D. H. Lawrence
@dHLawrence
Les dieux et les déesses aztèques sont, pour autant que nous ayons connu quoi que ce soit à leur sujet, un lot peu aimable et peu aimable. Dans leurs mythes, il n'y a pas de grâce ou de charme, pas de poésie. Seulement cette rancune perpétuelle, la rancune, la contrecarrière, un Dieu à contrecœur, les dieux à contrecœur leur existence et les hommes à contrecœur. La déesse de l'amour est la déesse de la saleté et de la prostitution, un mangeur de terre, une horreur, sans touche de tendresse.