La citation analysée
L'amour, comme le dit le poète, est comme le printemps. Il pousse sur vous et vous séduit lentement et doucement, mais il reste serré comme les racines d'un arbre. Vous ne savez pas tant que vous êtes prêt à partir que vous ne puissiez pas bouger, que vous devrez vous mutiler pour être libre. C'est le sentiment. Cela ne dure pas, du moins il n'est pas nécessaire. Mais il tient comme une griffe d'acier dans votre poitrine. Même si l'arbre meurt, les racines s'accrochent à vous. J'ai vu des hommes et des femmes abandonner tout pour l'amour qui était autrefois.
L'amour, comme le dit le poète, est comme le printemps. Il pousse sur vous et vous séduit lentement et doucement, mais il reste serré comme les racines d'un arbre. Vous ne savez pas tant que vous êtes prêt à partir que vous ne puissiez pas bouger, que vous devrez vous mutiler pour être libre. C'est le sentiment. Cela ne dure pas, du moins il n'est pas nécessaire. Mais il tient comme une griffe d'acier dans votre poitrine. Même si l'arbre meurt, les racines s'accrochent à vous. J'ai vu des hommes et des femmes abandonner tout pour l'amour qui était autrefois.