La citation analysée
Si Dieu crée une autre veille, et moi une autre côte, mais la perte de toi ne serait jamais de mon cœur; Non non, je sens le lien de la nature me dessiner: chair de chair, os de mon os, tu es, et de ton état, la mienne ne sera jamais séparée, bonheur ou malheur.
Si Dieu crée une autre veille, et moi une autre côte, mais la perte de toi ne serait jamais de mon cœur; Non non, je sens le lien de la nature me dessiner: chair de chair, os de mon os, tu es, et de ton état, la mienne ne sera jamais séparée, bonheur ou malheur.