Tim Robinson avait déjà derrière lui une belle carrière d'artiste plasticien lorsqu'en 1972 il se met en quête d'un lieu tranquille, loin de l'agitation londonienne. L'Irlande, loin de tout, lui paraît alors le meilleur choix.  Surprise : ces lieux sont si fascinants qu'ils l'absorbent bientôt tout entier. Il entreprend de cartographier les îles Aran, puis le Connemara - et, très vite, il lui semble qu'aux «sinuosités» de la géographie répondent exactement les sinuosités des habitants du lieu, la musique de leur parler, de leur culture, de leur histoire. Ce livre nous parle avec une grâce et une vivacité exceptionnelles des tourbières, des mousses, des oiseaux, de la marche en montagne, des lacs, mais aussi des légendes locales. Il dresse les portraits de quelques-uns de ceux qui y ont laissé leur marque ou qui y vivent encore. Rarement on aura su rendre l'esprit d'un lieu avec ce mélange de précision, de souci du détail et d'ouverture sur l'immensité, par la grâce d'une prose aérienne et d'un don de conteur hors du commun.

Connemara, porté par le vent

Desserts glacés - 180 Délices ultra-frais

200 recettes irrésistibles d'amuse-gueules, de tapas et de bouchées pour le brunch, le pique-nique, l'heure du thé ou celle de l'apéritif. Il ne vous reste plus qu'à sabler le champagne et que la fête commence !

Amuse-gueules - 200 Recettes élégantes, étonnantes et époustouflantes

200 recettes irrésistibles de salades, qui se déclinent à l'infini pour animer vos repas. Des classiques intemporels aux salades exotiques, venues des quatre coins du monde, pour les journées d'été et de farniente, les fringales ou, tout simplement, le quotidien...

Salades - 200 Recettes fraîches, rapides et étonnantes

Je pense que chaque interaction que j'ai, il y a quelque chose que je m'éloigne, oh mon dieu, je ressemble à un con. Cela se produit constamment.

Le samedi matin, ou le soir, quand j'essaie d'aller me coucher, je vais regarder les mystères et tout ça. Je sais que c'est assez ennuyeux, mais c'est confortable. Cela s'appelle «Alfred Hitchcock présente».

Je suis fou dans «Twilight Zone». J'ai traversé chaque «zone de crépuscule». Je les regardais la nuit, et c'était ma chose relaxante à faire.

Je ne portais pas de veste en cuir, mec. Je n'ai pas grandi dans les années 50.

Cela me fascine qu'il y a cet instinct pour blâmer autre chose lorsque vous êtes gêné ou attrapé.

En grandissant, je m'asseyais dans ma chambre et regardais Détroit News. J'étais obsédé par Rich Fisher et Amyre Makupson et, bien sûr, Bill Obligs. C'était un tel personnage. J'ai vraiment aimé ces gens. Je suis vraiment un nerd pour ça.

J'ai l'impression d'avoir de l'anxiété et que j'ai hâte de faire quelque chose de nouveau.

Nous voulons récupérer Faygo des Juggalos.

Il existe de nombreuses différences entre Netflix et Comedy Central.

Je suis un joker à taper. Cette seule chose.

L'écriture est une chose, mais je suis beaucoup plus peu sûr et névrotique quand il s'agit d'agir.

Les gens ont un peu plus de patience pour un morceau enregistré que sur une pièce en direct.

Oh mon dieu, cela me fait tellement rire: j'ai vu une fois cette jeune femme tomber dans un bar à Chicago, et elle s'est levée et elle est comme: "Ces sketcher de dang!"

Quand les gens disent le mot «bromance», cela me rend fou, parce que les gars ne peuvent pas être amis, alors ils l'appellent une «bromance» comme cette voie macho.

La culture du skateboard a eu beaucoup de crânes.

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