![auteur Roger Ebert de la citation Dans la grande majorité des films, tout est fait pour le public. Nous sommes rejetés pour rire ou pleurer, être effrayés ou soulagés; Hitchcock a qualifié les films une machine pour provoquer des émotions dans le public. Bresson (et Ozu) adoptent une approche différente. Ils considèrent et nous demandent de considérer avec eux, et d'arriver à des conclusions sur leurs personnages qui sont les nôtres. C'est le cinéma de l'empathie.](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Froger-ebert-3bvzqnhkA7jSjhY67HbqKLgR9cVDM8guuWas8uax9aSKeg7K9cEdbufLBaE81dekhmp1phnVzgPc520BWlaJj5XK5i7Ezmfnfnr7DMWtX2XZnlhEdte88hIglTFY81kP.jpg&w=3840&q=100)
Roger Ebert
@rogerEbert
Dans la grande majorité des films, tout est fait pour le public. Nous sommes rejetés pour rire ou pleurer, être effrayés ou soulagés; Hitchcock a qualifié les films une machine pour provoquer des émotions dans le public. Bresson (et Ozu) adoptent une approche différente. Ils considèrent et nous demandent de considérer avec eux, et d'arriver à des conclusions sur leurs personnages qui sont les nôtres. C'est le cinéma de l'empathie.