Les mots sont ce qui colle au réel. Nous les utilisons pour pousser le réel, pour traîner le réel dans le poème. Ils sont avec quoi nous tenons, rien d'autre. Ils sont aussi précieux en eux-mêmes que la corde avec rien à attacher.
61
syllabes
43
mots
4
phrases
172
lettres
77%
mots unique
Facile
Niveau de difficulté de lecture
Nous travaillons actuellement sur cette fonctionnalité. Ne vous inquiétez pas, elle sera bientôt disponible.
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@paulStanley
Je n'ai jamais pensé qu'être le producteur était le dictateur. Cela signifie être le réalisateur et être l'entraîneur. C'est une façon de garder tout le monde concentré sur l'objectif, et aussi d'avoir un dernier mot. Tout le monde peut être dans la même voiture, mais quelqu'un doit conduire.
@kateBurton
J'ai pris une décision très concertée d'aller à l'école dramatique aux États-Unis. Mais j'ai eu l'occasion d'aller à l'école centrale de la parole et du théâtre britannique, et mon père et moi avons eu quelques mots tendus à ce sujet. Il voulait que j'allais à l'école dramatique britannique.
@cindySheehan
J'ai adoré et protégé mes propres enfants comme une féroce maman ours, mais l'un d'eux est décédé de toute façon. Ce fut une journée sombre où j'ai réalisé qu'une partie de ma responsabilité dans la mort de Casey était que je n'aimais pas tous les enfants du monde de cette même manière réelle et non abstraite.
@jarvisCocker
J'adore les Beatles. Je n'ai nommé aucun enfant après eux mais je les aime toujours vraiment. Ils étaient le premier groupe dont j'ai été bien conscient. Au début de mon adolescence, je restais parfois et écoutais la radio toute la journée dans l'espoir que j'attraperais une chanson par eux que je n'avais jamais entendue auparavant et que je pourrais le coller sur mon lecteur de radio-cassette.
@annWilson
Je pense vraiment qu'un concert est un endroit où vous pouvez aborder des sujets, et vous pouvez en réellement en discuter et les sentir et passer un bon moment.
@elanaMeyers
J'ai joué au softball à l'Université George Washington, puis j'ai joué professionnellement pour la glace Mid-Michigan. J'ai eu quelques essais avec l'équipe olympique américaine, mais je ne sais pas si j'ai un mot pour décrire à quel point l'un des essais était mauvais. Ce fut le pire essai de l'histoire des essais. C'était si mauvais.
@dickVanDyke
J'adore les comédies musicales, mais je trouve que c'est tellement décédé. Vous savez, 30 prises, vous faites un petit morceau ici et un petit morceau là-bas. Il y a des heures et des heures d'attente. Et pour moi, c'est aussi loin des performances réelles que possible.
@linManuelMiranda
J'ai lu des critiques, je ne vais pas mentir à tous. Comme vous le savez, je vais les lire, mais ensuite, le lendemain, je suis en quelque sorte en quelque sorte à hausser les épaules. Mais si quelque chose colle le lendemain, il y a probablement quelque chose. J'essaie vraiment vraiment de faire confiance à mon intestin, sur tout ça.
@roseanneBarr
Je ne fais jamais rien d'amusant, car je suis femme au foyer. Je déteste ce mot «femme au foyer». Je préfère être appelé «déesse domestique».
@kevinDurant
Je sais quand quelqu'un essaie de me procurer quelque chose pour des clics. Et parfois j'ai envie de le leur donner. Parfois, j'ai envie d'être réel et ouvert à eux, mais en même temps, je sais à quel point je peux vous donner.
@dylanThomas
Je fais une image - bien que «faire» n'est pas le bon mot; Je laisse, peut-être, une image être `` faite '' émotionnellement en moi et ensuite s'y appliquer quelles forces intellectuelles et critiques que je possède - laisse en élever une autre, que cette image contredit la première, la création, de la troisième image élevée de l'autre Deux ensemble, une quatrième image contradictoire, et laissez-les tous, dans mes limites formelles imposées, conflit.
@tammaraWebber
Tu me manques Emma. "Je ne suis pas sûre, mais ça ressemble à ses yeux se déchirer." J'étais bien pendant des mois sans toi ", dit-elle, les mots se sont taillés et désespérés." Pourquoi ça fait mal maintenant? "Je ' M soupirant et poussant une main dans mes cheveux, que je connais par expérience laisse des mèches de poignard dans de nombreuses directions, provocantes et folles.
@andrewSullivan
Je dois dire que la réponse de Katrina m'aide à mieux comprendre la situation en Irak. Le meilleur pari est que le président ne sait pas réellement ce qui se passe là-bas, est cocooné de la réalité, n'a personne dans son personnel de haut niveau capable de lui dire ce qui se passe réellement et a créé une culture de déni et de loyauté qui rend la fixation erreurs ou tenir les gens responsables.
@andraDay
Je prie, lis le mot, puis des choses créatives se produisent ici. La résolution de problèmes et tout cela entre dans cet espace. Donc, «Da Box» représente en fait mon sanctuaire et cette fois. Je pourrais avoir l'air piégé dans une boîte, mais je suis en fait plus libre dans cette boîte que quiconque à l'extérieur en regardant dans ou dans tout autre espace de ma vie.
@davidEigenberg
Je n'ai jamais poussé les limites de vouloir que les gens me connaissent ou soient sur les couvertures des magazines. Je veux juste profiter de ce que je fais.
@aDessineBarrymore
J'adore travailler avec les acteurs aux yeux. Je pense que quelque chose se perd dans la traduction, non seulement via un moniteur, mais lorsque vous quittez la zone où la scène réelle se déroule.
