Susan Bordo
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@susanBordo
Regarder la biologie pour expliquer la faible prévalence des troubles de l'alimentation chez les hommes, c'est comme se tourner vers la génétique pour expliquer pourquoi les non-fumeurs ne sont pas dus au cancer du poumon aussi souvent que les fumeurs.
@susanBordo
Regarder la biologie pour expliquer la faible prévalence des troubles de l'alimentation chez les hommes, c'est comme se tourner vers la génétique pour expliquer pourquoi les non-fumeurs ne sont pas dus au cancer du poumon aussi souvent que les fumeurs.
@susanBordo
La plupart des femmes de notre culture sont donc désordonnées en ce qui concerne les questions d'estime de soi, de s'auto-intituler, de soi-même et de réconfort avec leur propre corps; Les troubles de l'alimentation, loin d'être «bizarres» et anormaux, sont totalement continus avec un élément dominant de l'expérience d'être une femme dans cette culture.