William Wordsworth
@williamWordsworth
Quand de notre meilleur moi, nous avons trop longtemps été séparé du monde pressé et tombé. Malade de ses affaires, de ses plaisirs fatigués, à quel point la solitude est gracieuse, à quel point la solitude.
William Wordsworth
William Wordsworth, né le 7 avril 1770 à Cockermouth (Cumberland), mort le 23 avril 1850 à Rydal (en), près d'Ambleside (Westmorland), est un poète britannique. Il inaugure, avec Samuel Taylor Coleridge, la période romantique de la littérature anglaise lors de la publication de Lyrical Ballads (1798). Son œuvre maîtresse est Le Prélude, poème autobiographique consacré aux expériences fondatrices de sa jeunesse.
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Quand de notre meilleur moi, nous avons trop longtemps été séparé du monde pressé et tombé. Malade de ses affaires, de ses plaisirs fatigués, à quel point la solitude est gracieuse, à quel point la solitude.
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Tant qu'il y a un soleil qui se couche, les primroses auront leur gloire; Tant qu'il y a des violettes, ils auront une place dans l'histoire: il y a une fleur qui sera à moi, c'est la petite célandine.
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Le poids de la tristesse était dans l'émerveillement perdu.
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Lorsque sa démarche viriante et chaque mouvement de son train étoilé semblent régis par une souche de musique, audible pour lui seul.
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Le soleil est une naissance glorieuse; Mais pourtant je sais, où je vais, qu'il est décédé une gloire de la terre.
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Les devoirs primaires brillent en altitude, comme des étoiles; les organismes de bienfaisance qui apaisent, guérissent et bénissent, sont dispersés aux pieds de l'homme, comme des fleurs.
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Les étoiles de Midnight lui seront chères; Et elle penchera son oreille dans de nombreux endroits secrètes où les ruisseaux dansent dans leur rond, et la beauté née du son murmurant passera dans son visage.
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Par conséquent, je suis toujours un amoureux des prairies et des bois et des montagnes; et de tout ce que nous voyons de cette terre verte.
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Le bon mort en premier, et ceux dont le cœur sont secs comme la poussière d'été, brûlent à la douille.
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Deux voix sont là: l'une est la profonde; Il apprend la mélodie tonitruante de la tempête, rugit maintenant, murmure maintenant avec la mer en mutation, maintenant des tuyaux en forme d'oiseau, se ferme maintenant doux dans le sommeil: et l'un est d'un vieux mouton à moitié vif qui baisse la monotonie et indique que deux deux Et l'un est trois, cette herbe est verte, les lacs humides et les montagnes raides et, Wordsworth, les deux sont à toi.
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Les nuages qui se rassemblent autour du soleil couchant, prennent une coloration sobre d'un œil, qui a continué à regarder la mortalité de l'homme.
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Avec peu ici à faire ou à voir des choses que dans le grand monde, Sweet Daisy! Je te parle pour toi, tu es digne, tu es sans prétention de la nature, avec ce visage chaleureux, et pourtant avec quelque chose de grâce que l'amour fait pour toi!
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Quand de notre meilleur moi, nous avons trop longtemps été séparé du monde pressé et tombé. Malade de ses affaires, de ses plaisirs fatigués, à quel point la solitude est gracieuse, à quel point la solitude.
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Son amour était comme l'air libéral, embrassant tout, pour encourager et bénir.
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La poète, la douce créature telle qu'il est, a, comme l'amant, ses temps indisciplinés; Ses ajustements quand il n'est ni malade ni bien, bien qu'aucune détresse ne soit près de lui mais ses propres pensées ingérables.
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Quand de notre meilleur moi, nous avons trop longtemps été séparé du monde pressé et tombé. Malade de ses affaires, de ses plaisirs fatigués, à quel point la solitude est gracieuse, à quel point la solitude.
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Le vent, un ouvrier sans vue, siffle à sa tâche.
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Le silence qui se trouve dans le ciel étoilé, / le sommeil qui fait partie des collines solitaires.
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Quand de notre meilleur moi, nous avons trop longtemps été séparé du monde pressé et tombé. Malade de ses affaires, de ses plaisirs fatigués, à quel point la solitude est gracieuse, à quel point la solitude.
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Mais comment peut-il s'attendre à ce que les autres se construisent pour lui, se trahissent pour lui, et à son appel l'aime, qui pour lui ne prendra aucune attention?
@williamWordsworth
Qu'est-ce qu'un poète? C'est un homme qui parle aux hommes: un homme, c'est vrai, fini par une sensibilité plus vivante, plus d'enthousiasme et de tendresse, qui a une plus grande connaissance de la nature humaine et une âme plus complète, que ce qui est censé être courant parmi l'humanité; un homme satisfait de ses propres passions et volutions, et qui se réjouit plus que d'autres hommes dans l'esprit de vie qui est en lui; Se réjouissant de contempler des volutions et des passions similaires telles que manifestées dans les activités de l'univers, et a habituellement poussé à les créer là où il ne les trouve pas.
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Qu'est-ce qu'un poète? C'est un homme qui parle aux hommes: un homme, c'est vrai, fini par une sensibilité plus vivante, plus d'enthousiasme et de tendresse, qui a une plus grande connaissance de la nature humaine et une âme plus complète, que ce qui est censé être courant parmi l'humanité; un homme satisfait de ses propres passions et volutions, et qui se réjouit plus que d'autres hommes dans l'esprit de vie qui est en lui; Se réjouissant de contempler des volutions et des passions similaires telles que manifestées dans les activités de l'univers, et a habituellement poussé à les créer là où il ne les trouve pas.
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Que nous soyons jeunes ou vieux, notre destin, le cœur et la maison de notre être, est avec l'infinitude, et seulement là; avec l'espoir, l'espoir qui ne peut jamais mourir, des efforts et des attentes, et un désir, et quelque chose de plus sur le point d'être.
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Ces vieilles crédules, à la nature chère, ne fleuriront plus sur le stock de l'histoire?
@williamWordsworth
Les nuages qui se rassemblent autour du soleil couchant prennent une coloration sobre d'un œil qui a continué à regarder la mortalité de l'homme; Une autre course a été et d'autres paumes sont gagnées. Grâce au cœur humain par lequel nous vivons, grâce à sa tendresse, à ses joies et à ses craintes, la fleur la plus méchante que les coups peuvent donner des pensées qui se trouvent souvent trop profondes pour les larmes.
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Deux voix sont là: l'une est la profonde; Il apprend la mélodie tonitruante de la tempête, rugit maintenant, murmure maintenant avec la mer en mutation, maintenant des tuyaux en forme d'oiseau, se ferme maintenant doux dans le sommeil: et l'un est d'un vieux mouton à moitié vif qui baisse la monotonie et indique que deux deux Et l'un est trois, cette herbe est verte, les lacs humides et les montagnes raides et, Wordsworth, les deux sont à toi.
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Le poids du sein, votre cadeau obstiné, qu'aucune philosophie ne peut soulever.
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Nous vivons par admiration, espoir et amour; et, même si ceux-ci sont bien et sagement fixes, dans la dignité de l'être, nous montons.
@williamWordsworth
Nous avons suffisamment en nous-mêmes pour remplir le jour présent de joie et a dépliqué les années futures d'espoir.
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Pire que le ralenti, c'est la compassion si elle se termine en larmes et en soupirs.