Tom Robbins
@tomRobbins
Si l'on aspire à voir le visage du divin, il faut sortir de l'aquarium, échapper à la ferme des piscines, pour nager les cataractes sauvages, plonger dans des fjords profonds. Il faut explorer le labyrinthe du récif, les ombres des coussinets. Quelle limitation, à quel point la considération de Dieu est insultante comme un gardien bienveillant, un gestionnaire de coureur absent qui nous emprisonne dans le «confort» des piscines artificielles, où les intermédiaires saupoudrent nos eaux restrictives avec des flocons désinfectés de nutriment transformé.