Roger Ebert
Roger Ebert, né le 18 juin 1942 à Urbana dans l’Illinois et mort le 4 avril 2013 à Chicago (Illinois), est un journaliste américain. Critique de cinéma particulièrement reconnu en Amérique, sa rubrique du Chicago Sun-Times est reprise dans 200 journaux. Dans ses livres, sur son site web et à la télévision, il a largement contribué à promouvoir un cinéma de qualité auprès du public américain.
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@rogerEbert
Les gens lisent les articles qui ne sont pas dans l'espoir d'apprendre quelque chose de nouveau, mais dans l'attente de se faire dire ce qu'ils savent déjà. C'est une forme de mort vivante. Son apothéose est le sondage quotidien dans USA Today, qui nous informe quel pourcentage d'un petit nombre de personnes sélectionnées non scientifiquement appelées un nombre de péage pour voter sur des questions qui ne peuvent pas être répondues par un oui ou un non.
@rogerEbert
Socrate nous a dit: "La vie non examinée ne vaut pas la peine d'être vécue." Je pense qu'il appelle à la curiosité, plus que la connaissance. Dans chaque société humaine à tout moment et à tous les niveaux, les curieux sont à la pointe.
@rogerEbert
Le politiquement correct est le fascisme des années 90, c'est ce sentiment rigide que vous devez garder vos idées et votre façon de regarder les choses dans des frontières très étroites, sinon vous offenserez quelqu'un. Certes, l'un des objectifs du journalisme est de contester exactement cette façon de penser, et certainement l'un des objectifs de la critique est de briser les frontières, c'est aussi l'un des objectifs de l'art.
@rogerEbert
Il n'y a aucune garantie. Mais il n'y a rien à craindre aussi. Nous venons de l'oubli à notre naissance. Nous retournons à l'oubli lorsque nous mourons. Ce qui est étonnant, c'est cette période entre les deux.
@rogerEbert
Certains films s'écoulent des rails. Celui-ci est comme le train du train dans le fugitif. Je l'ai regardé dans la tristesse du montage, réalisant que je suis témoin de quelque chose d'historique, un film qui pendant des décennies à venir sera la ligne de punch de blagues sur les mauvais films.
@rogerEbert
L'idée qu'un livre peut conseiller à une femme comment capturer un homme est tactement naïve. Les livres conseillant aux hommes comment capturer une femme sont beaucoup moins courants, peut-être parce que peu d'hommes sont prêts à admettre une telle difficulté. Pour les deux sexes, je recommande un bon roman, offrant des scénarios que vous pourriez apprendre, ne serait-ce que parce qu'ils reflètent beaucoup de doute.
@rogerEbert
Les gens lisent les articles qui ne sont pas dans l'espoir d'apprendre quelque chose de nouveau, mais dans l'attente de se faire dire ce qu'ils savent déjà. C'est une forme de mort vivante. Son apothéose est le sondage quotidien dans USA Today, qui nous informe quel pourcentage d'un petit nombre de personnes sélectionnées non scientifiquement appelées un nombre de péage pour voter sur des questions qui ne peuvent pas être répondues par un oui ou un non.
@rogerEbert
Pearl Harbor est un film de deux heures pressé en trois heures, sur la façon dont le 7 décembre 1941, les Japonais ont organisé une attaque surprise contre un triangle amoureux américain. Sa pièce maîtresse est de 40 minutes d'effets spéciaux redondants, entourés d'une histoire d'amour d'une superbe banalité. Le film a été réalisé sans grâce, vision ou originalité, et bien que vous puissiez sortir des lignes de dialogue, ce ne sera pas parce que vous les admirez.
@rogerEbert
L'appeler un anticlimax serait une insulte non seulement pour l'apogée mais pour les préfixes. C'est un secret minable, à peu près à une étape de l'échelle de l'originalité narrative de cela était tout un rêve. C'est tellement sans esprit, en fait, que lorsque nous découvrons le secret, nous voulons rembobiner le film afin que nous ne connaissons plus le secret. Et puis continuez à rembobiner et à rembobiner jusqu'à ce que nous soyons de retour au début, et que nous pouvons nous lever de nos sièges et sortir du théâtre et descendre l'escalator et regarder l'argent ressortir de la caisse enregistreuse dans nos poches .
@rogerEbert
Nous devons essayer de contribuer à la joie au monde. C'est vrai quelles que soient nos problèmes, notre santé, notre situation. Nous devons essayer.
@rogerEbert
Il y a peu de sites plus solitaires qu'un bon comédien étant drôle dans un film qui ne sait pas ce qu'est drôle.
@rogerEbert
Rendre les autres moins heureux est un crime. Se rendre malheureux est l'endroit où tout le crime commence. Nous devons essayer de contribuer à la joie au monde. C'est vrai quelles que soient nos problèmes, notre santé, notre situation. Nous devons essayer. Je ne le savais pas toujours et je suis heureux d'avoir vécu assez longtemps pour le découvrir.
@rogerEbert
La chirurgie à cœur ouvert fait désormais partie d'une expérience de vie typique pour de nombreuses personnes. Les gens parlent avec désinvolture de «faire un stent», comme s'ils faisaient tourner leurs pneus.
@rogerEbert
L'idée qu'un livre peut conseiller à une femme comment capturer un homme est tactement naïve. Les livres conseillant aux hommes comment capturer une femme sont beaucoup moins courants, peut-être parce que peu d'hommes sont prêts à admettre une telle difficulté. Pour les deux sexes, je recommande un bon roman, offrant des scénarios que vous pourriez apprendre, ne serait-ce que parce qu'ils reflètent beaucoup de doute.
