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William Golding
@williamGolding
Comment vivrais-je moi-même dans cette société proposée? Combien de temps faudrait-il avant que je ne passe à Stark en regardant fou?
William Golding
William Golding, né le 19 septembre 1911 à St Columb Minor dans les Cornouailles et mort le 19 juin 1993 à Perranarworthal, est un écrivain britannique appartenant au courant postmoderniste.
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Comment vivrais-je moi-même dans cette société proposée? Combien de temps faudrait-il avant que je ne passe à Stark en regardant fou?
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Beethoven pour écouter; Liszt, Chopin et Beethoven pour jouer ainsi que Bach et Prokofiev et ainsi de suite. Si je continuais, cette liste en spirale. C'est aussi large que la littérature; En fait, c'est probablement plus large.
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Le latin, comme nous le savons tous, s'est finalement effondré en espagnol, italien, français, etc. On se demande s'il y aura un parallèle impérial avec l'anglais en panne, dirons-nous, nord-américain, européen, australien, etc. D'un autre côté, il y a cette immense influence intérieure de la radio et de la télévision qui nous rassemble tous. On pourrait dire que c'est un combat entre les deux: un combat entre le régionalisme et la normalisation par la communication.
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Graham Greene à 82 ans écrivait toujours, et je ne pense pas que quiconque puisse nier la force, l'expertise et la qualité unique de son écriture, si vous prenez son œuvre complète.
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Il est au moins scientifiquement respectable de postuler qu'au centre d'un trou noir, les lois de la nature ne s'appliquent plus. Étant donné que la plupart des scientifiques sont un peu religieux et que la plupart des religieux sont rarement non scientifiques, nous trouvons l'humanité dans une position comique. Son intellect scientifique croit en la possibilité de miracles dans un trou noir tandis que son intellect religieux croit en eux en dehors.
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Une foule de penseurs de troisième année, criant tous la même chose, se chauffant les mains au feu de leurs propres préjugés, ne vous remerciera pas de souligner les contradictions de leurs croyances. L'homme est un animal grégaire, qui aime se mettre d'accord comme les vaches paissent toutes de la même façon sur le flanc d'une colline.
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Ralph ... traiterait les décisions de la journée comme s'il jouait aux échecs. Le seul problème était qu'il ne serait jamais un très bon joueur d'échecs.
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Mais le pardon doit non seulement être donné mais également reçu.
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C'est peut-être - j'espère que c'est - la rédemption de deviner et peut-être de percevoir que l'univers, l'enfer que nous voyons pour toute sa beauté, son vaste, la majesté, n'est qu'une partie de tout un tout qui est assez inimaginable.
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Il est au moins scientifiquement respectable de postuler qu'au centre d'un trou noir, les lois de la nature ne s'appliquent plus. Étant donné que la plupart des scientifiques sont un peu religieux et que la plupart des religieux sont rarement non scientifiques, nous trouvons l'humanité dans une position comique. Son intellect scientifique croit en la possibilité de miracles dans un trou noir tandis que son intellect religieux croit en eux en dehors.
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Les plus grandes idées sont les plus simples.
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Il est devenu absorbé au-delà du simple bonheur alors qu'il se sentait faire du contrôle sur les êtres vivants. Il leur a parlé, les exhortant, les ordonnant. Rendu par la marée, ses empreintes de pas sont devenues des baies dans lesquelles ils ont été piégés et lui ont donné l'illusion de maîtrise.
@williamGolding
Les romans expérimentaux sont parfois terriblement intelligents et très rarement lus. Mais l'histoire qui fait appel à l'enfant assis sur votre genou est celui qui satisfait la curiosité que nous avons tous sur ce qui s'est passé alors, puis, puis. Il s'agit de la restriction finale exercée sur la technique de raconter une histoire. Une chose de base appelée histoire est intégrée à la condition humaine. C'est ce que nous sommes; C'est quelque chose que nous réagissons.
@williamGolding
Les romans expérimentaux sont parfois terriblement intelligents et très rarement lus. Mais l'histoire qui fait appel à l'enfant assis sur votre genou est celui qui satisfait la curiosité que nous avons tous sur ce qui s'est passé alors, puis, puis. Il s'agit de la restriction finale exercée sur la technique de raconter une histoire. Une chose de base appelée histoire est intégrée à la condition humaine. C'est ce que nous sommes; C'est quelque chose que nous réagissons.
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Une orotundité, que je définis comme la nobélite une pomposité dans laquelle on est traité comme représentatif de plus que soi par quelqu'un conscient de représenter plus que lui-même.
@williamGolding
Avant la Seconde Guerre mondiale, je croyais à la perfectibilité de l'homme social ; qu'une structure correcte de la société produisait de la bonne volonté ; et que, par conséquent, vous pouviez supprimer tous les maux sociaux par une réorganisation de la société. Il est possible que je crois encore quelque chose de la même chose ; mais après la guerre, je ne l'ai pas fait parce que j'en étais incapable.
