Jonathan Adelstein
@jonathanAdelstein
Il ressort clairement d'une visualisation de bon sens du programme selon laquelle la langue grossière fait partie de la culture des individus représentés. Pour refléter avec précision leur point de vue et leurs émotions sur la musique blues, il faut de la diffusion de certains matériaux qui, s'ils étaient interdits, saperaient la capacité du cinéaste à transmettre la réalité du sujet du documentaire.