La citation analysée
L'hiver est sur ma tête, mais le printemps éternel est dans mon cœur. Plus j'approche de la fin, plus j'entends autour de moi les symphonies immortelles des mondes qui m'invitent. . . . Depuis un demi-siècle, j'écrive des pensées en prose, vers, histoire, drame, romance, tradition, satire, ode et chant. Je les ai tous essayés, mais je pense que je n'en ai pas dit une millième partie qui est en moi. Quand je descends dans la tombe, je peux dire "J'ai terminé ma journée de travail", mais je ne peux pas dire "J'ai terminé le travail de ma vie".
L'hiver est sur ma tête, mais le printemps éternel est dans mon cœur. Plus j'approche de la fin, plus j'entends autour de moi les symphonies immortelles des mondes qui m'invitent. . . . Depuis un demi-siècle, j'écrive des pensées en prose, vers, histoire, drame, romance, tradition, satire, ode et chant. Je les ai tous essayés, mais je pense que je n'en ai pas dit une millième partie qui est en moi. Quand je descends dans la tombe, je peux dire "J'ai terminé ma journée de travail", mais je ne peux pas dire "J'ai terminé le travail de ma vie".