La citation analysée
Jeanne, je me suis endormi parmi les peintures, où je pouvais m'asseoir pendant plusieurs jours d'adorer votre portrait. Je suis tombé amoureux de votre portrait, Jeanne, car il ne changera jamais. J'ai une telle crainte de te voir vieillir, Jeanne, je suis tombé amoureux d'un t'épanouir qui ne me sera jamais enlevé. Je souhaitais que vous mourriez, afin que personne ne puisse vous éloigner de moi, et j'aimerais la peinture de vous comme vous auriez l'air éternellement.
Jeanne, je me suis endormi parmi les peintures, où je pouvais m'asseoir pendant plusieurs jours d'adorer votre portrait. Je suis tombé amoureux de votre portrait, Jeanne, car il ne changera jamais. J'ai une telle crainte de te voir vieillir, Jeanne, je suis tombé amoureux d'un t'épanouir qui ne me sera jamais enlevé. Je souhaitais que vous mourriez, afin que personne ne puisse vous éloigner de moi, et j'aimerais la peinture de vous comme vous auriez l'air éternellement.