Steve Chalke
@steveChalke
Comme dans l'art, la poésie, la musique, etc., la meilleure théologie est élaborée dans la douleur
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Comme dans l'art, la poésie, la musique, etc., la meilleure théologie est élaborée dans la douleur
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Je crois que lorsque nous traitons les homosexuels comme des parias et les poussons hors de nos communautés et de nos églises; Quand nous les blâmons pour qui ils sont; Lorsque nous leur refusons notre bénédiction sur leur engagement envers les relations fidèles à vie et fidèles, nous leur faisons douter qu'ils soient des enfants de Dieu, faits à son image.
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Dans le message perdu de Jésus, je prétends que la substitution pénale équivaut à «la maltraitance des enfants - un père vengeur punissant son fils pour une infraction qu'il n'a même pas commise». Bien que la pure brutalité de cette imagerie (pas originale pour moi bien sûr) puisse choquer certains, en vérité, ce n'est qu'un «démasquage» frappant de la pensée violente et préchristienne derrière une telle théologie.
@steveChalke
À l'automne 2012, j'ai mené un service de dédicace et de bénédiction suite au partenariat civil de deux merveilleux chrétiens gays. Pourquoi? Ne pas défier la compréhension traditionnelle du mariage - loin de là - mais étendre à ces gens ce que je ferais aux autres: l'amour et le soutien de notre église locale.
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Dans le message perdu de Jésus, je prétends que la substitution pénale équivaut à «la maltraitance des enfants - un père vengeur punissant son fils pour une infraction qu'il n'a même pas commise». Bien que la pure brutalité de cette imagerie (pas originale pour moi bien sûr) puisse choquer certains, en vérité, ce n'est qu'un «démasquage» frappant de la pensée violente et préchristienne derrière une telle théologie.
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Dans le message perdu de Jésus, je prétends que la substitution pénale équivaut à «la maltraitance des enfants - un père vengeur punissant son fils pour une infraction qu'il n'a même pas commise». Bien que la pure brutalité de cette imagerie (pas originale pour moi bien sûr) puisse choquer certains, en vérité, ce n'est qu'un «démasquage» frappant de la pensée violente et préchristienne derrière une telle théologie.
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Dans le message perdu de Jésus, je prétends que la substitution pénale équivaut à «la maltraitance des enfants - un père vengeur punissant son fils pour une infraction qu'il n'a même pas commise». Bien que la pure brutalité de cette imagerie (pas originale pour moi bien sûr) puisse choquer certains, en vérité, ce n'est qu'un «démasquage» frappant de la pensée violente et préchristienne derrière une telle théologie.
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Si la croix est un acte de violence personnel perpétré par Dieu vers l'humanité mais porté par son fils, alors il se moque de l'enseignement de Jésus à aimer vos ennemis et à refuser de rembourser le mal avec le mal.