La citation analysée
Avril est le mois le plus cruel, T.S. Eliot a écrit, par lequel je pense qu'il voulait dire (entre autres) que le printemps rend les gens fous. Nous attendons trop, le monde regorge de promesses qu'il ne peut pas tenir, toute passion est vraiment une configuration, et nous sommes condamnés à avoir le cœur brisé une fois de plus. Je suis d'accord et j'ajouterais en outre : qui s'en soucie ? Chaque printemps, j'y vais de toute façon, dans le virage, sans condition. ... Viens la fin des jours sombres, je suis plus que joyeux. Je suis fou.
Avril est le mois le plus cruel, T.S. Eliot a écrit, par lequel je pense qu'il voulait dire (entre autres) que le printemps rend les gens fous. Nous attendons trop, le monde regorge de promesses qu'il ne peut pas tenir, toute passion est vraiment une configuration, et nous sommes condamnés à avoir le cœur brisé une fois de plus. Je suis d'accord et j'ajouterais en outre : qui s'en soucie ? Chaque printemps, j'y vais de toute façon, dans le virage, sans condition. ... Viens la fin des jours sombres, je suis plus que joyeux. Je suis fou.