À l'automne 1968, Robert Adams, professeur d'anglais à l'université, s'est trouvé inexplicablement amené à photographier une zone indescriptible au sud de Colorado Springs dont l'élément le plus remarquable était un relais routier à la sortie de l'autoroute. Les images que le photographe a prises de ce site par ailleurs sans grâce ont confirmé pour lui une nouvelle façon vitale de se rapporter au monde. Il exploitera cette révélation dans The New West, le livre qui établira à la fois ses photographies et son sujet - le paysage contemporain de la frontière américaine - comme des sujets d'importance plus large. Cette première série essentielle a été rééditée pour inclure des images inédites de cette période.

Robert Adams : eden

La vue depuis Lookout Mountain, à l'ouest de Denver, est celle des formes naturelles et de notre empreinte sur elles, de l'intemporel et du passager. Des générations s'y sont rendues pour trouver une perspective sur la ville et sur les plaines au-delà. Robert Adams a photographié depuis le belvédère en 1970, puis à nouveau en 1984. Pour ce volume, il a rassemblé une sélection de vues qui documentent un lieu complexe qui inspire à la fois l'espoir et le désespoir.

Robert Adams : on lookout mountain

A parallel world

These stories from the life and medical career of a Navy SEAL - turned doctor - are surprising, riveting, and inspiring. A family physician delivering babies, managing disease and trauma, and dealing with death - discovers new dimensions when he goes to war in Iraq.  Treating the military, civilians and their families, "Dr. Bob" experienced tremendous joy, unbearable heartache, and deep gratitude.  He shares those emotional experiences in this deeply personal memoir. If you want to be a doctor. If you wonder how physicians learn their craft. If you crave a glimpse into the rapidly changing world of medicine, then these adventures are for you. Some make you laugh; others make you cry. All provide insight into the challenges faced by a caring family practice doctor devoted to sharing these struggles and elations as his patients fight to live well in a dangerous world. These are medical adventures you will never forget. Colonel Robert Adams, MD is a US Naval Academy graduate who served thirty-six years in the Navy and Army as a Navy SEAL, the DELTA Force Command Surgeon, and an Army family medicine physician (with obstetrics).  Wake Forest Medical School, then an Army residency at Madigan Army Medical center in Tacoma, Washington was followed by service with the 82nd Airborne Division at Fort Bragg, NC.  After the military he built a thriving private practice in North Carolina where he won numerous awards for clinical excellence and practiced for 13 more years, retiring in 2020. Other books by Dr. Adams - Six Days of Impossible Navy SEAL Hell Week - a Doctor Looks Back

Swords and Saints a Doctor's Journey

Hell Week has never been described so effectively. Six days in hell define every SEAL that moves past the point of no return in their minds. Robert Adams, MD, brings the experiences of his classmates into view with real, difficult to believe experiences, described in frightening detail by the men that lived through the frigid cold, filthy muddy days, and body-destroying events of a winter Hell Week. Eleven of 70 men went on to graduate and serve over 40 years in almost every SEAL or UDT team with honor. Listen to their real-time story, and learn why these 11 men succeeded when so many others failed. Colonel Robert Adams, MD, MBA, served 14 years in the navy (12 as a SEAL) and 18 years in the army. He changed services to attend medical school and applies his analytical skill to look back at the men that shivered and struggled through Hell Week together. He brings decades of insight learned caring for others to an insightful analysis of why the men of his BUD/S class 81 achieved the improbable.

Six Days of Impossible Navy SEAL Hell Week - a Doctor Looks Back

Robert Adams - Our lives and our children: photographs taken near the rocky flats nuclear weapons plan

Robert Adams - Hope is a risk that must be run

Collection la plus accessible du travail de Robert Adams à ce jour, cette version espagnole du livre de l'université de Yale présente une séquence narrative éditée avec soin de plus d'une centaine de photographies à travers 45 ans d'une remarquable carrière, avec une postface de Joshua Chuang et Jock Reynolds. Robert Adams a été décrit comme l'un des chroniqueurs les plus singuliers et originaux de l'Ouest américain. Adams commence la photographie dans les années 1960 dans le but de capturer les changements topographiques rapides dont il est témoin à Denver où il vivait alors. Depuis, il a développé, au fil de ses quarante années de carrière, un style connu pour son austérité, sa particularité et sa vision nuancée. Cette sélection retrace la longue relation entre les images de Robert Adams et la vie aux Etats-Unis, une relation basée sur la beauté de l'humanité et sa communication avec la nature.

En que podemos creer y donde ?

Lâchez les pensées, lâchez l'esprit, lâchez tout.

Aucun endroit n'est ennuyeux, si vous avez passé une bonne nuit de sommeil et que vous avez une poche pleine de film non exposé.

La beauté, que j'avoue rechercher, est un mot extrêmement suspect parmi tant d'autres dans le monde de l'art. Mais je ne pense pas que tu puisses t'en passer. C'est la confirmation du sens de la vie.

Le secret de la tranquillité d'esprit est de ne s'identifier à rien d'autre que votre vrai moi.

Je pensais que je prenais des photos de choses que je détestais. Mais il y avait quelque chose dans ces photos. Ils étaient de façon inattendue, déconcertante.

