Nos efforts pour nous déconnecter de nos propres souffrances finissent par déconnecter nos souffrances de la souffrance de Dieu pour nous. La sortie de notre perte et de notre blessure est dans et à travers.
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Difficile
Niveau de difficulté de lecture
Nous travaillons actuellement sur cette fonctionnalité. Ne vous inquiétez pas, elle sera bientôt disponible.
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@fannyBurney
J'ai ce moment même, fini de lire un roman intitulé The Vicar of Wakefield [par Oliver Goldsmith] .... Il me semble, pour être impossible qu'une personne puisse lire ce livre avec un œil sec et pourtant, je ne suis pas grand-chose comme ça ... il n'y a que très peu d'histoire, l'intrigue est mince, les incidents très rares, les sentiments peu communs, le vicaire est satisfait, humble, pieux, vertueux - mais du tout le livre n'a pas du tout satisfait mes attentes.
@isseyMiyake
J'ai toujours été intéressé à effectuer des recherches qui ont produit de nouvelles méthodes par lesquelles fabriquer du tissu et à développer de nouveaux matériaux qui combinent l'artisanat et les nouvelles technologies. Mais la chose la plus importante pour moi est de montrer que, en fin de compte, la technologie n'est pas l'outil le plus important; Ce sont nos cerveaux, nos pensées, nos mains, nos corps, qui expriment les choses les plus essentielles.
@jamesAMichener
J'avais appris le volleyball dans la Marine, où tous les capitaines et les amiraux voulaient être des épikers, et j'ai alors découvert qu'un homme qui pouvait maîtriser ses propres désirs et maîtriser l'art de servir les autres pouvait se rendre inestimable. En choisissant des équipes, le capitaine de l'équipe a toujours choisi les bons Spikers sur le premier et le deuxième choix, mais les Spikers attrapaient son bras et chuchotaient: «Take Michener». Je n'ai jamais été choisi inférieur au tiers, car j'avais besoin. Je n'étais pas bon, mais j'étais fidèle.
@wyattCenac
J'ai travaillé dans l'animation sur «King of the Hill». J'ai travaillé en fin de soirée avec «The Daily Show». J'ai travaillé sur des trucs à caméra unique, que ce soit un film ou une télévision. J'ai joué sur scène.
@albertEinstein
Je n'ai jamais appartenu de tout cœur à un pays, à un État, ni à un cercle d'amis, ni même à ma propre famille. Quand j'étais encore un jeune homme plutôt précoce, j'ai déjà réalisé très bien la futilité des espoirs et des aspirations que la plupart des hommes poursuivent tout au long de leur vie. Le bien-être et le bonheur ne m'ont jamais apparu comme un objectif absolu. Je suis même enclin à comparer de tels objectifs moraux aux ambitions d'un porc.
@oliverWendellHolmesSr
Je déteste les faits. Je dis toujours que la fin de l'homme est de former des propositions générales - ajoutant qu'aucune proposition générale ne vaut la peine.
@jehaneNoujaim
J'ai en fait eu la chance de pouvoir faire des films sur ma propre carte de crédit sans avoir d'énormes bailleurs de fonds derrière moi en dictant comment l'histoire devrait être racontée.
@amyPoehler
J'ai réalisé que le mystère est ce qui éloigne les gens et je me suis fatigué de la fumée et des miroirs. J'aspire à l'endroit propre et bien éclairé. Alors jetons un coup d'œil derrière le rideau et saluons les autres comme nous. Les sandwichs ouverts qui prennent des risques et vivent grands et sourient de toutes leurs dents. Ce sont les gens que je veux être. C'est la façon honnête dont je veux vivre, aimer et écrire.
@adolfHitler
Je tiens à ma conviction que, une fois que cette voie de compréhension et de considération mutuelles aura été prise, plus en finira à la fin que par les pactes très étendus qui manquent intrinsèquement de clarté.
@penelopeLively
J'ai dû vider deux maisons familiales au cours des dernières années - d'abord, la maison qui était ma grand-mère depuis 1923, puis ma propre maison de pays, dans laquelle nous vivons depuis plus de vingt ans.
@kennyHickey
Je déteste les foules de gens qui prétendent être heureux une nuit de l'année, où ils s'enivrent et désagréables à la fin de la nuit.
@douglasFairbanksJr
Je n'avais aucun désir particulier d'être une personnalité comme mon père, et je n'étais pas équipé pour le faire. J'étais déterminé à être mon propre homme, bien qu'avoir le nom de Fairbanks ait facilité le passage à un bureau pour voir quelqu'un.
@billBryson
J'ai une petite coupure en lambeaux que je transporte parfois avec le retirant de méandre à des fins de motif de private. C'est une prévision météorologique de Thewestern Daily Mail et il dit, dans Toto: «Perspectives: sec et chaude, mais plus fraîche avec de la pluie.
@joelMccrea
Je n'ai aucun regret, sauf peut-être un: j'aurais dû faire plus d'efforts pour être un meilleur acteur.
@tonyFadell
Je n'ai pas vu de véritable révolution à la fin d'un groupe d'entreprises se réunir. Il faut une entreprise pour le rassembler, puis les gens en rédigent, mais ils ne le construisent pas de haut en bas avec une vision spécifique.
@amandaShires
Je ne savais pas que j'allais être un auteur-compositeur, parce que j'étais trop jeune pour connaître ma propre évolution. J'ai commencé à jouer du violon comme un moyen de m'exprimer parce que je n'avais pas beaucoup de vocabulaire quand j'avais 14 ans.
