Berkeley a respiré
@berkeleyARespire
Le monde numérique m'a permis une connexion avec mon lecteur que je n'avais jamais eu auparavant. Je n'ai pas rencontré les gens qui lisent mon matériel. Les lettres de fan ont été surtout répondues par des professionnels qui les avaient fait pour gagner leur vie. Et je n'avais aucun lien quotidien avec leur réponse à mon travail. Je n'avais pas de relation avec mon public. Et chaque artiste devrait l'avoir.