je les entends maintenant, et ils sont juste un peu agréables, si c'est le mot.
@richardMeltzer
Je veux dire, qu'est-ce qui est thématique? Comment le mettre? Pour en revenir, comme, 1980, quand j'ai commencé à écrire de la poésie. La langue elle-même est devenue un problème. Je considérerais même la police comme un aspect du texte, vous savez, à quoi ressemble quelque chose sur une page. Une grande partie de ceci est le produit d'une existence très solitaire, c'est comme, la langue, je veux dire, vous savez. Beaucoup de temps passé seul dans la création de tout ça.
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L'une des choses sur moi est que j'avais en fait une vie légèrement de la classe moyenne de l'écriture. Pendant des années et des années, j'ai tellement écrit dans les années 70 et 80 que j'ai gagné ma vie. Et j'ai très rarement dû prendre un autre emploi. Et maintenant, il est impossible que quiconque vienne gagner sa vie. Ils ont énervé dans le temple, tu sais?
@richardMeltzer
Quoi qu'il en soit, je ne vais jamais obtenir une anthologie d'un réel éditeur, bien que je puisse toujours marquer une autre anthologie musicale. Mais si cela va être un document d'une multiplicité de mes écrits, cela fera l'affaire. Cela ressemble à une fête d'anniversaire ou quelque chose comme ça.
@richardMeltzer
Et tout ce qui se passe en ligne, c'est comme si, pour moi, c'était un monde qui n'existe pas. Ce n'est pas quelque chose que vous pourriez toucher, lécher ou sentir. Et comme mes yeux s'aggravent, c'est très difficile à lire. Et il n'y a pas d'argent dedans. Je veux dire, c'est comme s'ils payaient, comme le mieux que vous puissiez faire, c'est les prix de 1970.
@richardMeltzer
Quoi qu'il en soit, je ne vais jamais obtenir une anthologie d'un réel éditeur, bien que je puisse toujours marquer une autre anthologie musicale. Mais si cela va être un document d'une multiplicité de mes écrits, cela fera l'affaire. Cela ressemble à une fête d'anniversaire ou quelque chose comme ça.
@richardMeltzer
En gros, quand je l'entends maintenant, je ne me reconnais pas directement dans beaucoup de cas. Je m'attendais à plus de menace. Et le fait que cela ne semblait pas menaçant au début m'a troublé. Puis j'ai pensé, qu'est-ce que c'est, tu sais? J'ai 66 ans, et je pourrais simplement ouvrir une bière et l'écouter, et ça ne me dérange pas que ça ne tue pas. Il était une fois, probablement.
@richardMeltzer
Beaucoup de choses qui apparaissent sous ma signature ont été écrites d'un seul jet. Mais lorsque j'ai commencé à écrire de la poésie, j'ai commencé à être pointilleux sur chaque syllabe. Je ne permettais pas que le travail soit vu s'il n'était pas parfait. Pas du tout maladroit, pas de syllabes maladroites. En fait, pour la page imprimée, il fallait qu'il y ait une impression de vraisemblance rythmique et syntaxique, ou quelque chose comme ça.
@richardMeltzer
Mais le côté de la poésie est ce qui me plaît le plus aujourd'hui. Métaphore, liens simplement absurdes et élaboration des catégories, étiquetage, taxonomie, et je dirais qu'il me reste des outils. Il y a des jours, je ne peux pas faire une phrase à partir de rien, et tout ce que je fais me semble maladroit. Mais j'ai toujours une compréhension générale du cliché, de la phrase générique. Et si je n'avais pas ça, je serais une goutte de mastic sur le sol.
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Quoi qu'il en soit, je ne vais jamais obtenir une anthologie d'un réel éditeur, bien que je puisse toujours marquer une autre anthologie musicale. Mais si cela va être un document d'une multiplicité de mes écrits, cela fera l'affaire. Cela ressemble à une fête d'anniversaire ou quelque chose comme ça.
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Je veux dire, qu'est-ce qui est thématique? Comment le mettre? Pour en revenir, comme, 1980, quand j'ai commencé à écrire de la poésie. La langue elle-même est devenue un problème. Je considérerais même la police comme un aspect du texte, vous savez, à quoi ressemble quelque chose sur une page. Une grande partie de ceci est le produit d'une existence très solitaire, c'est comme, la langue, je veux dire, vous savez. Beaucoup de temps passé seul dans la création de tout ça.
@richardMeltzer
Les cinq premières années en tant qu'écrivain, je ne savais pas du tout écrire. Je ne pouvais pas écrire mon chemin dans un sac blanc. Et pourtant, j'ai fait des choses remarquables. Et plus tard, il y a eu des périodes où j'ai eu cette mission de trouver une voix articulée avec des réécritures et tout. Il y avait des périodes où j'étais aussi dense que Faulkner.