@henriMatisse
J'ai toujours cherché à être compris et, même si j'ai été pris en charge par des critiques ou des collègues, je pensais qu'ils avaient raison, en supposant que je n'avais pas été assez clair pour être compris. Cette hypothèse m'a permis de travailler toute ma vie sans haine et même sans amertume envers la critique, quelle que soit sa source. J'ai compté uniquement sur la clarté de l'expression de mon travail pour gagner mes fins. La haine, la rancune et l'esprit de vengeance sont des bagages inutiles pour l'artiste. Sa route est assez difficile pour qu'il nettoie son âme de tout ce qui pourrait le rendre davantage.
@albertEinstein
Je n'ai jamais regardé la facilité et le bonheur comme se terminant en eux-mêmes - cette base critique que j'appelle l'idéal d'un cochon. Les idéaux qui ont allumé mon chemin, et à maintes reprises m'ont donné un nouveau courage pour faire face à la vie, ont été la gentillesse, la beauté et la vérité. Sans le sens de la parenté avec les hommes de même esprit, sans l'occupation avec le monde objectif, l'éternellement inaccessible dans le domaine de l'art et des efforts scientifiques, la vie m'aurait semblé vide. Les objets banals des efforts humains - possessions, succès extérieur, luxe - m'ont toujours semblé méprisable.
@euripide
Car avec de légers efforts, comment devrions-nous obtenir de grands résultats? Il est insensé même de le désirer.
@maryaHornbacher
Je n'ai jamais été normal dans mon corps. Cela m'a toujours semblé une entité étrange et étrangère. Je ne sais pas qu'il y a eu un moment où je n'en étais pas conscient. Aussi loin que je puisse penser, j'étais conscient de ma propre corporation, mon imposition physique dans l'espace.
@jeanetteWinterson
J'ai déclenché et j'ai découvert qu'il n'y a pas de fin même le voyage le plus simple de l'esprit. Je commence, et une centaine de routes alternatives se présentent tout de suite. J'en choisis un, à peine plus tôt, une centaine de plus apparaissent. Chaque fois que j'essaie de réduire mon intention, je l'élargis, et pourtant ces détroits et canaux me conduisent toujours vers la mer en plein air, puis je me rends compte à quel point tout est vaste, cette question de l'esprit. Je suis confondu par l'eau brillante et la taille du monde.
@richardWagner
Je déteste cette tendance croissante à la croissance des hommes à des machines dans de grandes usines et à les priver de toute joie dans leurs efforts - le plan conduira à des hommes bon marché et à des produits bon marché.
@billyGraham
Je n'ai pas écrit ma propre épitaphe, et je ne suis pas sûr que je le devrais. Quoi qu'il en soit, j'espère que ce sera simple, et que cela indiquera les gens non pas pour moi, mais pour celui que j'ai servi.
@alexanderGrahamBell
J'ai eu le sentiment qu'une machine volante correctement construite devrait être capable d'être pilotée comme un cerf-volant; et à l'inverse, qu'un cerf-volant correctement construit devrait être capable d'être utilisé comme une machine volante lorsqu'il est entraîné par ses propres hélices.
@fredBear
Je chasse parce que j'aime tout le processus: les préparatifs, l'excitation et le suspense soutenu d'essayer de faire correspondre mon bois avec les instincts finement aigus de ces créatures. La plupart des jours passés dans les bois, je rentre à la maison avec un sentiment honnêtement mérité que quelque chose de bien a eu lieu. Cela ne fait aucune différence, que je sois ou non: cela a à voir avec la façon dont la journée a été passée.
@aubrieVendeurs
J'avais tous ces disques rock bruts et granuleux qui m'ont vraiment inspiré sur le plan sonore, et donc je pense que tout ce que j'écoute quand j'ai commencé à écrire mes propres chansons est sortie naturellement, et cela a créé ce nouveau son.
@woodyAllen
J'ai un certain nombre de symptômes qui sont névrotiques et qui se resserrent dans le sens où si j'avais une idée brillante pour un film qui devait être tourné à Tulsa, OK, je le déchirerais et je le jetterais. Tout ce qui est en dehors de New York, parce que je ne peux pas exister dans un hôtel en dehors de ma propre maison, je dois être dans ma propre maison et mon propre environnement. Il s'agit d'un symptôme névrotique qui est même en cours de travail.
@aliceHoffman
Je déteste quand les gens me racontent la fin de l'histoire parce que ma mère a toujours lu la dernière page d'un roman pour voir si elle voulait le lire. C'était une étrange habitude de lecture.
@mcSerch
J'ai toujours été impliqué dans la radio, que ce soit en tant qu'artiste qui parlait à la radio de mes propres chansons, ou en tant qu'homme de promotion chez Def Jam à des disques de travail dans mon entreprise. En 2000, on m'a demandé d'organiser une émission à Norfolk VA et à travers cette émission, on m'a ensuite demandé d'organiser l'émission du matin à Détroit. Le concept du spectacle était autour du hip hop. Nous étions actifs dans la communauté et nous voulions faire un spectacle local qui avait une sensation de hip hop autour de lui.
@terryTempestWilliams
J'ai ressenti la douleur qui découle d'une reconnaissance de la beauté, de la douleur que nous tenons lorsque nous nous souvenons de ce à quoi nous sommes connectés et de la délicatesse de nos relations. C'est cette tendresse née d'une connexion à un lieu qui alimente mon écriture. L'écriture devient un acte de compassion envers la vie, la vie que nous refusons si souvent de voir parce que si nous regardons trop de près ou que nous nous sentons trop profondément, il ne peut y avoir de fin à notre souffrance. Mais les mots nous permettent de nous permettre de nous dépasser de nos souffrances et de nous libérer. C'est la sorcellerie de la littérature. Nous sommes guéries par nos histoires.