@williamGolding
Une orotundité, que je définis comme la nobélite une pomposité dans laquelle on est traité comme représentatif de plus que soi par quelqu'un conscient de représenter plus que lui-même.
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Je pense que les femmes sont stupides de prétendre qu'elles sont égales aux hommes; Ils sont bien supérieurs et l'ont toujours été.
@williamGolding
Avant la Seconde Guerre mondiale, je croyais à la perfectibilité de l'homme social ; qu'une structure correcte de la société produirait de la bonne volonté ; et que par conséquent vous pouviez supprimer tous les maux sociaux par une réorganisation de la société. .... mais après la guerre je ne l'ai pas fait parce que j'en étais incapable. J'avais découvert ce qu'un homme pouvait faire à un autre... Je dois dire que quiconque a traversé ces années sans comprendre que l'homme produit le mal comme une abeille produit du miel, devait être aveugle ou mal dans sa tête...
@williamGolding
Je pense qu'il pourrait même arriver un moment où je reliais Virgile à nouveau. Les métamorphoses d'Ovide, peut-être, non pas parce que la musique va en rond et ne sort jamais, mais parce que c'est une image extraordinaire du changement incessant qui ne prend jamais fin.
@williamGolding
Je joue le piano passionnément et inexactement. En effet, j'ai travaillé l'autre jour celui de mes soixante-quinze ans; J'ai passé au moins un an assis sur un tabouret de piano.
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Un roman nous permet de regarder avant et après, d'agir au rythme que nous choisissons, de lire encore et encore, de sauter et de revenir en arrière. L'histoire d'un livre est humble et utile, disponible, amicale, n'est pas allumée et éteinte mais reprise et posée, dure toute une vie.
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Il est au moins scientifiquement respectable de postuler qu'au centre d'un trou noir, les lois de la nature ne s'appliquent plus. Étant donné que la plupart des scientifiques sont un peu religieux et que la plupart des religieux sont rarement non scientifiques, nous trouvons l'humanité dans une position comique. Son intellect scientifique croit en la possibilité de miracles dans un trou noir tandis que son intellect religieux croit en eux en dehors.
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Ce n'est qu'à l'âge de 37 ans que j'ai saisi la grande vérité que vous devez écrire vos propres livres et personne d'autre, puis tout a suivi à partir de là.
@williamGolding
Considérez un homme à vélo. Qui qu'il soit, nous pouvons dire trois choses à son sujet. Nous savons qu'il est monté sur le vélo et a commencé à bouger. Nous savons qu'à un moment donné, il s'arrêtera et descendra. Le plus important de tous, nous savons que si, à tout moment entre le début et la fin de son voyage, il cesse de bouger et ne retire pas du vélo, il tombera. C'est une métaphore du voyage à travers la vie de tout être vivant, et je pense à toute société de vies.
@williamGolding
Je vais vous dire ce qu'est l'homme. C'est un monstre, un fœtus éjecté privé de son développement naturel, jeté dans le monde avec une couverture nue de parchemin, avec trop peu de place pour ses dents et un crâne gonflé doux comme une bulle. Mais la nature suscite un pudding là-bas.
@williamGolding
Marx, Darwin et Freud sont les trois alésages les plus écrasants du monde occidental. La popularisation simpliste de leurs idées a plongé notre monde dans une camisole de force mentale à partir duquel nous ne pouvons échapper que par la violence la plus anarchique.
@williamGolding
Avant la Seconde Guerre mondiale, je croyais à la perfectibilité de l'homme social ; qu'une structure correcte de la société produirait de la bonne volonté ; et que par conséquent vous pouviez supprimer tous les maux sociaux par une réorganisation de la société. .... mais après la guerre je ne l'ai pas fait parce que j'en étais incapable. J'avais découvert ce qu'un homme pouvait faire à un autre... Je dois dire que quiconque a traversé ces années sans comprendre que l'homme produit le mal comme une abeille produit du miel, devait être aveugle ou mal dans sa tête...
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Je n'aurais pas pensé que les techniques de narration, c'est ce que le roman est après tout, peut varier beaucoup parce qu'il y a deux choses impliquées. Il y a une histoire et il y a un auditeur, dont vous devez garder l'attention. Maintenant, la seule façon dont vous pouvez garder l'attention d'un lecteur à une histoire est de vouloir savoir ce qui va se passer ensuite. Cela apporte une restriction assez étroite sur la méthode que vous devez utiliser.
@williamGolding
Je joue le piano passionnément et inexactement. En effet, j'ai travaillé l'autre jour celui de mes soixante-quinze ans; J'ai passé au moins un an assis sur un tabouret de piano.