La seule façon de vous réveiller est par le silence, et non par l'analyse des faits. Non pas en triant bon et mauvais, mais par un simple silence, lâchez prise. Lâchez toutes les pensées, toutes les blessures, tous les dogmes et les concepts. Lâcher ces choses quotidiennement.

L'art ne prouve en fait rien. Ce qu'il fait, c'est enregistrer l'une de ces brèves fois, comme nous l'avons chacun et que chacun oublie, lorsque nous sommes autorisés à comprendre que la création est entière.

Comment pouvons-nous espérer, après tout, voir un arbre ou une roche ou un ciel nord clair si nous n'adoptons pas un peu de leur mode de vie, un peu de leur temps? Si le temps nécessaire pour traverser l'espace est un moyen par lequel nous le définissons, alors arriver à une vue de l'espace «en un rien de temps», c'est avoir nié sa réalité

...supposent que l'art commence dans le malheur. Il est vrai que le but de l'art est de transmettre une vision de cohérence et de paix, mais l'effort pour développer cette vision commence dans l'expérience plus commune de la confusion et de la douleur.

Le photographe espère, en bref, découvrir une tension si exacte que c'est la paix.

Vous n'avez pas à réserver un temps pour la méditation. Vous pouvez le faire pendant que vous conduisez votre voiture, pendant que vous êtes au travail, pendant que vous jouez de la musique. Soyez simplement conscient de vous-même, de qui vous êtes vraiment, et réalisez que le reste est une projection de votre esprit.

Vous ne pouvez pas parler de la vie sans parler de politique. Vous devez avoir les deux. Si vous êtes juste une personne politique, vous allez vous épuiser. Si vous, en tant qu'artiste, êtes juste concentré vers l'intérieur, vous allez éventuellement être sans importance.

Nous comptons, je pense, sur la photographie de paysage pour nous rendre intelligibles ce que nous savons déjà.

Il n'est pas étonnant que nous. . . Trouvez les vieilles photos de l'ouverture - des images généralement sans aucun flou, et faites par ce qui semble un rituel de patience - merveilleux. Ils nous rétablissent la connaissance d'un endroit que nous recherchons mais perdons dans la précipitation de notre recherche. Bien que pour profiter même des images, encore moins l'espace lui-même, nous exige que nous soyons encore plus longtemps que notre coutume.

Vous avez toujours été libre. Vous avez toujours été brillant et brillant. Tout le reste n'est que des bêtises.

L'expérience de la vie que vous et moi avons est à peu près un puzzle dans la boîte: expériences quotidiennes de pièces déconnectées qui ne semblent pas justifier les efforts que nous faisons chaque jour.

J'ai été si seul à essayer de devenir photographe. Si je le savais auparavant, je ne sais pas si j'avais le courage de recommencer. Vous arrivez à un point où vous sentez que vous avez quelque chose qui vous appartient. Et si vous ne trouvez pas de public pour cela, vous allez éclater.

Henry James a proposé de poser à l'art trois questions modestes et appropriées: qu'est-ce que l'artiste essaie de faire? Est ce qu'il le fait? Cela valait-il la peine?

En vous est la lumière de mille soleils. - En vous est une beauté inimaginable.

Timothy O'Sullivan était, me semble-t-il, le plus grand des photographes parce qu'il comprenait d'abord la nature comme architecture.

Vous êtes ce que vous cherchez. La réponse est toujours en vous seule. Il n'y a rien dans le monde extérieur. Car le monde extérieur est une émanation de votre propre esprit, votre propre pensée et votre propre imagination. Vous avez créé ce monde.

De tous les lieux sacrés de la côte, aucun n'est plus réconfortant que là où les rivières rejoignent la mer. Par la disparition de la rivière, nous nous souvenons du décès de la vie, tandis que par la beauté de l'océan, nous l'acceptons, dans un espoir que nous ne pouvons pas expliquer.

Toutes ces années, vous avez cherché, cherché et essayé de changer les choses, vous avez essayé d'ajouter quelque chose à vous-même, vous avez essayé d'acquérir des choses alors que vous avez été la source de tout au départ. Tout ce que vous cherchiez a été en vous-même, vous l'avez été. Vous commencez alors à tout abandonner à vous-même. Vous abandonnez toutes vos pensées, tous vos sentiments, vous abandonnez tous vos désirs, tous vos désirs au Soi. Vous tirez tout cela vers l'intérieur.

Ne cherchez pas de panneaux. Ne cherchez pas d'expériences. Ne soyez pas aussi compliqué.

Y a-t-il des terrains de temps en temps pour un sourire non irronique?

Parmi les vérités les plus convaincantes de certaines des premières photographies, il y a leur implication du silence.

L'art dépend de l'affection dans la vie de son créateur et un artiste doit trouver des moyens, comme tout le monde, pour le nourrir. Un photographe sur ses genoux imaginant un chien a trouvé suffisamment de plaisir pour rendre beaucoup de choses possibles.

Je continue de l'appeler le I-Thought. C'est une pensée. Il n'y a pas de moi. Cela vous donne un indice.

Il y a toujours un aspect subjectif de l'art du paysage, quelque chose dans l'image qui nous en dit autant sur qui est derrière la caméra que sur ce qui se trouve devant lui.

Ses oeuvres

Ses derniers livres