« On ne s'entraîne pas pour battre les autres mais pour battre ses performances passées. » 

Après vingt ans de courses et d'entraînements intensifs, Scott Jurek a eu besoin de faire le point. Pour retrouver « sa » voie, il a choisi de relever un défi sportif et intime : traverser l'Appalachian Trail en un temps record. Nord est le récit de cet exploit, parcourant quatorze États de la Géorgie au Maine, du sud vers le nord, tenu sur plus de 3 500 kilomètres en quarante-six jours. 

Pour établir cette performance, Scott Jurek savait qu'il devrait affronter un terrain pénible et escarpé, une météo capricieuse et d'inévitables blessures. Il savait qu'il lui faudrait parcourir quotidiennement 80 kilomètres et pousser ses limites à l'extrême. Il n'imaginait pas, en revanche, jusqu'à quelles frontières physiques et mentales ce trail allait le mener et quelles satisfactions il lui réserverait. 

Nord est le récit passionnant de cette course solitaire au-delà de soi-même.

Nord - 3500 kilomètres, 46 jours sur l'Appalachian Trail

«On ne s'entraîne pas pour battre les autres mais pour battre ses performances passées.» Après vingt ans de courses et d'entraînements intensifs, Scott Jurek a eu besoin de faire le point. Pour retrouver «sa» voie, il a choisi de relever un défi sportif et intime : traverser l'Appalachian Trail en un temps record. Nord est le récit de cet exploit, parcourant quatorze États de la Géorgie au Maine, du sud vers le nord, tenu sur plus de 3 500 kilomètres en quarante-six jours. Pour établir cette performance, Scott Jurek savait qu'il devrait affronter un terrain pénible et escarpé, une météo capricieuse et d'inévitables blessures. Il savait qu'il lui faudrait parcourir quotidiennement 80 kilomètres et pousser ses limites à l'extrême. Il n'imaginait pas, en revanche, jusqu'à quelles frontières physiques et mentales ce trail allait le mener et quelles satisfactions il lui réserverait. Nord est le récit passionnant de cette course solitaire au-delà de soi-même.

Nord ; 3500 kilomètres, 46 jours sur l'Appalachian Trail

Eat & Run - My Unlikely Journey To Ultramarathon Greatness

Mais plus je courais plus longtemps, plus je réalisais que ce que je poursuivais souvent était un état d'esprit - un endroit où les inquiétudes qui semblaient monumentales avaient fondu, où la beauté et l'intemporalité de l'univers, du moment présent, entraient en netteté.

Pour moi, il s'agit d'optimiser la santé. Il s'agit de style de vie et de longévité. Ensuite, vous pensez à ce que les régimes végétariens peuvent faire pour la population de masse, en termes de consommation de ressources plus faible. Lorsque vous regardez les chiffres, c'est assez stupéfiant.

Vous pouvez porter vos charges à la légère ou avec un grand effort. Vous pourriez vous inquiéter de demain ou non. Vous pouvez imaginer des sorts horribles ou des Tomorrows remplis de guirlande. Rien de tout cela n'avait d'importance tant que vous avez déménagé, tant que vous avez fait quelque chose. Demander pourquoi c'était bien, mais ce n'était pas de l'action. Rien n'a apporté les récompenses de déménagement, de courir. Parfois, vous faites des choses.

Nous pouvons vivre comme nous étions censés vivre - simplement, joyeusement, de et sur la terre. Nous pouvons vivre avec tous nos efforts et avec un pur bonheur.

Les évaluations rationnelles ont trop souvent conduit à des remises rationnelles.

Entraînez-vous où votre fitness est maintenant, pas où vous voulez être.

Vous pouvez blesser plus que vous ne l'avez jamais cru possible, puis continuer jusqu'à ce que vous découvriez que la blessure n'est pas une grosse affaire.

Surtout, la distance ultra vous laisse seul avec vos pensées dans une mesure atroce. Quelle que soit la chanson que vous avez dans votre tête, il vaut mieux être bon. Quelle que soit l'histoire que vous vous racontez, je ferais mieux d'être une histoire sur la suite. Il n'y a pas de place pour la négativité. La raison pour laquelle la plupart des gens démittent n'a rien à voir avec leur corps.

Seuls les plus saints et délirants d'entre nous accueillent toute la douleur comme un défi, perçoit toute la perte comme une bénédiction sévère.

Les humains ne sont pas construits pour s'asseoir toute la journée. Nous ne sommes pas non plus construits pour les types de petits mouvements répétitifs que la demande de travail spécialisée d'aujourd'hui. Nos corps ont soif de grands mouvements variés qui proviennent au cœur de notre corps.

Chacun de nous possède la force d'essayer quelque chose qu'il n'est pas sûr qu'il puisse accomplir.

Ce que nous mangeons est une question de vie et de mort.

Aussi puissants que soient nos jambes, aussi magnifiques que nos poumons, nos bras et nos muscles, rien n'a plus d'importance que l'esprit.

Le point était de vivre avec la grâce, la décence et l'attention au monde, et se libérer des constructions artificielles de votre propre vie.

Nous nous efforçons vers un objectif, et si nous l'atteignons ou non est important, mais ce n'est pas ce qui est le plus important. Ce qui compte, c'est la façon dont nous nous dirigeons vers cet objectif.

Pour moi, me mettre au défi avec ce type d'effort [Ultramarathons] apporte le meilleur en moi parce que même dans les moments les plus sombres et les plus profonds où j'ai l'impression de ne pas continuer, quand j'ai l'impression qu'il n'y a aucune chance que je puisse battre le record Ou beaucoup moins terminer le sentier, je trouve cette force en moi.

Les blessures sont nos meilleurs professeurs.

L'arène de la nature a une façon de nous humilier et de nous dynamiser.

Formez à votre niveau de fitness actuel, ou légèrement au-dessus - pas où vous voulez être.

La récompense de la course - de tout - est en nous ... nous nous concentrons sur quelque chose d'extérieur pour nous motiver, mais nous devons nous rappeler que c'est le processus d'atteindre ce prix - pas le prix lui-même - qui peut nous apporter la paix et la joie.

La peur est ce qui vous fait prendre vie, l'attrait de l'inconnu - puis-je faire cela? - c'est de là que vient la croissance, la douleur. Je ne me souviens pas de la course sans effort; Je me souviens des moments difficiles; L'adversité respire la transformation.

Nous perdons tous parfois. Nous n'obtenons pas ce que nous voulons. Les amis et les proches partent. Nous prenons une décision que nous regrettons. Nous faisons de notre mieux et nous sommes courts. Ce n'est pas la perte qui nous définit. C'est comme ça que nous perdons. C'est ce que nous faisons par la suite.

Parfois, la route vers le bien-être n'est pas une autoroute bien marquée.

Chacun de nous possède la force d'essayer quelque chose qu'il n'est pas sûr qu'il puisse accomplir. Il peut courir un mile, ou une course de 10 km, ou 100 miles. Cela peut changer une carrière, perdre 5 livres ou dire à quelqu'un que vous l'aimez (ou lui).

Nous avançons, mais nous devons rester dans le présent.

C'est un calcul simple et simple: courez jusqu'à ce que vous ne puissiez plus courir. Ensuite, exécutez un peu plus. Trouvez une nouvelle source d'énergie et la volonté. Ensuite, exécutez encore plus vite.

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