@rogerEbert
Il y a quelque chose de déprimant dans un jeune couple impuissant dans l'amour. Leur état est tellement parfait, il doit être condamné. Ils projettent de telles qualités sur leur amant que seule la déception peut suivre.
@rogerEbert
L'idée qu'un livre peut conseiller à une femme comment capturer un homme est tactement naïve. Les livres conseillant aux hommes comment capturer une femme sont beaucoup moins courants, peut-être parce que peu d'hommes sont prêts à admettre une telle difficulté. Pour les deux sexes, je recommande un bon roman, offrant des scénarios que vous pourriez apprendre, ne serait-ce que parce qu'ils reflètent beaucoup de doute.
@rogerEbert
Pearl Harbor est un film de deux heures pressé en trois heures, sur la façon dont le 7 décembre 1941, les Japonais ont organisé une attaque surprise contre un triangle amoureux américain. Sa pièce maîtresse est de 40 minutes d'effets spéciaux redondants, entourés d'une histoire d'amour d'une superbe banalité. Le film a été réalisé sans grâce, vision ou originalité, et bien que vous puissiez sortir des lignes de dialogue, ce ne sera pas parce que vous les admirez.
@rogerEbert
Il y a souvent des listes des grandes stars de cinéma masculines vivantes. À quelle fréquence voyez-vous le nom de Nicolas Cage? Il devrait toujours être là-haut. Il est audacieux et intrépide dans son choix de rôles, et n'a pas peur de ramper sur un membre, l'a vu et rester suspendu dans l'air.
@rogerEbert
Il y a deux choses que vous ne pouvez pas discuter dans le film: la comédie et l'érotisme. Si quelque chose ne vous fait pas rire, personne ne peut vous dire pourquoi c'est drôle, et il est difficile de raisonner quelqu'un d'une érection.
@rogerEbert
Seules des personnes extrêmement talentueuses auraient pu faire la mort pour sommer. Ceux qui ont moins de cadeaux auraient manqué le culot de faire un film si mauvais, si mal calculé, donc sans lien avec un public possible.
@rogerEbert
Il y a quelque chose de déprimant dans un jeune couple impuissant dans l'amour. Leur état est tellement parfait, il doit être condamné. Ils projettent de telles qualités sur leur amant que seule la déception peut suivre.
@rogerEbert
Vincent Gallo a mis une malédiction sur mon côlon et un hexadécimal sur ma prostate. Il m'a appelé un «gros cochon» dans le New York Post et a dit au New York Observer que j'avais «le physique d'un trader d'esclaves». Il est en colère contre moi parce que j'ai dit que son `` The Brown Bunny '' était le pire film de l'histoire du Festival de Cannes ... il est vrai que je suis gros, mais un jour je serai mince, et il sera toujours Le directeur de «The Brown Bunny».
@rogerEbert
La chirurgie à cœur ouvert fait désormais partie d'une expérience de vie typique pour de nombreuses personnes. Les gens parlent avec désinvolture de «faire un stent», comme s'ils faisaient tourner leurs pneus.
@rogerEbert
Nous sommes tous nés avec un certain package. Nous sommes qui nous sommes: où nous sommes nés, qui nous sommes nés, comment nous avons été élevés. Nous sommes en quelque sorte coincés à l'intérieur de cette personne, et le but de la civilisation et de la croissance est de pouvoir tendre la main et sympathiser un peu avec d'autres personnes. Et pour moi, les films sont comme une machine qui génère de l'empathie. Cela vous permet de comprendre un peu plus sur différents espoirs, aspirations, rêves et peurs. Cela nous aide à nous identifier aux personnes qui partagent ce voyage avec nous.
@rogerEbert
Les gens lisent les articles qui ne sont pas dans l'espoir d'apprendre quelque chose de nouveau, mais dans l'attente de se faire dire ce qu'ils savent déjà. C'est une forme de mort vivante. Son apothéose est le sondage quotidien dans USA Today, qui nous informe quel pourcentage d'un petit nombre de personnes sélectionnées non scientifiquement appelées un nombre de péage pour voter sur des questions qui ne peuvent pas être répondues par un oui ou un non.
@rogerEbert
Vincent Gallo a mis une malédiction sur mon côlon et un hexadécimal sur ma prostate. Il m'a appelé un «gros cochon» dans le New York Post et a dit au New York Observer que j'avais «le physique d'un trader d'esclaves». Il est en colère contre moi parce que j'ai dit que son `` The Brown Bunny '' était le pire film de l'histoire du Festival de Cannes ... il est vrai que je suis gros, mais un jour je serai mince, et il sera toujours Le directeur de «The Brown Bunny».
@rogerEbert
Le temps entre mes applaudissements est ma. Si vous avez juste une action non-stop sans espace de respiration, c'est juste l'agitation, mais si vous prenez un moment, alors le bâtiment de tension dans le film peut devenir une dimension plus large. Si vous avez juste une tension constante à 80 degrés tout le temps, vous vous engagez.
@rogerEbert
La chirurgie à cœur ouvert fait désormais partie d'une expérience de vie typique pour de nombreuses personnes. Les gens parlent avec désinvolture de «faire un stent», comme s'ils faisaient tourner leurs pneus.
@rogerEbert
Il y a souvent des listes des grandes stars de cinéma masculines vivantes. À quelle fréquence voyez-vous le nom de Nicolas Cage? Il devrait toujours être là-haut. Il est audacieux et intrépide dans son choix de rôles, et n'a pas peur de ramper sur un membre, l'a vu et rester suspendu dans l'air.
@rogerEbert
Le film offense joyeusement toutes les notions civilisées de goût, de décorum, de manières et d'hygiène ... le film est vulgaire? La vulgarité, c'est quand nous ne rions pas. Quand nous rions, c'est simplement la nature humaine.