William Wordsworth
@williamWordsworth
J'ai la conviction que chaque fleur Apprécie l'air qu'elle respire !
William Wordsworth
William Wordsworth, né le 7 avril 1770 à Cockermouth (Cumberland), mort le 23 avril 1850 à Rydal (en), près d'Ambleside (Westmorland), est un poète britannique. Il inaugure, avec Samuel Taylor Coleridge, la période romantique de la littérature anglaise lors de la publication de Lyrical Ballads (1798). Son œuvre maîtresse est Le Prélude, poème autobiographique consacré aux expériences fondatrices de sa jeunesse.
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J'ai la conviction que chaque fleur Apprécie l'air qu'elle respire !
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Moi ces pneus de liberté inexplorés; Je sens le poids des désirs de hasard, mes espoirs ne doivent plus changer leur nom, je désire un repos qui est jamais le même.
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Il a parlé d'amour, comme l'amour que les esprits se sentent dans les mondes dont le cours est équitable et pur; Aucune crainte de battre, pas de conflit à guérir, - le passé n'est pas soutenu et l'avenir.
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Cette ville est maintenant comme un vêtement porte la beauté du matin; Silencieux, nu, navires, tours, dômes, théâtres et temples s'ouvrent vers les champs et vers le ciel; Tous brillants et scintillants dans l'air sans fumée.
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Et il est souvent le plus sage qui n'est pas du tout sage.
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Mais qui, s'il est appelé à faire face à un moment horrible auquel le ciel a rejoint de grands problèmes, bons ou mauvais pour l'humanité, est heureux en tant qu'amant.
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J'ai la conviction que chaque fleur Apprécie l'air qu'elle respire !
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Milton, tu devrais vivre à cette heure.
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Un pouvoir passe de la terre.
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Rapine, avarice, dépenses, c'est l'idolâtrie; Et ceux-ci que nous adorons; La vie simple et la haute pensée ne sont plus.
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Les hommes qui peuvent entendre le décalogue et se sentir à l'auto-reproche.
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Ne l'avez jamais vu, je ne me suis jamais senti, un calme si profond! La rivière s'accompagne de sa propre volonté; Mon Dieu! Les maisons mêmes semblent endormies; Et tout ce cœur puissant est immobile!
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Ou naufragé, Kindles on the Coast Faux Fires, afin que d'autres soient perdus.
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Un jeune à qui a été donné Tant de terre, tant de ciel.
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Et maintenant je vois d'un œil serein, Le pouls même de la machine. Un être respirant des souffles pensifs, Un voyageur entre la vie et la mort.
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La vie est divisée en trois termes - ce qui était, qui est et qui sera. Apprenons du passé au profit par le présent et du présent, pour mieux vivre à l'avenir.
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Où est-il maintenant, la gloire et le rêve?
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L'esprit de l'homme - mon hant, et la région principale de ma chanson.
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O coucou! Dois-je t'appeler oiseau, ou mais une voix errante?
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Cette meilleure partie de la vie d'un homme, ses petits actes de gentillesse et d'amour sans nom et sans nom.
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La vraie dignité demeure avec lui seule qui, dans l'heure silencieuse de la pensée intérieure, peut encore soupçonner et se réperser toujours, dans la bassesse du cœur.
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La mort est le refuge silencieux de nous tous.
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Nous assassions pour disséquer.
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La fleur qui sent la plus douce est timide et modeste.
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Lorsque les hommes changent d'épées pour les registres et désertent le bower de l'étudiant pour l'or, certaines craintes sans nom, mon pays - je suis blâmé?
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Douce Nature's Evening Commentaire sur les émissions que pour Oblivion, prenez leur naissance quotidienne de toutes les vanités furieuses de la Terre.
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Tout ce que nous voyons est plein de bénédictions.
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Nous, les poètes de notre jeunesse, commençons par la joie; Mais de celui-ci vient à la fin le découragement et la folie.
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Yon moussant l'inondation semble immobile comme de la glace; sa turbulence étourdie échappe à l'œil, gelé par la distance.
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Type des sages qui planent mais ne parcourent jamais, fidèles aux points apparentés du ciel et de la maison.