@virginiaWoolf
J'ai besoin d'un petit langage tel que les amants utilisent, les mots d'une syllabe comme les enfants parlent lorsqu'ils entrent dans la pièce et trouvent leur mère à coudre et ramassent un peu de laine brillante, une plume ou un déchaînement de Chintz. J'ai besoin d'un hurlement; un cri. Lorsque la tempête traverse le marais et me balaie là où je mens dans le fossé non conformément, je n'ai pas besoin de mots. Rien de soigné. Rien qui descend avec tous ses pieds sur le sol. Aucune de ces résonances et ses beaux échos qui se cassent et ne crient pas du nerf au nerf dans nos seins qui font de la musique sauvage, de fausses phrases. J'ai fait avec des phrases.
@jessicaBiel
J'adore la discipline. J'adore le calendrier de pousser votre corps à l'extrême et de le rendre à un type particulier de forme physique. Apprendre une nouvelle autodéfense ou une sorte d'art martial que je ne connaissais pas auparavant et l'aimant qui déteste aussi cela en même temps.
@laurenWillig
J'adore le son des mots, la sensation d'eux, leur flux. J'adore le défi de trouver la combinaison parfaite de mots pour décrire une boucle de la lèvre, une inclinaison du menton, un changement dans l'atmosphère. Bien fait, l'écriture nouvelle peut combiner le lyrisme et la pratique d'une manière qui fait penser aux grandes tapisseries, à la fois fonctionnelles et belles. Dans cinquante ans, j'imagine que je serai toujours en quête après cette bonne combinaison de mots.
@paulaRadcliffe
Je n'ai jamais l'intention de courir à un certain rythme. Toute ma carrière, ma devise n'a été «pas de limites». Je n'essaie pas de courir avec un temps défini à l'esprit, en collant pour régler les divisions, car que se passe-t-il si vous êtes en avance sur vos divisions - allez-vous ralentir?
@stephenJayGould
J'adore lire les dédicaces de vieux livres écrits en monarchies car ils honorent invariablement un chevalier ou du duc (généralement insignifiant) avec des mots complets de l'insincérité sycophantique, le louant comme la lumière de l'univers (dans l'espoir, sans aucun doute, pour quelques ducats soutenir les travaux futurs); Cette vieille pratique me fait me sentir comme un homme aussi honnête et droit, en comparaison, lorsque je mets une rotation positive, peut-être toujours légèrement exagérée, sur une proposition de subvention.
@michelAngeAntonioni
Je ne pense jamais en termes d'aliénation; Ce sont les autres qui le font. L'aliénation signifie une chose pour Hegel, une autre pour Marx et encore une autre pour Freud; Il n'est donc pas possible de donner une seule définition, qui épuisera le sujet. C'est une question à la limite de la philosophie, et je ne suis ni philosophe ni sociologue. Mon entreprise est de raconter des histoires, de raconter avec des images - rien d'autre. Si je fais des films sur l'aliénation - pour utiliser ce mot qui est si ambigu - ils sont des personnages, pas de moi.
@jonathanKrisel
J'ai adoré «Bienvenue à la maison de poupée». Ce fut l'un des films les plus influents de tous les temps. Vous connaissez ce genre avec la fille ringarde, et elle se rachète à la fin. Comme «Napoléon Dynamite». Et dans «Welcome to the Dollhouse», elle ne le fait pas. Elle est nul. C'est comme, c'est ce qui est réel. C'est ce qui est déchirant.
@denisNorden
Je préfère la radio à la télévision. La radio est un dialogue; La télévision est un monologue. À la radio, vous devez interagir - ils mettent les mots dans votre tête; Vous construisez les photos dans votre esprit. Dans cette mesure, c'est plus engageant que la télévision.
@charlesDeLint
Je n'ai même jamais envisagé d'écrire une option de carrière. J'ai juste aimé le jeu des mots. Je m'intéressais certainement à l'histoire, mais les histoires que je racontais étaient alors dans des poèmes de vers narratifs et de prose, courts et succincts, à l'exception d'un poème de roman écrit dans des distiques narratifs.
@sherriShepherd
J'adore l'honnêteté des New-Yorkais. Quand un New-Yorkais dit «faisons le déjeuner», il le veut réellement. À L.A., quand ils disent «faisons le déjeuner», ils essaient juste de dire au revoir.
@pranavMistry
Nous recherchons une époque où l'informatique fusionnera réellement avec le monde physique.
@terryTempestWilliams
Je suis récemment revenu d'Hiroshima et c'était fascinant pour moi de voir comment les Japonais accueillent ce paradoxe. Nous parlions de ce mot conscient, qui, sur la page, ressemble à "conscient", qui parle à la fois de la douleur et de la beauté de nos vies. Étant là, ce que j'ai perçu, c'est que c'est un chagrin qui n'est pas un chagrin dont on oublie ou récupère, mais c'est un éclairage brûlant et brûlant de l'amour pour la délicatesse et la force de nos relations.
@carisLevert
Je sais que je peux être génial. Je ne m'inquiète pas vraiment pour ce mot «étoile» trop, car j'ai l'impression que c'est très subjectif au public. Mais je sais que je peux être génial. J'ai la volonté, le désir. J'ai l'impression que Dieu m'a béni avec les physiques, j'ai l'impression que pour moi, tout est mental.
@cJBox
J'adore présenter des enfants et des jeunes adultes en tant que vraies personnes - imparfaits, naïfs, vertueux, vénaux - mais réels. Je pense que cela ajoute des nuances et de la profondeur aux histoires qui n'existeraient pas sans eux.