La citation analysée
Un homme peut devoir mourir pour son pays, mais aucun homme ne doit, en aucun cas, vivre pour son pays. Celui qui s'abandonne sans réserve aux revendications temporelles d'une nation, d'un parti ou d'une classe rend à César ce qui, de toutes les choses, appartient le plus catégoriquement à Dieu : lui-même.
Un homme peut devoir mourir pour son pays, mais aucun homme ne doit, en aucun cas, vivre pour son pays. Celui qui s'abandonne sans réserve aux revendications temporelles d'une nation, d'un parti ou d'une classe rend à César ce qui, de toutes les choses, appartient le plus catégoriquement à Dieu : lui-même.